Bonjour. Une question que peut-être certain vont trouver stupide, mais qui risque rien n'a rien , je la lance .
Peut-on intriquer autre chose que des particules? Exemple une force , un champ ou de l'énergie.
Merci!
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Bonjour. Une question que peut-être certain vont trouver stupide, mais qui risque rien n'a rien , je la lance .
Peut-on intriquer autre chose que des particules? Exemple une force , un champ ou de l'énergie.
Merci!
Ce qu'on appelle particule est l'etat d'energie d'un champ, et de l'etat de ce champs depend la force qui s'exerce dessus (cad son couplage avec un autre champ). L'intrication concerne donc indissolublement champ, particule, energie et force.
Parcours Etranges
Merci des précisions M. Gilgamesh. Comme les particules sont la résultantes des conditions que vous avez énumérées , faut-il que ces conditions soient identiques pour les particules ainsi intriquées? Y-a-t-il une distance limite pour l'intrication?
Merci!
Bonsoir,
Non l'intrication n'admet pas de distance limite. Car tout se passe comme-ci les particules intriquées formaient une seule entité.
La notion de distance n'intervient pas.
Cordialement
Salut, et pour effectuer une mesure sur la 'particule composé' ont passe par le postulat de réduction du paquet d'onde ,c'est du réel ou du formel ???
un exemple :, on ne peut pas savoir la charge d'une particule du système intriqué avant la mesure , difficile à gober ....(c'est facile si on défriché le camp d'Einstein....)
ah, une idée, avant qu'on sais que l'univers est fait de matière (mesures), nos ancêtres étaient intriqués .
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Dernière modification par Nicophil ; 13/02/2016 à 23h34.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Sauf que le principe d'indétermination ne s'applique pas à la charge élémentaire.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Soulignons mon incompréhension :J'avais compris :
- La charge d'une particule, on ne peut pas la savoir avant la mesure.
Ce qui est trivial.
Alors que tu dis :
- La charge d'une particule avant la mesure, on ne peut pas la savoir.
Ce qui est faux : il suffit de la mesurer.
Dernière modification par Nicophil ; 14/02/2016 à 19h12.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Bonjour. Pourrait-on intriquer des particules si près l'une de l'autre que certain effet comme la gravité ou autres forces aurait un impact sur les deux particule l'une envers l'autre?
Autre question du même genre: intriquer des particules une en labo et l'autre dans un accélérateur type lhc est-ce possible et si oui que serait le comportement des dites particules?
Merci!
Bonjour,
Ben, c'est la définition. Quel rapport avec le principe d'indétermination appliqué à la charge ????
Concernant cette question, il faut noter que la raison est assez mal comprise, tout comme la quantification de la charge d'ailleurs (enfin, sauf en théorie des cordes ).
J'ai lu des articles qui expliquent que la portée infinie (en 1/r² en fait) de l'interaction coulombienne conduisait à une décohérence permanente de la charge électrique, expliquant qu'elle avait toujours une valeur définie.
(on trouve des articles sur ArXiv)
Je n'ai pas été convaincu mais je n'ai pas d'autres explications.
Je ne comprend pas trop la question. Tu veux parler d'énergie d'échange ? (ça, ça existe, par exemple c'est le mécanisme à l'origine du ferromagnétisme)
On sait déjà intriquer des particules très distances, donc, oui pourquoi pas (bien que dans un accélérateur la particule n'y resterait probablement pas longtemps et il serait sans doute un peu compliquer de l'intriquer avec une autre).
Et les deux particules auraient le même état, par exemple le même état de spin. Ni plus ni moins.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
donc, il suffit de demander à mon collègue de faire la mesure sur l'une des deux particules et j'en déduit la charge de l'autre sans faire de mesure, càd que la charge de la particule que je doit mesurer préexiste à toute opération de mesure, le même bon sens semble forcer à conclure que les valeurs des deux charge (électrique ou magnétique 'spin')préexistent à l'opération de mesure, dans ce cas c'est une variable caché (tu'es dans le camp d'Einstein sans le savoir...) , bonne continuation.
