Cette approche est exprimée comme si le temps était absolu (1). La contraction ne peut pas se faire en fonction du temps mesuré par les horloges, puisqu'on peut (constat d'observation) avoir deux horloges donnant des durées différentes entre deux événements, si elles ne suivent pas le même chemin. Qu'est-ce qui déterminerait alors le taux de contraction de la matière?
Cette approche doit être enrichie par ce qu'il se passe pour le temps. Et on va arriver probablement à quelque chose de comparable à ce que dit K. Thorne cité message #58. Et la question de Thorne est très sérieuse, et mériterait d'être discutée autrement que ce qui se fait dans ce fil...
(1) Le fait de ne parler que du modèle LFRW, une pure idéalisation avec sa datation privilégiée, masque quelque peu la difficulté avec le temps.
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