Mesdames et Messieurs,
Je suis très heureux d'enfin parler de l'idée qui me préoccupe depuis tant de temps, celle de la mathématisation du monde.
Ce sujet me tiens très, très à coeur. Pourquoi ?
Je suis étudiant en Licence 3eme année Physique-Chimie à l'Université Pierre et Marie Curie, et en même temps les mathématiques me passionnent. Donc je me cultive en mathématiques, précisément en algèbre, qui est selon moi la source du monde. Pourquoi ?
Eh bien cette idée m'est venue à force d'apprendre et de connaitre les mathématiques : elles ont une généralisation hors du commun, et je suis convaincu qu'elles s'appliquent alors à tout, aussi bien qu'en physique, chimie (sans blague ?...), que (tennez-vous bien...) en psychologie, en histoire, en géographie, etc. Ainsi m'est venu l'idée de mathématisation du monde : c'est l'abilité de poser tout ce qui est en mathématique, et pas seulement en équation, mais en tout ce qui peut être mathématique.
Dès lors, tout remonte à un fondement axiomatique admis pour faire des mathématiques, tout est lié par ce fondement et les raisonnements qui en découlent.
Notre vie entière est menée par une réalité qui peut être traduite en mathématiques, car le langage y est univoque.
Univoque, donc à un seul sens. Ce sens suggère d'ailleurs une droite, puis un vecteur. Donc deux points : Début et Fin. Autrement dit, tout a un fondement.
Non, ne pensez pas au matérialisme, car il affirme que la matière est l'essense de toute chose.
Je ne parle pas spécialement de matière.
Je parle aussi d'âme, par exemple.
Si l'âme existe, alors il existe un raisonnement permettant de décrire mathématiquement l'âme.
Si l'âme n'existe pas, alors il existe un raisonnement permettant de décrire mathématiquement l'illusion de l'Homme.
Encore faut-il le démontrer !
Encore faut-il démontrer que les mathématiques peuvent être source de mathématisation.
Par ailleurs, cette idée en suggère une autre, plus orientée vers les sciences dîtes expérimentales : je parle de physique, ou de chimie, c'est-à-dire physique ou chimie tels qu'ils sont aujourd'hui conçus par la majorité de la commune scientifique.
L'expérience n'est rien d'autre qu'un maintient à l'Homme pour obtenir une loi, qui peut être démontrée par les mathématiques (à voir la fameuse loi de Beer-Lambert par exemple...).
Ainsi, tous les physiciens et les chimistes qui approuvent l'expérience témoignent la faiblesse que l'Homme a à utiliser un langage univoque, car le plurivoque sous-entend "plusieurs" et "vocation", soit "plusieurs vocations", donc DESIR.
Encore faut-il savoir se servir des mathématiques (quelques, voire tous les, chimistes sont désignés ici : certains ne savent pas ce qu'est une moindre fonction hyperbolique !!!!!!!!!!!!!!! Je suis navré mais cela me choque terriblement...), et même ce n'est pas tâche facile pour les mathématiciens.
Ce qui faut faire, c'est engager un nouveau point de vue, pour faire avancer les choses d'une manière exponentielle.
C'est partir d'axiomes, ou encore remarquer des correlations entre des domaines de chimie et de mathématiques et voir finalement qu'ils correspondent.
Vous allez me dire : "rien que ça, c'est l'expérience !" Je vous répondrais que "non", car l'expérience n'est pas la théorie, et là je joins l'expérience à la théorie, et d'une manière mathématique.
Tout ça pour dire que je pense que la science expérimentale aboutit aujourd'hui moins bien à la science théorique, et aboutirait moins bien à ce que j'appellerais la "science mathématique". Encore faut-il le démontrer.
Je ne peux encore rien démontrer, non seulement parce que je n'ai pas assez de connaissances en physique, chimie et math, mais aussi parce que je suis pris pas ces études.
Mais je peux vous garantir que dès que j'aurais un poste fixe, j'y travaillerai le plus profondément de mon coeur et de mon âme !
Je vous remercie de votre attention, et merci aussi de laisser tous les commentaires du monde entier, aussi mathématique qu'il soit !
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