Il n'y a que Maille qui m'aille:
http://www.youtube.com/watch?v=6zjQVWQcDRY
Au fait, Milka, ça s'écrit avec un K, non???
http://en.wikipedia.org/wiki/Milka
Il faut procéder par élimination ou par l'absurde (ça tombe bien): E2 a 10V, la même chose que E, il est clair qu'elle ne pourra pas faire conduire sa diode, ensuite, soit on est malin, soit on décide qu'une des autres des diodes (au hasard) sera conductrices, va appliquer sa source de tension au commun, de là on regarde comment est polarisée la dernière, on en tire les conclusions, on rectifie l'hypothése si nécéssaire...
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
oui tropique,mais desolée jai pas de temps à perdre
sinon l'essenciel,on a pas i pour appliquer la loi de mailles
je sais je sais appliquer la loi de mailles.
comment y faire le premier pas
Bonsoir milqua et tout le groupe
Objection "de principe". Dans la loi des mailles, c'est justement parce que l'on ne connait pas I, qu'on l'appelle I, pour faire comme si on le connaissait, et l'on résout une ou des équations, jusqu'à trouver I. Cette technique c'est de l'algèbre, enseigné en sixième.
Mais, la "dure réalité", c'est qu'ici, point n'est besoin de se compliquer la vie.
Le "jeu" est pipé d'avance, on donne le résultat, reste à savoir qui.
La réponse, dans ce cas est simple, il faut que la diode passante soit polarisée en direct.
Pour être orthodoxe jusqu'au bout, il faut faire trois calculs, avec une seule diode à la fois. On débranche la diode (tout comme on débranche la charge dans Thévenin), et on calcule la ddp aux bornes de la diode (absente), et l'on conclut sur son état. Par parenthèse, le courant de la "maille" est nul, il est donc connu.
Avec un peu de chance, on trouve un seul résultat passant.
Hum! Je ne sais pas trop comment nous, les intervenants, qui perdons notre temps, devons interpréter cette remarque.
Si je prends du meilleur des côtés possibles, je dirais qu'en effet, sans faire le moindre calcul (donc avec le minimum de temps perdu), la petite expérience de ce genre de circuit amène à une conclusion simple: la seule qui va conduire sera celle qui aura le plus de poids devant la source E. Mais ceci, c'est le résultat d'une intuition, pas d'un raisonnement clairement détaillé et dûment étayé par des calculs indiscutables.
Je maitrise bien la theo de thevenin,mais c'est la premiere fois que j entend que c'est applicable sur les diodes puisque ces dernieres sont des elements non lineaires .
pouvez vous m'expliquer comment ca marche,jai pas compris ce qu'a dit Genies?
pixel,jai des dixaines de fichiers sur mon pc soit en anglais ou en francais plus que le cours du prof,rien n'impporte du nouveau...je cherche toujours les techniques pour resoudre les exercices
'en electronique le cours sert à rien':à ne pas commenter svp
un peu de serieux
s'il vous plait
Attention, ne me fais pas dire ce que je n'ai pas dit.
Je n'ai pas dit qu'il fallait appliquer Thévenin. Tu verras, après, que, finalement, pourquoi pas. Ce que j'ai dit: "on débranche la diode (tout comme on débranche la charge dans Thévenin)"
Tu dois interpréter ceci comme:
1- dessine une maille comportant une seule diode, et tous les composants qui interviennent dans cette maille.
2- débranche la diode (à tester). Cela signifie que tu la remplaces par un circuit ouvert, mais tu laisses les repères A et K.
3- en appliquant la loi des branches, tu calcules la tension Uak entre les bornes A et K du dessin, c'est une valeur signée (algébrique).
4- ce résultat te permet de décider du modèle à choisir pour ta diode, suivant les conventions choisies initialement (parfaite, semi parfaite, réelle).
Ces résultats sont:
Si A est positif et K est négatif, c'est du direct.
Si A est négatif et K est positif, c'est de l'inverse.
Soient les modèles suivants, suivant les valeurs absolues de Uak trouvé.
En inverse, c'est un circuit ouvert.
En direct, cela va dépendre de la valeur Uak.
