Transcription inverse in vitro du vaccin à ARNm Pfizer BioNTech BNT162b2 dans une lignée de cellules hépatiques humaines.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8946961/ Publié le 25/02/2022.
Traduction partielle.
Les études précliniques du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2, développé par Pfizer et BioNTech, avaient montré des effets hépatiques réversibles chez les animaux ayant reçu l'injection du vaccin.
Les auteurs ont examiné l'effet du BNT162b2 sur la lignée de cellules hépatiques humaines Huh7 in vitro.
[NB : ces cellules Huh7 sont issues d’une lignée d’hépatocytes émanant d’un hépatocarcinome, transformées et utilisées pour les études in vitro].
Les cellules Huh7 ont été exposées au BNT162b2.
Des niveaux élevés de vaccin ont été détectés dans ces cellules, ainsi que des changements dans l'expression du gène d’une transcriptase inverse endogène.
L’ARNm du BNT162b2 est transcrit de manière inverse en ADN dans les cellules en seulement 6 heures.
En outre, les auteurs mentionnent une étude de 2021 qui avait montré que l'ARN du SARS-CoV-2 peut faire l'objet d'une transcription inverse et être ainsi intégré dans le génome des cellules humaines.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8166107/
Voici un bref résumé de cette étude in vitro, qui avait suscité de nombreux commentaires.
Les auteurs ont constaté qu’il est possible d’intégrer par transcription inverse des séquences d'ADN issues de l’ARN du SARS-CoV-2 dans le génome de cellules humaines.
Ces séquences ne peuvent pas produire un virus SARS-CoV-2 infectieux.
Il ne faudrait pas en extrapoler que c’est nécessairement le cas in vivo.
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