Je dis juste que la nouvelle physique sera un retour à la physique newtonienne et que, par conséquent, nous abandonnerons la relativité einsteinienne qui ne sera plus qu'une parenthèse dans l'histoire de la physique.
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Je dis juste que la nouvelle physique sera un retour à la physique newtonienne et que, par conséquent, nous abandonnerons la relativité einsteinienne qui ne sera plus qu'une parenthèse dans l'histoire de la physique.
que ce soit une idée fixe personnelle , soit.
mais ici , et ainsi, c'est du trollage !
Ça ressemble à du trollage, mais c'en n'est pas. Je ne me permettrais pas. J'ai dit que nous étions à l'aube d'une révolution scientifique et quand on me somme de me justifier, on m'accuse de trollage. Pas grave! Je voulais juste prévenir, désolé de vous avoir déranger.
Non, ce n'est pas possible. Les effets relativistes ne sont pas hypothétiques mais prouvés. Et ils ne peuvent être pris en charge par une physique newtonienne. On ne peut pas changer le formalisme newtonien et on ne peut pas changer les faits.
C'est comme si tu disais que l'interprétation de la chaleur par l'agitation atomique c'est surfait et qu'on va retourner à la phlogistique.
Bonsoir,
C'est faire le jeu des minkovskistes ça ! Il ne s'agira pas de revenir au XVIIIe siècle mais au début du XXe.
Il était déjà question alors de masse relativiste, de gravitation non instantanée, d'ondes gravifiques, de trous noirs, etc.
Dernière modification par Nicophil ; 23/04/2016 à 22h52.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Bonsoir,
Dont le lancement prévu vendredi 22 avril 2016 a dû être reporté (en raison d'une mauvaise météo) au dimanche 24 avril 2016 (demain !!! ) à 23:02 (heure de Paris).
Plus d'infos sur le site de l'ONERA.
Cordialement.
Dernière modification par Geb ; 23/04/2016 à 23h30.
D'après Lakatos, une théorie possède un noyau dur et une ceinture protectrice, celui-ci est immuable celle-ci est modifiable. La thèse newtonienne n'échappe pas à cette règle, on peut donc la modifier.
bonjour
je crois bien qu'il va y avoir du neuf dans les années à venir : une nouvelle approche énergéque et déterministe de la mécanique quantique émmerge.
en y regardant de près bien qu'elle ne soit pas encore validée , je crois que j'ai résolu, grace à cette théorie, le problème de la catastrophe du vide. j'ai transmis mes résultats à son auteur. j'attends se valiation et si c'est permis par la modo de poster ma solution. (elle est simple et élégante)
Cordialement
Stéphane
Et une théorie perso de plus sur FS, une
D'un coté, nous avons quelqu'un qui veut étendre la gravitation newtonienne mais qui ne sait pas que ça existe déjà et que ça s'appelle la Relativité et de l'autre on a une approche "énergéque", mot inconnu de la mécanique quantique qui va aussi devenir déterministe.
Le gagnant est ?
oups pas besoin de la nouvelle approche je me suis emmèlé dans mon tableur divison suivi de multiplication qui annule l'apport mais je crois quand même tenir le bon bout , j'attends la vérification
Dernière modification par xxxxxxxx ; 24/04/2016 à 11h40.
bouh je me suis planté dnas mes unités
Oui ? Dans ce cas là ça redonne la relativité et c'est juste un débat de mot pour savoir quel nom lui donner.
Il n'existe pas de cadre théorique qui puisse faire l'économie de l'invariant de Lorentz.
Il y a deux théories en compétition, celle de Galilée/Newton et celle de Lorentz/Poincaré/Einstein. Toutes les deux ont un noyau dur intouchable et une ceinture protectrice modifiable. Lakatos dit qu'une théorie qu'on croyait moribonde peut toujours resurgir avec sa périphérie modifiée.
N'importe quoi. Elles ne sont pas en compterions sauf dans le cerveau d'un troll de base qui aurait un dû être modéré il y a longtemps.
Salut,
Zut, pris de vitesse
rik, j'espère de tout coeur que les changements (éventuels mais probables) de paradigmes se produiront bien après ton vivant. Tout simplement pour que tu ne sois pas déçu Il y a beaucoup de chance que les nouveaux paradigmes seront ceux (ou proche ou du style) qu'on voit fleurir dans les théories de grande unification ou dans la gravité quantique. S'il y a bien une chose que nous apprend l'histoire et l'admirable analyse de Kuhn ("La Structure des révolutions scientifiques") est que la science de revient pas en arrière dans ses changements de paradigmes.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
bon ben j'ai revérifié une dernière fois, trouvé mes erreurs, et ça tient la route unités comprises et apport théorique compris. il me reste plus qu'à attendre la validation par l'auteur, ça va prendre un peu de temps.
À Deedee. Dans ses changements de paradigmes, nan, mais dans ses changements de théories, oui, d'après Lakatos. Confère par exemple l'alternance des théories sur la nature ondulatoire ou corpusculaire de la lumière.
Aussi la théorie de Newton pourrait-elle revivre après l'avoir bien nettoyée et recouverte d'une bonne couche de vernis.
Si on regarde de près, le noyau dur de Lorentz-Poincaré est différent du noyau dur d'Einstein-Minkovski : http://arxiv.org/abs/physics/0601090
De même que le noyau dur de la MQ de Zeh est différent du noyau dur de la MQ orthodoxe.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Ce que nous vivons là est extraordinaire ! tout le monde n'a pas la chance d'assister en direct à la naissance d'une révolution scientifique !
