Et pourquoi le ciel ne deviendrait pas vert demain ? Car toutes les explications sur la couleur du ciel ne sont que des théories...
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Et pourquoi le ciel ne deviendrait pas vert demain ? Car toutes les explications sur la couleur du ciel ne sont que des théories...
Bonjour,Envoyé par Niels AdribohrLe probleme, c'est que la vitesse se mesure toujours par rapport à un réferentiel. Et dans n'importe quel réferentiel que ce soit, on ne peut pas dépasser la vitesse de la lumiere. De plus, la lumiere est invariante dans n'importe qu'elle réferentiel, donc, non on ne peut jamais dépasser la vitesse de 300 000 km/s dans n'importe quel réferentiel.
Que dire alors des ondes supraluminiques? Je n'ai qu'une vague idée de ce que c'est mais apparement elles se déplacent plus vite que la lumière sans pour autant dérogé à la RR car elles ne véhiculent pas d'information.
Pouvez-vous m'en dire plus sur ces ondes?
les gens qui ont des montres n'ont pas le temps. Sagesse africaine
bonjour,
pour samnet la réponse à ta question ce trouve dans un forum (sujet fermé) dans le forum sur la physique: FAQ questions souvent posées en physique.
(Re)Bonjour,Envoyé par samnetEt pourquoi ne pourrait t’on pas dépasser la vitesse de la lumière ?
J’ai quelques lacunes en astronomie j’avoue mais je sais que grosso modo on ne peut pas car la matière s’étendrai a l’infini c’est bien ça ? mais cela ne reste qu’une théorie non ?
N’y à t’il pas des scientifiques qui disent qu’il n’y aurait aucun risque, ils ne sont pas tous humanisme sur ce point quand même ?
non, t'inquietes, ça n'a rien à voir avec le fait que les scientifiques soient humanistes ou non ; ça n'a rien à voir non plus avec les risques encourues. Cela reste de la théorie, mais tellement vérifiée que le doute n'existe même plus sur ce sujet. En gros, pour faire simple, on appel inertie la résistance au mouvement d'un objet. Cette inertie est déterminée en physique classique par la masse. Si un objet est massique, il y a besoin de beaucoup d'énergie pour lui faire atteindre une grande vitesse. Par contre, s'il est léger, pas besoin d'une grande énergie, une petite impulsion, et il atteint une grande vitesse. Si maintenant la masse de l'objet est infiniment petite, la moindre impulsion devrait lui donner une vitesse infiniment grande, puisque sa résistance au mouvement est infiniment petite (attention, ce n'est pas évident sur Terre pour la seule et bonne raison que plus un objet est léger, plus il sera sensible à la résistance de l'air, mais ici, on ne tient pas en compte cette résistance). Cela, c'est selon les lois de la mécanique classique, mais ce n'est pas ce qui se passe en réalité. Un photon, qui n'a pas de masse, ne se déplace pas à une vitesse infini, mais à la vitesse c (vitesse de la lumiere). Cela veut donc bien dire que cette vitesse est la vitesse limite dans l'univers, et que pour donner cette vitesse à tout objet massique, il faudrait lui fournir une énergie infinie.
Je n'ai jamais entendue parler de l'existence d'onde supra-luminique. Il doit bien y avoir quelques spéculations sur le sujet, mais cela ne reste que de la spéculation. Par contre, il y a bien des vitesses supra-luminiques (la vitesse de phase d'une onde il me semble, mais aussi la vitesse de l'ombre d'un objet en déplacement par rapport à une source lumineuse) mais ces vitesses n'apportent jamais d'information ( sinon, cela mettrait à mal le principe de causalité)Bonjour,
Que dire alors des ondes supraluminiques? Je n'ai qu'une vague idée de ce que c'est mais apparement elles se déplacent plus vite que la lumière sans pour autant dérogé à la RR car elles ne véhiculent pas d'information.
Pouvez-vous m'en dire plus sur ces ondes?
