Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Si mais en général, j'adapte ma réponse à l'interlocuteur : vu qu'il parlait de vitesse et pas d'énergie cinétique et vu le reste du message, j'ai fait une version simplifiée pour pointer sur la masse.
S'il avait rebondit sur le sujet au lieu de rejeter toute réponse qui lui apprenait quelque chose, on aurait pu aller plus loin et rentrer dans le cas nettement plus compliqué à constater et à mesurer de la courbure de l'espace provoquée uniquement par de l'énergie cinétique.
Du coup, c'est moi qui suis intéressé!
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Bah c'est dans le tenseur impulsion énergie.
Parcours Etranges
Bonjour,Si mais en général, j'adapte ma réponse à l'interlocuteur : vu qu'il parlait de vitesse et pas d'énergie cinétique et vu le reste du message, j'ai fait une version simplifiée pour pointer sur la masse.
S'il avait rebondit sur le sujet au lieu de rejeter toute réponse qui lui apprenait quelque chose, on aurait pu aller plus loin et rentrer dans le cas nettement plus compliqué à constater et à mesurer de la courbure de l'espace provoquée uniquement par de l'énergie cinétique.
Il y a des scientifiques qui cherchent à définir l'espace de manière relationnelle. Si on définit l'espace de manière relationnelle, la courbure de l'espace est fonction d'une relation. Cela réunit un aspect de Newton ( l'attraction gravitationnelle) avec un aspect d'Einstein (la courbure de l'espace). Et si on définit l'espace de manière relationnelle, à votre avis, qu'est ce qui permet à un corps d'avancer? A partir de là beaucoup de questions et de réponses s'enchaînent (approche relationnelle des concepts initiaux de la physique).
En posant une question je ne pense pas avoir été hors charte.
Cordialement
Philippe de Bellescize
Salut P2B.
Dois-je en déduire que vous acceptez que la simultanéité ne puisse plus être absolue?
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
Heu...La RG c'est déjà un truc relationnel, mais suis pas sûr d'attribuer le même sens que toi sur ce sujet*, car pour les théories spéculatives "relationnelles", il n'y a pas d'espace-temps, donc pas d'espace (ni temps).Bonjour,
Il y a des scientifiques qui cherchent à définir l'espace de manière relationnelle. Si on définit l'espace de manière relationnelle, la courbure de l'espace est fonction d'une relation. Cela réunit un aspect de Newton ( l'attraction gravitationnelle) avec un aspect d'Einstein (la courbure de l'espace). Et si on définit l'espace de manière relationnelle, à votre avis, qu'est ce qui permet à un corps d'avancer? A partir de là beaucoup de questions et de réponses s'enchaînent (approche relationnelle des concepts initiaux de la physique).
En posant une question je ne pense pas avoir été hors charte.
Cordialement
Philippe de Bellescize
* Je crois que c'est HS et ne participerais pas à la dérive plus que ce post ( Pourquoi ne pas ouvrir un fil?).
Comme d'autres, j'ai du mal à voir le lien entre ce post et le fil.Il y a des scientifiques qui cherchent à définir l'espace de manière relationnelle. Si on définit l'espace de manière relationnelle, la courbure de l'espace est fonction d'une relation. Cela réunit un aspect de Newton ( l'attraction gravitationnelle) avec un aspect d'Einstein (la courbure de l'espace). Et si on définit l'espace de manière relationnelle, à votre avis, qu'est ce qui permet à un corps d'avancer? A partir de là beaucoup de questions et de réponses s'enchaînent (approche relationnelle des concepts initiaux de la physique).
Et j'ai encore plus de mal à comprendre cette remarque dans ce contexte.
Or vous avez écrit
Dans un espace défini de manière relationnelle, à votre avis, pourquoi l'énergie cinétique provoque une courbure de l'espace? (on peut essayer de définir la masse, l'inertie et l'impulsion de manière relationnelle)
Je ne peux pas donner ma solution car on va dire que c'est une théorie personnelle.
Cordialement
Je peux ouvrir un fil au forum physique, mais il risque d'être fermé car le sujet est spéculatif. Je pense qu'une réflexion sur ce sujet permet de comprendre beaucoup de choses dont le rapport qu'il y a entre masse inerte et pesante, mais je ne peux pas donner mon point de vue car c'est du domaine de la théorie personnelle. Mais d'autres peuvent arriver aux mêmes conclusions que moi, en réfléchissant au point que je viens de signaler, et en utilisant les moyens de la physique. Mais peut être qu'il faut mieux s'arrêter là, je voulais juste donner matière à réflexion.Heu...La RG c'est déjà un truc relationnel, mais suis pas sûr d'attribuer le même sens que toi sur ce sujet*, car pour les théories spéculatives "relationnelles", il n'y a pas d'espace-temps, donc pas d'espace (ni temps).
* Je crois que c'est HS et ne participerais pas à la dérive plus que ce post ( Pourquoi ne pas ouvrir un fil?).
