A très long terme... oui probable.
Enfin regarde un peu dans le passé les taux de spéciation, compare ça avec l'érosion actuelle de biodiversié, et estime le temps nécessaire à la restauration de biodiversité (dans l'hypothèse que le facteur contribuant à leur érosion disparaisse).
Notons que certaines espèces sont capables, un peu comme l'homme, de contrôler et stériliser leur environnement (plantes modifiant le sol, fourmis...). On n'observe que très peu d'espèces développant des résistance à ce genre de modifications, et donc à leur niveau ces espèces diminuent la biodiversité. L'homme est une autre espèce, à impact seulement plus global. Si l'homme ne disparaît pas, on n'a aucune certitude que e retour de biodiversité dont tu parles soit effectif.
Si on détruit tous les objets archéologiques actuels, ou toutes les œuvres dart considérées comme majeures, on peut de même considérer que ce n'est absolument pas un problème, car l'homme est très susceptible d'en produire de nouveaux dans l'avenir.Voir les choses à l'échelle humaine (100 ans, 500 ans) ne dit RIEN sur le fait que la biodiversité, ou que "la planète", est menacée ou non.
Bref à mon avis c'est un peu un raisonnement par l'absurde, qui a l'attrait confortable de la dédramatisation, mais cache pas mal de problèmes éthiques.
On peut de même considérer que les divers massacres de populations humaine n'ont aucune importance, puisque l'espèce humaine se reproduit bien
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