Bonjour,
Je lis ce fil d'un coup et c'est n'importe quoi à 98,7 % (je viens de faire le calcul). Merci d'arrêter le délire scientifico-philosophico-prospectif qui n'est ni scientifique, no philosphique, ni prospectif... Sans intérêt en fait, merci de relire la charte un petit coup...
Pour la modération.
PS : ce message ne vide pas Niels Adribohr qui a eu la malchance de poster un truc intéressant au mauvais moment....
Malgré la remarque de Deep_turtle, je voudrais tout de même essayer de comprendre ce que dit Adribohr.Envoyé par Niels Adribohr.... donc, non on ne peut jamais dépasser la vitesse de 300 000 km/s dans n'importe quel
réferentiel.
Si un véhicule va à 99,9999.. % de la vitesse de la lumière (mesuré avec le référentiel Terre") le temps pour le passager sera tellement ralenti que sur sa montre à lui, il mettra...disons 10 ans pour atteindre la galaxie d'Andromède située 3 millions d'A.L. Quand il sera arrivé, il pourra légitimement estimer sa vitesse durant son voyage à v=d/t = 3000000 AL/10 ans =beaucoup plus que 300000km/s. Evidemment sur terre il se sera passé plus de 3 millions d'années.
Quelque chose qui va pas dans le raisonnement ?
T'inquietes, je ne penses pas que ce soit ce genre de question que visait Deep-turtleEnvoyé par predignyMalgré la remarque de Deep_turtle, je voudrais tout de même essayer de comprendre ce que dit Adribohr.
Il n'y a pas que les durées qui sont relatifs en RR, les distances le sont aussi. donc dans ton rapport:Si un véhicule va à 99,9999.. % de la vitesse de la lumière (mesuré avec le référentiel Terre") le temps pour le passager sera tellement ralenti que sur sa montre à lui, il mettra...disons 10 ans pour atteindre la galaxie d'Andromède située 3 millions d'A.L. Quand il sera arrivé, il pourra légitimement estimer sa vitesse durant son voyage à v=d/t = 3000000 AL/10 ans =beaucoup plus que 300000km/s. Evidemment sur terre il se sera passé plus de 3 millions d'années.
Quelque chose qui va pas dans le raisonnement ?
v=d/t, d n'est plus égal à 3000000 AL dans le réferentiel du véhicule.
Voici la formule de variation relativiste des longueurs:
L=L'(1-(v/c)2)1/2
où L' est la distance mesurée dans le réferentiel du vaisseau dans l'exemple que tu as cité et L la distance mesurée dans le réferentiel de la Terre.
et celle du temps:
Δt=Δt'/(1-(v/c)2)1/2
(même mode d'emploi, le ' signifie la mesure du temps dans le réf. du vaisseau.)
PS: désolé pour les 1/2, je n'ai pas encore trouvé le moyen de mettre le symbole racine carrée.
v est bien entendu la vitesse du vaisseau par rapport à la Terre.
Non, il y a quelque chose qui va pas dans mes explications (sinon la distance parcouru serait encore plus grande dans le réferentiel du vaisseau)...L' est en fait la longueur propre du parcour, donc c'est l'inverse de ce que j'ai dit:Envoyé par Niels AdribohrVoici la formule de variation relativiste des longueurs:
L=L'(1-(v/c)2)1/2
où L' est la distance mesurée dans le réferentiel du vaisseau dans l'exemple que tu as cité et L la distance mesurée dans le réferentiel de la Terre.
et celle du temps:
Δt=Δt'/(1-(v/c)2)1/2
(même mode d'emploi, le ' signifie la mesure du temps dans le réf. du vaisseau.)
PS: désolé pour les 1/2, je n'ai pas encore trouvé le moyen de mettre le symbole racine carrée.
v est bien entendu la vitesse du vaisseau par rapport à la Terre.
L' est la distance mesurée dans le réferentiel de la Terre dans l'exemple que tu as cité et L la distance mesurée dans le réferentiel du vaisseau.