Cordialement
Répéter la même question ne permet pas plus de comprendre pourquoi introduire ici cette approche encore très spéculative de la définition de la physique uniquement de manière relationnelle et encore moins la raison pour me poser personnellement la question alors que je n'ai pas abordé le sujet.
car, l'inventeur de cette théorie veut intégrer la gravitation dans son édifice:
en plus :Einstein essaya de généraliser le membre de droite de l'équation de Poisson: la grandeur recherchée devait inclure non seulement la densité de matière mais aussi l'impulsion (dès que le corps est en mouvement, son énergie augmente et donc sa masse). Pour évaluer l'effet gravitationnel d'un corps il fallait donc combiner sa masse au repos avec son impulsion
de manière relationnelle à la Rovelli ou le temps n'existe pas ou ....?toute particule (supposée libre mais cela est laissé à l'interprétation... dans un espace courbe...) suit l'équation du mouvement des géodésiques
dans une discussion fermée :ne prend pas tes lecteurs pour des c...,rik2
La condition d(x+a, y+a) = d(x, y) qui qualifie l'invariance d'une distance par translation est la cns pour qu'un espace métrique soit un evn. C'est un théorème mais je n'ai pas la démonstration sous les yeux.
si une distance sur un espace vectoriel satisfait les propriétés :
(invariance par translation) ;
(homogénéité),
alors, on peut définir une norme sur X par
.
Ne pas confondre le temps cosmologique et l'ancienne conception du temps de Newton.
La première existe et défini un temps commun à tout l'univers, mais très flou car il n'est défini qu'à la connaissance de l'age de l'univers près.
Le second est l'idée du temps qu'avait les scientifiques jusqu'au 19ème siècle. Idée qui s'est révélée fausse, mais beaucoup de philosophes, ainsi qu'une grande partie de la population actuelle, voient le temps à travers cette idée.
Comprendre c'est être capable de faire.
Comprendre c'est être capable de faire.
Corroborée par l'expérience de Pound-Rebka par exemple.
«L'expérience de Pound-Rebka est une expérience pour tester la théorie de relativité générale d'Albert Einstein. Robert Pound et son étudiant de troisième cycle Glen A. Rebka l'ont proposée en 1959. C'est une expérience de décalage gravitationnel vers le rouge, qui mesure le décalage vers le rouge de lumière se déplaçant dans un champ de gravitation. Une prévision de relativité générale prévoyait que des horloges devraient mesurer des temps différents en fonction de leur position (altitude) dans un champ de gravitation.» Wikipédia
Cela ne prouve pas la relativité de la simultanéité, car deux horloges identiques, placées dans des conditions différentes, peuvent très bien tourner simultanément à des rythmes différents.
Cordialement
Elles ont été synchronisées au préalable, le résultat montre bien que la différence de potentiel gravitationnel induit un effet qui est un décalage des horloges, et le temps à la Newton ne peut répondre au comment, contrairement à la Relativité, ce qui réponds à Nicophil.
Le principe, méta-Physique, de relativité est forcément postulé.
Calmos! il ne s'agit jamais que d'une certaine philosophie du temps.la véritable nature du temps
Mais à partir des mêmes maths (trouvées par eux et pompées par Einstein), des mêmes faits expérimentaux, du même (?) principe de relativité, Lorentz & Poincaré restaient plus... terre-à-terre ?qui s’appelle relativité,
au début du 20ème siècle
Oui oui... et le retard Shapiro corrobore que la lumière n'est pas du tout ralentie quand elle passe à proximité d'une masse bien sûr !
Dernière modification par Nicophil ; 14/07/2016 à 00h39.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Je t'ai donné un exemple, il y en a d'autres qui ne peuvent être expliqués par un temps à la Newton, tu les connais, si tu y vois des failles qui montrent que la théories est caduc, ben publie.
Très bien mais cela ne prouve pas la relativité de la simultanéité.
La définition du temps d'Aristote comme nombre du mouvement (ce qui nombre) selon l'avant et l'après n'est pas forcément si fausse que cela. Pendant que tel corps fait tel mouvement tel autre corps fait tel mouvement, ce qui permet de nombrer le temps. Mais peut être que dans la notion de nombre on ne retrouve pas l'aspect continu du temps. Mais on peut retenir que l'on nombre le temps en établissant un rapport entre deux mouvements. Mais cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de simultanéité absolue, en effet c'est un autre problème. Mais ne repartons pas sur ce sujet.
Cordialement
Dernière modification par Franc84 ; 14/07/2016 à 00h54.
Je vais te citer pour te répondre:
Tu as ouvert suffisamment de threads sur ce sujet où tout t'as été expliqué en long, large, et en travers, sans résultat, donc tu es bloqué, et ce n'est pas moi qui réussirais là ou d'autres beaucoup plus compétents et pédagogues ont échoués.
Je ne participerais pas à cette tentative de dérive du fil.
Je te réponds par MP, j'ai synthétisé mes arguments et je crois que maintenant on peut discerner assez facilement sur ce sujet.
Cordialement
Philippe de Bellescize
HO non......
Sérieux, ne te donne pas cette peine, pas de temps à te consacrer pour ton problème, rien à discuter pour ma part, n'y vois pas de méchanceté, mais pas du tout intéressé et tu le sais.