Oui! C'est pour ça que je dis qu'elles sont concurrentes.Si on regarde de près, le noyau dur de Lorentz-Poincaré est différent du noyau dur d'Einstein-Minkovski : http://arxiv.org/abs/physics/0601090
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Bonjour,
Je reprends la phrase :"On construit toutes les théories dans le but qu'elles soient le plus "universelles" possibles. C'est-à-dire qu'elles aient le plus grand domaine de validité possible. Et le domaine de validité c'est l'ensemble des conditions physiques où la théorie donne de bons résultats face aux expériences. Et, bien entendu, les conditions physiques dépendent de l'endroit et des conditions environnantes."
On a construit notre théorie actuelle sur l'idée d'une constante de gravitation universelle ; et nous nous heurtons à des gros problèmes tels que la masse manquante.
Or cette universalité de la constante de gravitation n'a pas été démontrée.
On a mesuré la constante de gravitation - avec d'ailleurs une très grande précision - dans notre environnement , disons le système solaire.
L'idée d'une constante de gravitation qui pourrait être différente au niveau de la galaxie ou des amas de galaxie, ouvrirait peut être l'horizon.
Mais je n'ai rien lu là dessus .
Quand on mesure un système binaire, on pèse les protagonistes avec la loi de Kepler qui fait elle même appel à la constante de gravité. Une modification d'un facteur 5 ou 6 de G (nécessaire si on voulait emprunter cette voie théorique pour expliquer la matière noire) changerait complètement la face de l'astrophysique stellaire. En fait plus rien ne fonctionnerait et il faudrait introduire un nombre tout à fait irréaliste d'hypothèses ad hoc pour expliquer comment, en prenant G constant dans l'espace et le temps (au moins sur les premières décimales), on soit arrivé à obtenir des résultats cohérents en astrophysique et en cosmologie jusqu'à maintenant.On a construit notre théorie actuelle sur l'idée d'une constante de gravitation universelle ; et nous nous heurtons à des gros problèmes tels que la masse manquante.
Or cette universalité de la constante de gravitation n'a pas été démontrée.
On a mesuré la constante de gravitation - avec d'ailleurs une très grande précision - dans notre environnement , disons le système solaire.
L'idée d'une constante de gravitation qui pourrait être différente au niveau de la galaxie ou des amas de galaxie, ouvrirait peut être l'horizon.
Mais je n'ai rien lu là dessus .
Pour la stabilité de G dans le temps, on peut consulter ce travail récent :
Testing Theories of Gravitation Using 21-Year Timing of Pulsar Binary J1713+0747
La mesure de la variation relative de G est consistante avec zéro.
Dernière modification par Gilgamesh ; 25/04/2016 à 09h12.
Parcours Etranges
si les uns ou les autres font référence à la théorie MOND, ou à son extension relativiste : théorie tenseur-scalaire, qu'ils le précisent !
Au moins on saura mieux de quoi nous parlons.
Cdt
Bonsoir et merci pour les réponses.
On ne connait pas l'origine de la gravité mais on constate que la formule GMM'/D2 marche très bien , du moins dans notre environnement.
Si j'ai bien compris MOND remet en cause le 1/D2 lorsque les distance sont grandes.
Ma question portait sur l'autre paramètre , la constante G. Si G est différent au centre de la galaxie , les masses qu'on y mesure sont erronées.
Mais je n'ai pas le bagage suffisant pour aller plus loin et je prends note des observations du modérateur.
Je souhaitais simplement savoir si l'hypothèse de la non universalité de la constante G avait été étudiée et ce que cela entrainait.
pas dans ce sens, mais une évolution dans le temps de G a été discutée.
ici par exemple :
http://www.futura-sciences.com/magaz...e-temps-52988/
il y a peut être d'autre liens sur le web.
salut,
et un autre exemple.
La voie ardue mais juste du révolutionnaire conservateur : bâtir en détruisant le minimum.
Certes! mais leur noyau très dur est commun, c'est la transformation de Lorentz. En fait ce qui oppose la mécanique classique aux mécaniques relativistes, c'est d'un côté la transformation de Galilée et de l'autre celle de Lorentz.Si on regarde de près, le noyau dur de Lorentz-Poincaré est différent du noyau dur d'Einstein-Minkovski : http://arxiv.org/abs/physics/0601090
Salut,
Note que la validité des transformations de Lorentz est indéboulonable car c'est un des rares trucs qu'on peut vraiment démontrer formellement (*).
J'en parle ici : http://fr.scribd.com/doc/166636239/C...restreinte-pdf
Chapitre IX.
On peut montrer de façon formelle qu'il n'y a que deux transformations possibles (et une troisième inconsistante) : Galilée et Lorentz.
Et il suffit d'un test même approximatif pour montrer que la bonne est celle de Lorentz.
Je ne sais pas si ça apporte de l'eau au moulin de cette longue discussion. Mais c'est intéressant à savoir.
(*) Avec très très peu d'hypothèses. Une des rares indispensables est la continuité de l'espace. Si on l'abandonne, ça devient tout de suite affreusement compliqué. Mais cela ne suffit pas à invalider la démonstration dans le domaine où la continuité est valide à la précision des mesures près. Il faut alors passer aux transformations de Lorentz saturées (j'ai trouvé très très peu de référence là dessus, on en trouve dans ArXiv, par exemple).
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)