Non car "tout est déjà" sans plus de formalisme je partage le point de vue que c'est une question d'ontologie et toi tu en fait par des définitions superficielles et des affirmations péremptoires une question de physique. Problème qui nécessite plus de rigueur que la simple rhétorique si on veut l'aborder d'un point de vue physique car il faut poser des bases formelles et illuminer toute schématisation simpliste. De plus la question de cette vision philosophique d'éternalisme doit être aborder sous tous les angles relativiste (RR, RG) et quantique (avec la notions de champ).
La notion du temps (ordonnancement passé,présent,futur) et du "réels" ("existence" d'évènements) est au coeur du débat. Que signifie les assertions "Evt existe", "Evt est présent", "Evt est passé" ... comment formuler de manière précise ces intuitions.
Prenons l'exemple dans la théorie de la relativité restreinte et générale (Dixit Einstein dans un livre) il n'y a plus dans cette structure à 4 dimensions de coupe qui représente objectivement le "maintenant".
La RR propose une convention standard pour permettre à un observateur de dire qu'un évènement est simultané à son existence à un instant qui défini comme présent. Dans le cas d'observateur accéléré (aucun observateur ne peut être parfaitement inertiel) les hyperplan de simultanéité se recoupent ce qui induit qu'un même évènement peut être présent pour deux points évènements distinct d'un même observateur.
Autre situation conforme à la relativité : Depuis M on ne peut envoyer de signal à aucun point de la ligne d’univers de A, et on ne peut en recevoir non plus d’aucun d’entre eux.
Patrick
-----