Par contre, pour le temps, on change rien .Ca parait pas logique à premiere vue car je me suis mal expliqué, mais je crois que ça doit être ça (enfin, je ne suis pas non plus trop en état de réflechir très clairement, c'est 1h du mat... ). Je reviendrais demain avec les idées plus clair.
J'ai du mal (beaucoup) à admettre que notre minuscule voyageur, ait pu à lui tout seul faire rétrécir la distance Terre-Andromède. Et de toute façon il s'en moque de cette distance ce qui l'intéressait c'était d'aller sur Andromède alors qu'il s'agisse de Km relativistes ou pas, il a mis 10ans pour faire le voyage. De plus si sur Andromède il mesure la distance Andromède-Terre, il va bien retrouver nos 3 Mega A.L.Envoyé par Niels Adribohr...Il n'y a pas que les durées qui sont relatifs en RR, les distances le sont aussi. donc dans ton rapport:
v=d/t, d n'est plus égal à 3000000 AL dans le réferentiel du véhicule.
Alors si l'on ne veut pas dire "vitesse" plus grande que "C", disons "célérité" plus grande que "C".
D'accord, une fois sur Andromede, s'il mesure la distance Andromede-Terre, il trouvera bien les 3 millions d'années lumieres, mais à ce compte là, puisqu'il mesure maintenant par rapport au réferentiel andromédien, s'il mesure le temps écoulé depuis son départ de la Terre, il trouvera plus de 3 millions d'années, donc il n'aura pas été plus vite c.Envoyé par predignyJ'ai du mal (beaucoup) à admettre que notre minuscule voyageur, ait pu à lui tout seul faire rétrécir la distance Terre-Andromède. Et de toute façon il s'en moque de cette distance ce qui l'intéressait c'était d'aller sur Andromède alors qu'il s'agisse de Km relativistes ou pas, il a mis 10ans pour faire le voyage. De plus si sur Andromède il mesure la distance Andromède-Terre, il va bien retrouver nos 3 Mega A.L.
Alors si l'on ne veut pas dire "vitesse" plus grande que "C", disons "célérité" plus grande que "C".
Encore une fois, les distances et les durées dépendent du réferentiel dans lesquels on les mesure.
Le meilleur moyen qu'il a pour mesurer le temps qu'il à mis à faire le voyage, c'est bien sa montre, ou encore l'âge de ses artère. Il aura vieilli de 10 pendant ce voyage. Bien sûr, Andromède aura elle veillit de 3 millions d'années, comme la terre, n'empêche qu'un tel voyage à l'échelle de la durée de vie humaine est bien envisageable. Reste plus qu'à trouver le moteur de la fusée ...Envoyé par Niels Adribohrpar rapport au réferentiel andromédien, s'il mesure le temps écoulé depuis son départ de la Terre, il trouvera plus de 3 millions d'années
Oui... Mais il faudrait aller à une vitesse de 99,...9 c .Le moindre chiffre àprès la virgule a une très grande importance sur la dilatation du temps à ces vitesses là et j'ai fais un petit calcul, si je me suis pas trop planter (me connaissant, il y a un risque fort que ce soit le cas) , il faudrait 0.9999999999 c pour arriver sur Andromède en environ 20 ans. Par exemple, une vitesse de 0.99 c ne permetrait pas d'y arriver en un temps raisonnables (le temps du voyage se compterait encore en millier d'années).Et quand on sait qu'à l'approche de c, il faut un ajout d'énergie de plus en plus colossalle pour gagner ne serait ce qu'une infime fraction de vitesse...Envoyé par predignyLe meilleur moyen qu'il a pour mesurer le temps qu'il à mis à faire le voyage, c'est bien sa montre, ou encore l'âge de ses artère. Il aura vieilli de 10 pendant ce voyage. Bien sûr, Andromède aura elle veillit de 3 millions d'années, comme la terre, n'empêche qu'un tel voyage à l'échelle de la durée de vie humaine est bien envisageable. Reste plus qu'à trouver le moteur de la fusée ...
