Je me méfie de ce post comme de la peste, mais je vois que vous avec évoqué le théorème du viriel. Je me suis fait jeter il y a quelques mois quand j'ai innocemment demandé à un astrophysicien si on était bien certain que le théorème soit applicable dans les calculs où on cherche la vitesse des étoiles dans les galaxies. En gros : est-on certain qu'on puisse considérer les galaxies comme un gaz parfait et que des dernières fussent vraiment à l'équilibre ? Je donnais l'exemple des galaxies sans MN (DF02 et l'autre plus récente du même voisinage, j'avais ouvert un post ici sur elle) et je disais "n'y aurait-il pas, c'est un exemple d'autre interprétation possible, une possibilité pour que les galaxies se "disloquent" vraiment et que ces galaxies sans MN en soit des exemples ?", on pourrait imaginer que tant qu'il y a des fusions galactiques ça entretient une partie de la cohésion autour du bulbe mais au bout d'un moment "l'effet centrifuge" disloque ces galaxies et si on en voit très peu ça pourrait être que ce phénomène est à la fois rapide et qu'il rend les galaxies pratiquement invisibles ensuite *. Bon, il a pas du tout aimé, pourtant je trouve que sur le fond, c'est intéressant de tenter de voir les choses autrement (ça aurait sûrement beaucoup plus à cet ours mal léché qu'est Christian Magnan ), même si on est d'accord c'est peu probable.
* surtout que l'intérêt est que vu qu'il y aurait bcp plus d'étoiles et de galaxies qu'observé, ça pourrait faire sauter une part non négligeable de la MN "nécessaire".
-----