Exemple, tester la liberté de mouvement du sternum dans ses paramètres antérieur et supérieur pendant la respiration donne une idée pour les ligaments antérieurs du péricarde en général.
Ou plus spécifique, une main sous le cartilage thyroide, une main sur le sternum, traction dans des sens opposés jusqu'à ce qu'une traction d'une main soit sentie dans l'autre => ça tire sur le ligament thyro péricardique.
Non pourquoi, venant d'un kiné l'argument aurait plus de valeur?
A ce stade le serpent se mord forcément la queue non?
Dans un premier temps faire l'étude de l'efficacité de la pratique. Ça on en a déjà parlé.
Mais quand bien même ça se révellait efficace, l'étape d'après pose problème puisqu'on ne peut pas changer le fait que l'on observe et travaille avec des mouvements pour l'instant non observés par ceux qui ont pourtant l'habitude d'examiner. Donc de toute façon pas d'expérimentation possible.
A moins que j'ai mal compris et que faire valider la pratique valide la théorie en amont... mais j'en doute fortement.
?!
Je remet rien en question là. Il me semble qu'il est reconnu qu'une pression mécanique importante sur un nerf à des conscéquenses sur sa fonction en terme de motricité ou de douleur.
J'emet juste l'hypothèse qu'une pression moins intense mais plus en continue puisse avoir un impact sur l'activité musculaire de fond, soit son tonus. (Si vous avez des études prouvant le contraire je suis bien sûr preneur.)
Ça ne remet en rien en question le fonctionnement moléculaire et ionique au niveau de la plaque motrice.
Évitez les procès d'intention s'il vous plait, même si vous le posez sous forme de question entre parenthèse. .
En retirant la métaphore:
doigt = nerf
porte = trou de conjugaison
J'ai bien appris ma bioméca, donc je sais (théoriquement) ouvrir la porte.
Mouep, c'est un point de vue
Faut-il changer le nom des vertèbres sacrées de peur de faire mystique quand on parle du sacrum ?
Je ne parlais pas de poser le diagnostique d'infarctus du myocarde mais d'en comprendre les causes dans un cas donné. Ce qui est forcément sujet à polémique.
Ce qui porte à confusion dans mon discourt, c'est le terme de "diagnostique ostéopathique" il ne consiste pas à nomer un syndrome/une maladie mais à comprendre la logique de ce qui pourrait en être la cause. Ce qui est forcément sujet à polémique.
Je pense pas qu'on va se disputer sur le fait de savoir si le patient présente un lumbago ou des migraines... une fracture ou un infarctus...
Dans ce sens, si l'un dit rouge et l'autre blanc, ça signifie peut être que le problème est rose.
Greg
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