C'est trompeur alors, car j'avais (quand j'étais étudiant) du caractériser un diélectrique et on remplaçait simplement epsilon0 par epsilonr ... depuis ce genre de liste : https://fr.wikipedia.org/wiki/Permit...C3.A9_relative mai bon, il faut un matériau électriquement isotrope (le plasma est pourtant neutre => isotrope à l'échelle mésoscopique), oui c'était niveau lycée (je l'accorde)
Oui, donc on ne pourrait pas macroscopiser (un mouvement d'ensemble, car il est évident qu'entre 2 particules chargées de même signe, qu'on cherche à rapprocher, c'est le vide, vu la distance par excellence, donc epsilon0) une partie du plasma (par exemple ?), je trouve juste cela bizarre (mais bon je te crois sur parole ), ou bien cas particulier d'un condensateur parfait avec 2 plans chargés infinis avec un diélectrique en sandwich que l'on cherche à mesurer sa permittivité relative (cas idéal) !(sauf peut-être cas très particulier; il faudrait d'abord que la "taille" des charges soit grandes devant la taille de la cellule d'homogénéisation utilisée pour obtenir un epsilonr. Impossible pour des charges élémentaires, peut-être applicable à deux objets macroscopiques chargés).
PS : Mais je croyais que les plasmas potentiellement thermonuke n'était pas étudié que d'un point de vue EDQ ; mais bien par le mouvement d'ensemble (après j'ai jamais dis que c'était simple ... mais peut être moins qu'une généralisation de l'électrodynamique quantique, même si c'est de l'EMHD (électro-magnéto-hydro-dynamique) ... oui oui, on a pas de solution analytique générale de l'équation de Navier-Stokes & on ne peut que la résoudre numériquement (sauf cas particulier genre 2D), etc ...
PS2 : Et puis je me représentais les charges circulantes dans le plasma d'ITER (par exemple ou autre tokamaks), comme des clusters d'e- ou de H+, puisqu'avec un epsilonr < 0 (les charges identiques devraient se rapprocher) même si l'effet d'agrégats doit être terriblement instable (et donc, l'instabilité inhérente et les coupures disruptives venaient en partie de là, àmha) et donc l'effet de cette hétérogénéité étant "explosif" lorsqu'elle change de "place" "brusquement" ... d'où la meilleur stabilité des stellarator, qui sont plus stable puisque les bobines supra sont dimensionnées selon les propriétés propres aux plasmas thermonuke, et à leurs "variations/instabilités" brutales (qui me faisait dire que les clusters formés soient tendus électriquement et donc localement epsilonr redevenait > 0 (mais moins localement que 2 charges ponctuelles, évidemment).
Bon et merci ++
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