Bonjour,Envoyé par Gilgamesh
Combien d'exploitations ont payé ce test Elisa ?
Et comment les statistiques évoqués ont-elles été extrapolées à l'ensemble de la surface agricole ?...pour avoir le chiffre de 30% de la viticulture frrançaise ?Les prélèvements sont réalisés par le client.
Et enfin, de nombreux organismes dénoncent l'utilisation de techniques de transgénèse pour combattre le court-noué.De nouvelles connaissances sur la survie du nématode et sa capacité à retenir le GFLV en l'absence de plante hôte ont été présentées et discutées au regard de l'établissement d'une durée minimum de repos du sol.
http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=17238784
Bonne soiréeVin et Santé - Vigne OGM : Nature & Progrès s’inquiète
(06/09/2005) © La Journée Vinicole
Alors que ce 7 septembre, l’INRA de Colmar s’apprête à mettre en pleine terre et à l’air libre des plants de vigne dont les porte-greffes ont été génétiquement modifiés pour résister à un nématode vecteur de la maladie du court-noué, la fédération internationale Nature & Progrès dénonce les dangers pour l’environnement, la santé et l’économie viticole générés par ces essais. Elle estime que cela est dangereux à la fois pour l’environnement, pour la santé humaine, et pour la notoriété des vins d’Alsace : « La nouvelle vocation de l’INRA serait-elle de disséminer les maladies ? » s’interroge la fédération car « On ne sait rien des possibles transferts et recombinaisons de gènes dans les plantes et les produits qui en sont issus, ni de leurs conséquences sur les personnes qui les consomment. On sait par contre que la transgénèse les amplifie et que cette construction transgénique contient un gène conférant une résistance à un antibiotique, ce qui est contraire au principe de précaution et aux règlements communautaires ». Nature &Progrès rappelle enfin que le court-noué est une maladie qui peut être maîtrisée par une simple rotation des cultures d’une dizaine d’années et à l’utilisation de plants sains.
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