Bonsoir Mailou,
Je tiens à te remercier pour les schémas mais je suis désolé, en le regardant je me suis rendu compte que je ne t'avais pas donné la bonne formule car le C est en fait la vitesse locale de la lumière. J'ai fais gaffe cette fois çi
pour les bulles spatiotemporelles (avec C celui de lo'observateur de référence)
sincèrement navré tu devrais tomber sur deux points remarquables en 8/3Ro et en 5/3 Ro.
Pour l'astronaute en chute libre à la vitesse de libération dans la direction du TN. Ils ne sera pas fixe par rapport à l'observateur de référence à l'oo mais par contre dT' = dT et la distance R'=R et du fait qu'il s'approche du TN à la vitesse de libération des photons d'énergie E=Hu émis depuis un point R" tel que Ro<R"<R lui parviendra avec la même énergie que si il avait été émis depuis le référentiel de l'astronaute. Cela est valable aussi pour la métrique de Schwarzschild il faut remplacer Ro par Rs mais l'explication diffère un peu.
pour Schwarzschild le photon est émis au point R" avec la même énergie que s'il avait été émis depuis le référentiel de l'astronaute. En remontant le champ de gravitation, le photon perd de l'énergie. Mais du fait que l'astronaute se dirige vers lui (selon le référentiel de l'observateur de référence) à la vitesse de libération, le blueshift qui en résulte compense le redshift gravitationnel.
Pour les bulles spatio-temporelles : le redschift gravitationnel est du à ce que dès le départ, le photon est émis avec une énergie inférieure à celui qui serait émis depuis le référentiel de l'astronaute. En remontant le champ de gravitation, il conserve son énergie, et du fait que l'astronaute se dirige vers lui à la vitesse de libération, le blueshift compense le redshift gravitationnel.
Maintenant ma vision par rapport au TN, c'est que puisque la vitesse de la lumière au niveau de l'horizon du TN est nulle, lorsque l'astronaute (son énergie) atteint la surface du TN, sa masse s'ajoute à celle du TN dont le rayon augmente en conséquence. Donc pour moi, le TN est en quelque sorte constitué d'énergie en suspension (puisque la vitesse de la lumière est nulle à l'intérieur d'un TN)
Cordialement, Zefram
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