Uak < Uo -> blocage en direct -> circuit ouvert.
Uak > Uo -> passante en direct -> modèle {Uo;Rd}
Tension aux bornes de la diode Ud=Uo+Rd*Id, avec Id le courant direct. Tous les autres paramètres ont déjà été définis dans un de mes messages d'avant, auquel je t'invite à te reporter.
Là aussi, c'est un abus de langage.
Oui, une diode n'est pas un élément linéaire, puisque sont comportement ne répond pas à la loi d'Ohm simple U=R*I. Si l'on fait traverser le dipôle par un courant constant I, la tension à ses bornes ne détermine pas une droite. Et puis, suivant le signe de I, son comportement est différent. C'est donc non linéaire, ce qui serait le cas d'une résistance R.
Mais la "magie" de la modélisation fait abstraction de cette non linéarité, pour ne retenir, pour le dipôle, que les modèles adaptés à chaque cas de figure, qui, lorsque la diode conduit, l'assimile à une source de tension réelle ( {Uo;Rd} ), elle, parfaitement linéaire et répondant à la caractéristique d'un récepteur électromoteur, dont la tension à ses bornes est:
Ud = Uo + Rd * Id
déjà donnée.
L'autre modèle (double d'ailleurs, comme déjà dit) est un circuit ouvert. J'hésite à le qualifier de linéaire, puisqu'il est néant, mais on ne peut pas dire qu'il complique les calculs ou la compréhension.
Pour être complet (ou presque), je me dois de répéter que le MET {Uo;Rd} ne pourra jamais être générateur réel, et ce, pour deux excellentes raisons:
1- si une diode comportait un générateur caché, ça se saurait. Quoique ...
2- si elle devient générateur, alors le courant change de sens, et alors, la diode doit se trouver en inverse, ce qui devrait l'amener au blocage.
La nouvelle formule de la tension à ses bornes devrait prendre la forme suivante, qui est celle du générateur, qui perd des volts du fait de sa résistance interne:
Ug = E - r * I
dans laquelle Ug est la tension à ses bornes, E sa fém ou tension à vide, r sa résistance interne, et I le courant qui le parcourt.
Dans le récepteur, la tension à ses bornes est supérieure à sa fém.
Des exemples concrets de générateurs électromoteurs: batteries, piles, dynamo (la vraie) qui génèrent du courant.
Des exemples concrets de récepteurs électromoteurs: batteries en cours de charge, moteur.
Dernière modification par gienas ; 21/11/2009 à 21h20.
C'est pas gentil d'être méchant de la sorte!
Il me semble que les choses doivent remises à leur place, des deux côtés.
Ce que je comprends, c'est que milqua n'apprend "rien" en électronique, parce que le cours, court, suppose des prérequis que milqua n'a pas, ou n'a plus, mais la filière suivie ne l'exige pas. Les réseaux et télécom c'est avant tout de l'info. Ce serait bien d'avoir "une idée" de ce que font les électrons dans cette galère, sans plus.
Pour ce qui est de la voie, c'est fait.
Pour ce qui est de se mettre au travail, c'est en bonne voie.
Par contre, pour que ce soit plus fructueux, ce sont les cours d'années passées qu'il faudrait reprendre, où les rudiments d'électronique ont été dispensés, à une époque où milqua n'imaginait pas que cela pourrait lui servir un jour.
Dieu merci ,enfin quelqu'un qui me comprend;Genies...
toi pixél je suis serieuse je te le jure,sinon pourquoi suis je la donc ???
l'electronique c'est la soeur de l'informatique,mais helas pour l'electronique faut casser sa tete ,chercher partout d'exercices,d'ouvrages,de cours juste pour ameliorer un peu le niveau vu que l'electronique c'est toujours renouvellable et toujours ya de nouveau.
mais pour l'informatique c'est un passe-partout tu peux la maitriser juste à partir du net et facilement et sans prof ,n'importe qui peut maitriser l'informatique
un exemple,moi je maitrise presque tous les languages de la programmation(C C++ JAVA HTML MYSQL php et d'autres..)plus que l'informatique generale.mais faible voire en cours de progression en electronique ! vois tu ?