Oui, mais là tu me parles de technologie ! je sais qu'il y a encore des progrès à faire pour concevoir un tel engin mais qui sait si dans quelques siècles, avec l'énergie "sombre" et tous les champs de Higg ou autres mystères encore à découvrir et qui ne demandent qu'à nous fournir de l'énergie.... Le plus important n'est il pas qu'il n'y ait pas d'impossibilité physique absolue.Envoyé par Niels AdribohrOui... Mais il faudrait aller à une vitesse de 99,...9 c ...
Les lois de la physique ne semblent effectivement pas l'interdire .Envoyé par predignyOui, mais là tu me parles de technologie ! je sais qu'il y a encore des progrès à faire pour concevoir un tel engin mais qui sait si dans quelques siècles, avec l'énergie "sombre" et tous les champs de Higg ou autres mystères encore à découvrir et qui ne demandent qu'à nous fournir de l'énergie.... Le plus important n'est il pas qu'il n'y ait pas d'impossibilité physique absolue.
D'un autre coté, s'il est nécessaire d'embarquer l'équivalent de l'énergie d'un soleil pour y arriver, on est mal barré...
Pour répondre à la 1 je pense que l'homme (si il se fait pas sauter avant) ira visiter d'autres planêtes plus tôt que beaucoup d'entre vous ne le pense. Je n'ai evidemment pas d'explication scientifique du comment (sinon je serai déjà dans mon vaisseau !) mais je sais que tout ce que l'homme imagine il finit par le créer. Les voyages spatiaux en font parti, comme en faisais parti à leur époque les bateaux, les avions, les sous marins, les satellites...
Salut,Envoyé par Pessimiste33Pour répondre à la 1 je pense que l'homme (si il se fait pas sauter avant) ira visiter d'autres planêtes plus tôt que beaucoup d'entre vous ne le pense. Je n'ai evidemment pas d'explication scientifique du comment (sinon je serai déjà dans mon vaisseau !) mais je sais que tout ce que l'homme imagine il finit par le créer. Les voyages spatiaux en font parti, comme en faisais parti à leur époque les bateaux, les avions, les sous marins, les satellites...
tu portes mal ton surnom
C'est effectivement ça, et tu ne t'étais pas trompé précédemment puisque tu avais précisé que L' étais la valeur mesurée dans le vaisseau, donc la longueur propre, et L dans le réf. Terre, donc la longueur impropre, donnant : L=L'/gamma_e ...Envoyé par Niels AdribohrNon, il y a quelque chose qui va pas dans mes explications (sinon la distance parcouru serait encore plus grande dans le réferentiel du vaisseau)...L' est en fait la longueur propre du parcour, donc c'est l'inverse de ce que j'ai dit:
L' est la distance mesurée dans le réferentiel de la Terre dans l'exemple que tu as cité et L la distance mesurée dans le réferentiel du vaisseau.
Par contre, pour le temps, on change rien .Ca parait pas logique à premiere vue car je me suis mal expliqué, mais je crois que ça doit être ça (enfin, je ne suis pas non plus trop en état de réflechir très clairement, c'est 1h du mat... ). Je reviendrais demain avec les idées plus clair.
Bonjour, je crois que je m'étais bien trompé la 1ere fois. Si L' était la longueur mesurée dans le vaisseau, celui ci mesurerait une distance Terre-Andromede plus grande que la distance mesurée sur Terre (et comme son horloge lui indiquerait qu'il les a parcouru en un moindre temps, il y aurait risque de dépassment de la lumière). Mais c'est en fait l'inverse qui se produit (puisqu'un voyageur qui effectuerait un tel voyage aurait l'impression que la distance parcourue ne serait pas aussi grande que celle mesurée sur Terre).Envoyé par physastroC'est effectivement ça, et tu ne t'étais pas trompé précédemment puisque tu avais précisé que L' étais la valeur mesurée dans le vaisseau, donc la longueur propre, et L dans le réf. Terre, donc la longueur impropre, donnant : L=L'/gamma_e ...
