Je reconnais que l'argument est au ras des pâquerettes mais il est parfaitement pertinent : voila quelqu'un qui mène une violente campagne contre un risque qui n'est pas démontré (même si je suis d'accord qu'il y a des précautions à prendre) et qui affronte sans état d'âme un risque avéré et mortel.
C'est toute la différence entre le risque perçu et le risque réel.
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