merci bouceaup Genies ,jai des problemes à comprendre des termes en francais mais jai compris l essenciel ,je vais copier ce que t'a ecrit dans un fichier puisque ca c'est important vraiment.
ma tete est bloquée ces gens là me font ceder et non avancer...
maintenant je suis rendre compte que je suis une SACREE fille carrement:
comprendre l'electronique.
supporter vos humilliation à chaque fois et revenir apres ...juste pour 'savoir'.
comprendre et ecrire à une langue etrangere.
vraiment je suis une sacrée fille ,trop...
si tes cours d'électronique sont par trop insuffisants , il y a un bonne (sinon la meilleure) collection francophone :
http://www.elektor.fr/products/books...-1.12521.lynkx
qui remet tout à plat pour les débutants ou les étudiants noyés, j'ai souvent utilisé comme support.
ce genre de site m'est pas utile en fait,il fait qu'un part parmi d'autres que j'y trouve pas mon bonheur.
en effet,il expose que des titres de livres d'electronique,l'actualité du domaine,un petit forum,en gros rien d'important pour moi
...
il est loin d'etre un site des débutants.
merci pixel tout de méme.
ce sont les bouquins que je t'indique , pas le site !
je pensais humblement que ce fut clair...
Bonjour à tout le groupe (et même les autres),
Il ne faut JASMAIS mettre des diodes en parallèle… Sauf que!
Les LEDs n’ont pas été triés, promis.
Malgré tout, ne faites pas ça dans vos montages.
si on applique la loi de maille pour voir quelle est la diode passante
on doit travailler sur trois mailles,
1er maille:
E1+Ud1-E+ri=0 (voir le shema) on s'interesse de Ud1 mais la on a pas la valeur de i pour trouver Ud1?pour conclure apres si Ud1 est moins 0 donc la diode est bloquée si plus 0 la diode est passante.
0 parceque c'est la seuil de trois diodes dans l'exercice.
en fait jai compris la demarche de Genies
mais si on applique pas cette methode on a i est different de 0.
que faire ?
Bonjour milqua et tout le groupe
Je ne comprends pas le sens de cette phrase. D'autant que, comme déjà dit, dans la recherche du statut de chaque diode, il n'y a pas de courant. La diode débranchée ouvre le circuit.
Pour être plus proche de la vérité, on ne dit pas que l'on a une loi des maille, puisque maille il n'y a plus: le circuit est ouvert. Il faut plutôt parler de loi des branches, mais il convient de fixer les règles, par un fléchage respectueux des conventions de fléchage.
Je dirais donc plutôt branches, distinctes les unes des autres. Au début, il convient de dessiner, flécher ces trois branches.
1- je ne vois pas de schéma fléché, donc je ne peux vérifier que l'expression est juste.
2- puisqu'on s'intéresse à Ud1, dans la loi des branches, on écrit directement Ud1=...
3- les signes + et - des expressions, découlent du sens "d'attaque" de la flèche. Si l'on rencontre la flèche, on met - et si l'on rencontre la base de flèche, on met +. C'est pourquoi le fléchage est capital.
4- il est bien dit déjà plus haut, que le circuit est ouvert, ce n'est donc pas un circuit, et donc, le courant y est nul. Du coup, le terme rI n'existe pas.
Oui, mais il faut que le fléchage de Ud1 soit parfaitement clair sans la moindre ambigüité, raison pour laquelle il faut raisonner sur un schéma fléché, avec des expressions ou des symboles clairs auprès des flèches.
Les mêmes règles sont aussi à respecter, rigoureusement, dans les mailles, avec des courants. On fixe un sens arbitraire du courant. On a le droit de se tromper (surtout quand on n'est sûr de rien), puisque la résolution des expressions donnera, dans le cas d'une erreur de choix, une valeur négative du courant, indiquant que le courant ne circule pas dans le sens choisi. Pas grave.
On flèche les ddp connues en respectant les signes. Là, on n'a pas droit à l'erreur. Sur les éléments résistifs, on écrit l'expression de la ddp (par exemple R*I), et le fléchage de cette ddp doit respecter la convention d'un récepteur, puisqu'une résistance "n'a pas le droit" d'avoir un statut de générateur. On reconnaît un récepteur au fait que les flèches I et U sont opposées. On reconnaît un générateur au fait que les flèches courant et tension sont de même sens, ce qui est normal, puisque le générateur est celui qui impose le sens du courant.
