A priori, les écoles ont justement été fermées avant la circulation du virus à un niveau significatif dans les établissements.Donc pratiquement tous les enfants ayant fréquenté l'école, le collège, le lycée quand le virus circulait. Que les enfants soient restés asymptomatiques pourquoi pas mais on devrait retrouver de nombreux cas chez les profs moins asymptomatiques Non ? Après tout ils ont respiré le même air !
Ou elle n'ont pas rouvert : coup de bol dans l'Oise, le cluster a été découvert quelques jours avant la rentrée scolaire.
Mais le premier patient (du moins contaminé en France) décédé du Covid-19 était prof de techno dans un collège, malade (diagnostiqué grippe) 2 jours avant les vacances et certainement contagieux avant son arrêt de travail (il toussait). Il a pu contaminer des dizaines d'élèves avant d'être arrêté. Et eux leurs parents pendant les vacances, etc... J'aurais très bien pu être moi-même contaminé par un ami avec qui j'ai passé la soirée fin février, et dont la fille était une de ces élèves. Bon apparemment ni lui ni sa fille n'ont eu de symptômes (mais elle n'a pas été testée, comme certainement la plus grande partie de ses camarades). Lui ne s'est mis en télétravail (de sa propre initiative) qu'à partir du 4 mars, et avait pris le train pour Paris quotidiennement les deux semaines précédentes.
Donc le "avant la circulation du virus à un niveau significatif" est un peu optimiste, ou au moins dépend des régions.
A mon avis, à la rentrée scolaire de la région parisienne, une semaine plus tard, le mal était déjà fait, que le virus soit arrivé de l'Oise (probable vu le nombre d'habitants de Creil et Crépy qui font la navette quotidiennement), du Haut-Rhin ou d'Italie. Cela m'a d'ailleurs fait sourire (jaune) quand j'ai su que les élèves et profs qui revenaient d'Italie étaient priés de rester chez eux alors que rien n'avait été fait pour limiter la circulation entre l'Oise et la région parisienne. Ce n'est encore qu'une semaine plus tard que les établissements scolaires ont été fermés.
Mon petit fils a eu ce qui ressemblait à une grosse grippe une semaine après la rentrée (dans le Val d'Oise), et une rechute bizarre 10 jours après les premiers symptômes (et 2 jours après son retour au collège) avec à nouveau une forte fièvre (mais apparemment rien d'alarmant à la radio des poumons). Mais bon...
Oui, je voulais dire que ce n'étais pas pire que ce qu'on voit (me mouille pas): en fait, s'il y avait eu contamination scolaire du genre des débuts d'épidémies de gastros qui précèdent les vacances grâce au confinement vacances, ça aurait été un mass...
Voila, ça dans quasiment chaque foyer avec la contagion qu'on lui connait (pas assez, d'ailleurs).Mon petit fils a eu ce qui ressemblait à une grosse grippe une semaine après la rentrée (dans le Val d'Oise), et une rechute bizarre 10 jours après les premiers symptômes (et 2 jours après son retour au collège) avec à nouveau une forte fièvre (mais apparemment rien d'alarmant à la radio des poumons). Mais bon...
Et la 5G ?
Redoutable contre covid-19, elle a permis de surveiller les malades et les respirateurs à distance dans les hôpitaux provisoires chinois.Et la 5G ?
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Pour revenir dans le sujet et au fil des discussions d'aujourd'hui le masque va devenir le grand sujet en particulier comment fabriquer son masque ?
Pour quel usage ? Travail ou courses, pour quelle durée de port..
Un effet collatéral lié aux masques: la mode du port de la barbe va passer , on va tous ressembler à Aurélien BARRAU à la fin de la crise
Si, si ça dure assez longtemps, il lui fera subir le même sort qu'à Jeanne d'Arc sur le bucher: périr par les flammes...
Problème des masques à usage unique: ils fonctionnent sur le principe de électricité statique...
Sinon, vu qu'on n'a aucun décès à la Réunion malgré plus de 300 cas, c'est qu'on doit avoir le remède miracle: le rougail saucisse...