Dernière modification par azizovsky ; 15/02/2016 à 15h51.
soyez le bien venu dans le camp que j'ai choisis aussi . (je me demande est ce que l'aspect ondulatoire de la particule est local ou non local ?)
Dernière modification par azizovsky ; 15/02/2016 à 15h58.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Bonjour Deedee81 , excusez souvent j'ai de la difficulé avec la précision de mes question. Ce que je veux dire est si on intrique deux particules assez proche risquent elles d'interéagir ensemble?
Merci!
Dernière modification par azizovsky ; 15/02/2016 à 16h59.
Le rapport, c'est qui sert à la fois à la définition de la charge et au principe d'indétermination.Ben, c'est la définition. Quel rapport avec le principe d'indétermination appliqué à la charge ????
Concernant cette question, il faut noter que la raison est assez mal comprise, tout comme la quantification de la charge d'ailleurs (enfin, sauf en théorie des cordes
J'ai lu des articles qui expliquent que la portée infinie (en 1/r² en fait) de l'interaction coulombienne conduisait à une décohérence permanente de la charge électrique, expliquant qu'elle avait <u>toujours</u> une valeur définie.<br>
(on trouve des articles sur ArXiv)
Je n'ai pas été convaincu mais je n'ai pas d'autres explications.
C'est quoi la grandeur conjuguée de la charge? (sens MQ, pas les sens extensif-intensif)
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
la MQ dit que le système ou la charge de chaque particule n'est pas préexistante .
symboliquement on peut écrire :, c'est la mesure qui réduit le paquet d'onde .
1) La MQ ne parle pas d'existence mais de détermination, pas de non-préexistence mais de non-prédétermination.
2) Le principe de non-prédétermination ne s'applique pas à la charge. Sûrement pas à la charge élémentaire en tout cas !
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Dernière modification par Nicophil ; 15/02/2016 à 17h51.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Princi...%A9_(physique)« Il semble essentiel pour cette disposition des choses introduites en physique que ces dernières, à un moment donné, revendiquent une existence indépendante l’une de l’autre, dans la mesure où elles se trouvent dans différentes régions de l’espace. Sans l’hypothèse de l’existence mutuellement indépendante (de l’«être-ainsi») des choses séparées spatialement les unes des autres, hypothèse qui trouve son origine dans la pensée de tous les jours, la pensée physique qui nous est familière ne serait pas possible. On ne voit pas comment les lois physiques pourraient être formulées et vérifiées sans une telle séparation. »
Ce principe s'avère remis en question par la physique quantique, notamment par les phénomènes d'intrication quantique
j'ai cru approfondir ce que j'ai compris, hélas ...à la prochaine.
ps: je viens de vérifier dans un livre de MQ, il parle de preéxistence pas de .....
il y'a ça aussi :bonne continuation.La réduction du paquet d'onde est un concept de la mécanique quantique selon lequel, après une mesure, un système physique voit son état entièrement réduit à celui qui a été mesuré.
Pendant longtemps, le processus par lequel cette réduction a lieu a été inconnu des physiciens, ce qui les a contraint à en faire un axiome de la théorie afin de rester conforme aux résultats expérimentaux.
Le concept de réduction du paquet d'onde implique de nombreuses difficultés sur le plan logique et épistémologique. À ce titre, il a induit de nombreux et parfois célèbres débats au sein de la communauté scientifique. La question philosophique de la réalité est soulevée dans la mesure où la théorie suggère que ce que nous considérons comme la "réalité" possède une infinité théorique d'états quand elle n'est pas "observée" (plus exactement perturbée par une mesure, provoquant une décohérence quantique). Les différentes interprétations de la mécanique quantique diffèrent notamment sur le sens à donner aux états non observés.