En fait, j'ai appliqué trop vite et trop bêtement la formule de variations des longueurs. En effet telle que j'ai posé la formule, L' signifierait bien la longueur mesurée par le vaisseau si la longueur à mesurer était "embarquée" dans le réferentiel du vaisseau. Cependant, la longueur à mesurer dans l'exemple est la longueur Terre-Andromede, et si par exemple une immense regle reliait Terre à Andromede, celle ci serait "attaché" au réferentiel Terrestre, et sa longueur propre L' serait donc celle mesurée dans le réferentiel Terrestre.
Enfin bon..disons que comme ça prete à confusion d'employé L' pour la longueur mesuré sur Terre et t' pour le temps mesuré sur le vaisseau, disons que si on considere le ' comme désignant les mesures faites dans le réferentiel du vaisseau on a:
L'=L(1-(v/c)2)1/2 (=L/γ)
et
Δt'=Δt(1-(v/c)2)1/2 (=Δt/γ)
tu tapes :Envoyé par Niels AdribohrPS: désolé pour les 1/2, je n'ai pas encore trouvé le moyen de mettre le symbole racine carrée.
[ TEX]\sqrt{ce que tu veux}[ /TEX]
(en supprimant l'espace après le crochet)
ça donne :
a+
Envoyé par Gilgameshtu tapes :
[ TEX]\sqrt{ce que tu veux}[ /TEX]
(en supprimant l'espace après le crochet)
ça donne :
a+
Latex, c'est bieng
... et plein de trucs, là :
http://amath.colorado.edu/documentat...eX/Symbols.pdf
a+
Envoyé par Gilgamesh
Latex, c'est bieng
super le lien, je l'enregistre tout de suite!!
Pas très homogène tout çaEnvoyé par Gilgamesh
Envoyé par 09Jul85Pas très homogène tout ça
et pourtant j'ai essayé !
Bon y'a i/i qu'est débile dans le premier membre, mais sinon ?
En fait j'ai dit de la merde..
Si est homogène à c'est bon
Bonjour à tous!
Bien que je n'ai pas suivi un cursus scientifique, j'aimerais apporter ma conception de l'Univers, et plus généralement du Cosmos qui est un terme plus ou moins synonyme de Nature.
Par Nature , j'entends une substance unique, infinie et éternelle.
Premièrement, unique est la Nature dans la mesure où il ne peut rien exister en dehors d"elle.
En second lieu, le Cosmos est infini d'un point de vue spatial : en effet comment conçevoir des limites, un "mur" à un espace. De plus, suivant les observations, il semblerait que l'espace soit plane, ce qui peut conforter la thèse de l'infinité.
Enfin, cette substance unique et infinie est éternelle, c'est à dire qu"elle n'est pas été créée et qu'on ne peut la détruire; on ne l'a pas vu naître et elle ne mourra jamais.
Parce que la Nature est éternelle, elle n'est pas soumise au temps : comme il a été dit plus haut, elle n'a pas eu de commencement et n'aura pas de fin.
La Nature est tout ce qui existe et est donc composée d'une d'une infinité d'éléments, d'objets, d'entités qui sont pour chacun d'eux fini et "mortels"( qui ont un commencement et une fin).
L'Univers, qui semble t-il, est né à partir du Big Bang, est un "objet" limité et soumis au temps; et il constitue une infime partie de la Nature.
De là, on peut raisonnablement penser qu'à travers le Cosmos, il existe une infinité de big bang et donc d'univers. Il devient aussi possible de conçevoir une infinité de personnes, de jumeaux qui nous ressemblent peu ou prou.
Voilà donc ma conception de l'infinité qui nous entoure et dont nous faisons partis; conception développée grâce à celui que je considère comme mon maître : Baruch de Spinoza.
"Deus sive Natura", L'Ethique, Spinoza.
C'est beau ! mais c'est plus de la métaphysique, de la poésie, que de la science.