Jusqu'ici tout va bien...
il n'y a aucune raison que les µondes ne fassent rien au virus. Il contient de l'eau, il est sensible à l'échauffement. Cette affirmation me parait donc peu justifiée, à moins que je n'aie raté un élément.
La vie trouve toujours un chemin
Dans le mode d'emploi donné par l'OMS pour le désinfectant hydroalcoolique il est mentionné l'ajout d'eau oxygénée. Il est écrit qu'elle ne participe pas a la désinfection MAIS qu'elle permet de tuer les SPORES BACTERIENNES qui peuvent contaminer les surfaces des flacons ou récipients ayant servi pour la préparation, le plus inquiétant étant qu'il faille attendre 72H (3 jours!) pour être assuré qu'elles ont bien disparu.
Cela laisse planer un doute sérieux sur l'efficacité de ce mélange.
Dernière modification par Flyingbike ; 04/04/2020 à 21h40. Motif: police
J'ai essayé le micro-onde après avoir avoir passé un vieux masque genre FFP2 au brumisateur d'eau potable sur la zone de respiration > 900 W pendant 5 minutes pour ressentir une T° assez élévée, mais je n'ai pas mesuré celle-ci avec un thermomètre à sonde... Perso, je préfère le four classique...
C'est en cas d'arrivée massive (peut-être des millions de particules) > Comment traduire cette hypothèse?? Doit-on traduire en cas d'arrivée massive de microbes, de virus (Covid-19 et autre)...etc et pas uniquement que le Covid-19, car je n'ai pas la sensation qu'il y ait des concentration élevées de Covid-19 dans ces contagion.Envoyé par minushabens
c'est plus compliqué que ça. Quand une particule virale arrive au contact d'une muqueuse elle est aussitôt attaquée par le système immunitaire, grâce à une réponse non spécifique puisque ce virus est inconnu. Si cette particule est isolée elle a de grandes chances de succomber. C'est en cas d'arrivée massive (peut-être des millions de particules) que le système immunitaire est dépassé et l'infection peut avoir lieu. En tout cas ceux qui font des infections expérimentales savent qu'il faut une dose minimale pour obtenir une infection.
En tout cas ceux qui font des infections expérimentales savent qu'il faut une dose minimale pour obtenir une infection. minushabens peux-tu développer cette phrase, je ne suis pas biologiste Merci d'avance
Les solutions hydroalcooliques sont habituellement données pour répondre à des normes concernant leur activité bactéricide, sporicide, virucide et fongicide. Naturellement elle doivent être exemptes de spores pour cette raison. Cependant, dans le cadre de l'utilisation contre le SARS-cov2, il n'y a aucun doute à avoir sur l'efficacité virucide d'une solution préparée artisanalement même non traitée à l'H2O2.Dans le mode d'emploi donné par l'OMS pour le désinfectant hydroalcoolique il est mentionné l'ajout d'eau oxygénée. Il est écrit qu'elle ne participe pas a la désinfection MAIS qu'elle permet de tuer les SPORES BACTERIENNES qui peuvent contaminer les surfaces des flacons ou récipients ayant servi pour la préparation, le plus inquiétant étant qu'il faille attendre 72H (3 jours!) pour être assuré qu'elles ont bien disparu.
Cela laisse planer un doute sérieux sur l'efficacité de ce mélange.
La vie trouve toujours un chemin
On peut remplacer dose par quantité. Entre recevoir quelques éléments infectieux qui n'auront probablement pas d'effet et un gros crachats saturé de particules infectantes, il y a la quantité minimale de virus (arrivant en une fois) qui permet juste d'infecter l'organisme.
Bonjour,
Je ne viens pas ici donner mon avis au sujet des masques, mais juste vous demander conseil afin de m’éviter de faire de grosses bêtises.
Merci d’avance pour vos réponses et désolé d’avoir été si long.
Comme tout un chacun je m’efforce de m’exposer le moins possible à ce virus, sachant de surcroît qu’à mon âge cela pourrait très vite prendre l’allure « d’un aller simple ».
Depuis l’entrée en vigueur du confinement (17 mars) je ne suis sorti de chez moi qu’une seule fois, le 25 mars, pour faire des courses au supermarché du coin, et la prochaine sortie est prévue le 8 avril, pour la même raison. Pour la suite je n’envisage qu’une seule sortie tous les 10 à 15 jours (*).
J’ai trouvé dans mes accessoires de bricolage 3 masques FFP2, reliquat d’une boîte de 10 achetée il y a longtemps. Ils sont périmés depuis janvier 2016.
J’ai décidé d’en porter un lors de ma dernière sortie, du 25 mars :
- En plus de l’observance très stricte des mesures barrières, et pas du tout en substitution de l’une d’elles.
- Bien que le message officiel à cette date était encore que le port de masque ne servait à rien pour le grand public et qu’il pouvait même être contre-productif.
- Pour compenser le fait que la date de péremption était dépassée j’ai renforcé le masque de la façon suivante.
J’ai glissé à l’intérieur deux couches de compresses médicales stériles en non-tissé.
Puis j’ai ajouté une couche pour bébé (j’en avais un stock suite aux visites de mes enfants et petits-enfants). J’ai bien sûr ôté la paroi externe étanche de la couche pour ne garder que la garniture intérieure et la paroi intérieure, poreuse. J’ai découpé tout cela et l’ai cousu sur le pourtour du masque FFP2.
Je me suis dit qu’au pire cette bidouille ne me protégerait pas, mais qu’elle protégerait les autres contre une contamination de ma part et surtout qu’elle m’éviterait de me toucher le nez par un malheureux geste réflexe.
QUESTION 1 : cette bidouille valait elle la protection des masques en tissu dits « alternatifs », qui ont acquis droit de cité depuis quelques jours.
Au sortir du supermarché j’ai ôté ce masque (de la bonne manière) et l’ai déposé dans un petit sac plastique en considérant cela comme étant un objet contaminé, au même titre d’ailleurs que toutes mes emplettes. J’ai laissé le tout en dépôt sans y toucher, pendant 3 jours.
QUESTION 2 : ce délai contribue t’il à la disparition du virus sur le masque ?
Ensuite j’ai décousu les couches que j’avais ajoutées au masque, pour les jeter.
J’ai exposé le masque au soleil pendant une journée, sur chaque face.
QUESTION 3 : cela contribue t’il efficacement à décontaminer un virus ?
Puis j’ai enfermé le masque dans une boîte étanche au-dessus d’une couche d’alcool à 90°, mais sans contact direct, afin qu’il baigne dans les vapeurs d’alcool. Il y est encore et y restera quelques jours de plus.
QUESTION 4 : les vapeurs d’alcool ont elles autant d’effet décontaminant que le contact direct avec le liquide ?
(toutes ces opérations ont été conduites avec les précautions requises pour la manipulation d’objet contaminé).
J’envisage à la veille de la prochaine sortie de ré-équiper ce masque des mêmes différentes couches que la fois précédente et de le porter.
QUESTION 5 : la plus critique. Puis-je considérer ce masque comme ayant été bien décontaminé, à supposer qu’il avait été contaminé, et n’est-ce pas un risque de le porter ?
(Je reste conscient du fait que la protection qu’il m’apportera vis-à-vis de l’extérieur n’est, elle, pas prouvée du tout et qu’au mieux il ne vaudra pas plus qu’un masque alternatif en tissu, …que je ne sais pas encore me procurer).
Merci.
(*) Ce n’est pas un exploit d’abnégation vis-à-vis du confinement, car je suis confiné sur...14 hectares. Je n’ai donc pas besoin de sortie pour faire du jogging, ni pour promener un quelconque toutou.
Ce n’est pas rare en milieu rural. J’en connais qui sont confinés sur 150 hectares.
Dernière modification par SULREN ; 04/04/2020 à 23h40.
OK, je comprends... Alors cela voudrait dire que brutalement la contamination par la simple respiration ne tient pas... A la rigueur, les postillons et encore mais par crachats ou lors de toux, la contamination est trop rapide... Tous ces "éléments" sont trop lourds, ils tombent rapidement à terre...Envoyé par myoper
On peut remplacer dose par quantité. Entre recevoir quelques éléments infectieux qui n'auront probablement pas d'effet et un gros crachats saturé de particules infectantes, il y a la quantité minimale de virus (arrivant en une fois) qui permet juste d'infecter l'organisme.
Je sais qu'en Chine, ils crachent beaucoup par terre surtout au "restaurant" > C'est pas ragoûtant... Brrrr!!! Je sais également que dans certaines banlieues, le crachat est une mode d'origine sportive...M'enfin tous ces gens ne se crachent pas à la figure...
Il y a encore un facteur qui vient perturber la transmission....
Un crachat à terre peut-il lâcher une "dose" suffisamment concentrée pour infectée une personne qui circule ??? C'est un peu douteux et ça n'explique pas la vitesse de propagation...
Peut-être envisager un facteur (T°, humidité, chimique, molécule, une bactérie, un autre virus, ...) favorisant qu'une petite dose puisse alors coloniser une alvéole pulmonaire...
As-tu un avis myoper sur ces informations...
Bonjour Sulren,
Je ne suis pas spécialiste, mais si on lit les études publiées à ce sujet ( https://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJMc2004973 )...
Oui. En trois jours, la quantité de virus diminue très fortement. Sur du plastique elle est divisée par mille. Sur du carton, elle n'est plus mesurable après deux jours.Au sortir du supermarché j’ai ôté ce masque (de la bonne manière) et l’ai déposé dans un petit sac plastique en considérant cela comme étant un objet contaminé, au même titre d’ailleurs que toutes mes emplettes. J’ai laissé le tout en dépôt sans y toucher, pendant 3 jours.
QUESTION 2 : ce délai contribue t’il à la disparition du virus sur le masque ?
Pour le soleil et les vapeurs d'alcool, je n'en ai aucune idée.
A mon avis, si plus de 7 jours se sont écoulés entre les deux sorties, si le masque est sec, et s'il a été stocké à plus de 20 degrés, il n'y a aucun risque.J’envisage à la veille de la prochaine sortie de ré-équiper ce masque des mêmes différentes couches que la fois précédente et de le porter.
QUESTION 5 : la plus critique. Puis-je considérer ce masque comme ayant été bien décontaminé, à supposer qu’il avait été contaminé, et n’est-ce pas un risque de le porter ?
Une étude non validée pour le moment semble indiquer que le virus se conserve très longtemps à une température de 4° (température "officielle" de nos frigos, mais vérifiez avec un thermomètre), il serait quasiment intact après 14 jours : https://www.medrxiv.org/content/10.1....15.20036673v2
Dans un espace vectoriel discret, les boules fermées sont ouvertes.
Personnellement, quand je sors faire mes courses (avec mon caddie perso), je porte un seul gant. La main qui porte le gant me sert à manipuler les objets extérieurs : poignées de porte d'immeuble, bouton d'ascenseur, clavier d'appareil à carte bleue, et à saisir les articles dans les rayons.
L'autre main, non gantée, me sert pour les objets personnels (sacoche, carte bleue) et à me gratter si j'ai quelque chose dans l'oeil ou ailleurs. Elle n'est généralement pas en contact avec les objets extérieurs.
Mission impossible : faire un noeud au sac dans lequel je mets les pommes avec une seule main.
De retour chez moi, je dépose le gant dans l'entrée. En trois jours sur du tissu, le virus s'élimine tout seul.
si j'ai besoin de me servir tout de suite ou de mettre quelque chose au frigo, je nettoie les articles au savon. Sinon, je laisse le caddie chargé en "quarantaine" pendant trois jours.
J'ai appris récemment que la température élevée (70°) détruisait le virus, mais seulement au bout de 4 minutes ! Exit donc les plats tout frais du traiteur passés une minute au micro-ondes. Je les fais désormais chauffer 5 minutes à la casserole.
Il y a un truc que je ne comprends pas : il est recommandé de chauffer à 70° les aliments d'origine animale. Pourquoi pas les autres ??
Dernière modification par Pio2001 ; 05/04/2020 à 00h37.
Dans un espace vectoriel discret, les boules fermées sont ouvertes.
C'est une logique que j'ai considere pendant un certain temps (compte tenu d'un article (il faudrait vraiment que je le retrouve) expliquant la contagion elevee en Lombardie (et en Chine) du a une concentration de PM2.5 de 40 a 60 mcg/m3 En supposant les p'tits virus survivant mieux sur les particules.Oui mais le périmètre (d'aéroportage ou de durée de vie aéroportée) est forcément limité car à partir d'une certaine distance, elle se comporte comme si l'air était infecté et le nombre de contaminé sera bientôt ou est déjà de 100 % (ceci dit, c'est peut être déjà le cas ou presque).
Mon AQI chez moi (aujourd''hui est particulierement horrible 400 mcg/m3) est de 100-150 mcg/m3 de PM2.5 comme bruit de fond, donc si le virus pouvait utiliser ce moyen de propagation, on le saurait deja. Cette pollution va des montagnes (en feu) jusqu'au milieu de la vallee principale (donc une bonne vingtaine de kms au travers de la ville d'un million de personnes).
T-K
If you open your mind too much, your brain will fall out (T.Minchin)
La destruction du virus à cette température est valable pour tout les aliments. Pour ce qui ne se cuit pas, une consommation après 3 jours de stockage est une bonne solution. Il ne faut évidemment pas mélanger les courses stockées par exemple il y a deux jour avec celles faites aujourd'hui: idéalement faire ses courses le moins souvent possible en prévoyant ses menus à l'avance.Personnellement, quand je sors faire mes courses (avec mon caddie perso), je porte un seul gant. La main qui porte le gant me sert à manipuler les objets extérieurs : poignées de porte d'immeuble, bouton d'ascenseur, clavier d'appareil à carte bleue, et à saisir les articles dans les rayons.
L'autre main, non gantée, me sert pour les objets personnels (sacoche, carte bleue) et à me gratter si j'ai quelque chose dans l'oeil ou ailleurs. Elle n'est généralement pas en contact avec les objets extérieurs.
Mission impossible : faire un noeud au sac dans lequel je mets les pommes avec une seule main.
De retour chez moi, je dépose le gant dans l'entrée. En trois jours sur du tissu, le virus s'élimine tout seul.
si j'ai besoin de me servir tout de suite ou de mettre quelque chose au frigo, je nettoie les articles au savon. Sinon, je laisse le caddie chargé en "quarantaine" pendant trois jours.
J'ai appris récemment que la température élevée (70°) détruisait le virus, mais seulement au bout de 4 minutes ! Exit donc les plats tout frais du traiteur passés une minute au micro-ondes. Je les fais désormais chauffer 5 minutes à la casserole.
Il y a un truc que je ne comprends pas : il est recommandé de chauffer à 70° les aliments d'origine animale. Pourquoi pas les autres ??
Pour le congelé, le frais: mettre en quarantaine les aliments fraichement achetés dans un sac poubelle (que l'on referme sans mettre son nez au dessus) et placer idéalement dans le bas de l'appareil de réfrigération/congélation.
On est en pleine floraison des arbres fruitiers, les pollens sont des particules fines: cela donne une perspective sur l'utilité des masques. Il serait bon quand même de faire des recommandations sur les temps et fréquences de port de ces masques en fonction de l'environnement des personnes. Par exemple , le porter en continu à la maison ne sert à rien et peut s'avérer négatif (début de contamination). Ne pas le porter pour faire un footing..C'est une logique que j'ai considere pendant un certain temps (compte tenu d'un article (il faudrait vraiment que je le retrouve) expliquant la contagion elevee en Lombardie (et en Chine) du a une concentration de PM2.5 de 40 a 60 mcg/m3 En supposant les p'tits virus survivant mieux sur les particules.
Mon AQI chez moi (aujourd''hui est particulierement horrible 400 mcg/m3) est de 100-150 mcg/m3 de PM2.5 comme bruit de fond, donc si le virus pouvait utiliser ce moyen de propagation, on le saurait deja. Cette pollution va des montagnes (en feu) jusqu'au milieu de la vallee principale (donc une bonne vingtaine de kms au travers de la ville d'un million de personnes).
T-K
Ah! Je comprends mieux la raison du port du masque en présence de brûlis...Envoyé par Tawahi-Kiwi
compte tenu d'un article expliquant la contagion élevée en Lombardie (et en Chine) du a une concentration de PM2.5 de 40 a 60 mcg/m3
AQI > Indice Qualité de l'Air
PM10 > Particule fine dimension 10 micro-mètre ou 10 µm
Mon AQI chez moi (aujourd'hui est particulièrement horrible 400 mcg/m3)
Impressionnant quand même, il n'y a aucun mouvement d'air pour obtenir cette valeur???
Quelle est la durée de retombée de ces particules???
Le port du masque va se généraliser dans les prochains jours, ne faut-il pas prévoir un fil spécifique masque? Dans l'idée de son bon usage et surtout parler des durées de port en continu ?
Region montagneuse, couche d'inversion, source locales et regionales. Ca peut varier assez rapidement suivant la meteo (par exemple, aujourd'hui, le pic etait a 9h du mat a 700 µg/m3, a midi, c'etait deja retombe a 150µg/m3).
Pour la duree de retombees des particules....bof, des p'tits machins de ~150nm (avec 95% entre 30 et 300nm) fait essentiellement de carbone, je sais pas si on peut appliquer la loi de Stokes betement, mais ca prendrait beaucoup de temps. Ce sont plus des processus physico-chimiques d'agglomeration (creant des particules plus grosses susceptibles de se deposer) ou une dissipation qui permet de se debarasser du smog.
Enfin toujours est-il que pour retourner sur le sujet principal, on a des cas de COVID-19 dans la ville depuis debut fevrier, un temps pourri depuis la mi-fevrier (fin mars-debut avril c'est le pire), si ce smog etait contagieux, ca se saurait (et c'est une pollution qui ne part pas avec le confinement).
T-K
If you open your mind too much, your brain will fall out (T.Minchin)
La, maintenant: https://forums.futura-sciences.com/c...ovid-19-a.html
Bonsoir !
Masques de protection : la piste prometteuse du recyclage
https://lejournal.cnrs.fr/articles/m...e-du-recyclage
Extrait:
"Plusieurs pistes sont à l’étude. Dans le cadre d’un consortium interdisciplinaire mis en place par le CNRS et le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) qui rassemble des médecins, des scientifiques et des industriels, nous explorons ainsi actuellement les avantages comparés d’un lavage avec un détergent à 60 ou 95 °C, d’un passage en autoclave à 121 °C pendant 50 minutes, d’une irradiation par des rayonnements gamma ou bêta, d’une exposition à l’oxyde d’éthylène et d’un chauffage à 70 °C en chaleur sèche ou dans l’eau."
PS: J'ai commandé mon autoclave, c'était le dernier.
Respirer dans un truc passé dans l'oxyde d'éthylène, faut avoir confiance dans la suite des manips.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
OK, merci pour tes infos concernant les brûlis...Envoyé par Tawahi-Kiwi
Enfin toujours est-il que pour retourner sur le sujet principal, on a des cas de COVID-19 dans la ville depuis début février, un temps pourri depuis la mi-février (fin mars-début avril c'est le pire), si ce smog était contagieux, ça se saurait (et c'est une pollution qui ne part pas avec le confinement).
si ce smog était contagieux, ça se saurait > En fait j'essaie de comprendre la contagion rapide de ce virus, mais une information de minushaben semble éliminé la contamination par l'air rejeté > pour être infecté il faut quand-même recevoir une certaine dose, pas sûr que des particules virales qui voletteraient libres dans l'air soient infectantes. Mais, les crachats, les postillons, la toux ou les éternuements n'apparaissent pas suffisamment nombreux à hauteur d'homme pour créer une telle contagion...
Il semblerait que covid-19 soit à 2 vitesses > symptômes léger aux début puis brusquement violent et agressif à un moment donné, comme si on était en présence d'une grippe** classique peu agressive (peut-être sous jacente) permettant à quelques virus Covid-19, une contagion puis une attaque violente et virulente... ** ou autre maladie
myoper ou minushaben auront peut-être une opinion si cette situation est envisageable???
Il ya énormément de dispositifs médicaux ou de matériel/consommables utilisés en laboratoire qui sont stérilisés avec ça.Respirer dans un truc passé dans l'oxyde d'éthylène, faut avoir confiance dans la suite des manips.
La vie trouve toujours un chemin
Bonsoir, faites-vous du jogging intense ? Il est courant ( c'est le cas de le dire...) que c'est quasi inéluctable. Bien à vous