Là, cela paraît compliqué, confus, rasant. En fait ça ne l'est pas, si l'on associe le "discours" à des schémas, et qu'on réalise les opérations au fur et à mesure, en commençant par des mailles simples.
A toi de jouer.
Dernière modification par gienas ; 23/11/2009 à 10h25.
oui oui ,je maitrise les lois d'electricité quant aux fleches j en ai sur le shema sur le manuel.
merci bcp Genies,jai passé le test d'electronique ca se passé bien vue que c'etait facile . tout de meme je suis encore perdue en diodes en visant pas travailler juste pour les tests mais pour d'aller un peu loin que ca
m.e.r.CI.
Salut Louloute,
est ce que tu peux simplement souffler sur les leds de droites pour voir la variation de lumière (à gauche) ?Il ne faut JASMAIS mettre des diodes en parallèle… Sauf que!
Merci
Tout existe, il suffit de le trouver...!
une autre cas mais cette fois 'tete-beches??
alors si la tension d'entré est superieur à la tension de seuil de la diode,combien de courant passera au dispositif?
ou tout le courant passera au masse?
voici le shema
Dernière modification par gienas ; 26/11/2009 à 22h55.
salut
sur ton schéma c'est assez simple c'est marqué "protégé"
ici il faut juste prendre en compte que lorsque ta diode est bien polarisé elle conduit donc le courant passe dans la diode.
mais pour ce schéma je te conseil de regarder plus les tensions que les courants, regarde pour des tensions tres positive et des tension tres negatives
@++
Bonjour milqua et tout le groupe
Ton schéma est sorti de son contexte et la question que tu poses ne peut pas recevoir de réponse.
Si, en entrée, tu as un générateur de tension supérieure à 0,6V, et ce, quelle que soit sa polarité:
1- le courant sera destructif et pour la source et pour la diode concernée par cette polarité.
2- le courant ne peut pas être déterminé.
3- en théorie (diodes semi idéales et source de tension idéale), ce courant sera infini.
Dans la réalité, la structure dite d'entrée comporte une limitation de courant à une valeur très basse, et le jeu de diodes en opposition permet de provoquer un écrêtage à + ou - 0,6V.
C'est assez peu utilisé, sauf si +/- 0,6V conviennent. Une variante existe sur toutes les entrées CMOS de circuits intégrés logiques, avec la résistance de limitation annoncée plus haut, et le branchement des diodes à la masse en + et - Vcc.
La cathode va au +, et l'anode va au -.
Tu trouves dans ce document pdf, les explications, avant que tu n'aies à nous les demander.
http://patrick.furon.free.fr/_elecnu...esLogiques.pdf
Bonne lecture.
Dernière modification par gienas ; 27/11/2009 à 14h45.
Bonjour à tous,
après avoir lu vos brillants échanges..
Et pour rebondir sur le post #46 de Louloute, je voudrais apporter un bémol sur l'interdiction formelle de placer deux leds en parallèle (mais cela s'applique aussi à deux diodes de même type).
Généralement, le montage simple d'une led se fait en insérant une résistance série afin de limiter le courant, or sous une tension d'alimentation stable et pour une tension Vf variant assez peu (effet de Rdyn), on peut considerer de façon empirique que l'alim+résistance constituent un générateur de courant constant (de piètre qualité soit, mais un générateur quand même).
Partant de là, la somme des deux courants des leds peut être considéré comme constant et en équilibre. En prenant deux diodes avec des tensions de seuil proches (mais pas égales) et des résistances dynamiques proches (mais pas égales non plus !), on obtient un point de fonctionnement à une température donnée où les deux diodes conduisent sur deux points de polarisation différents mais avec un Vf commun {Vfo:Id1} et {Vfo:Id2} sachant Id1+Id2=Cste en suivant le raisonnement plus haut.
En cas de variation de température de l'une des diodes, pour un Vfo donnée, le courant Id va augmenter avec la température mais au détriment du courant dans l'autre diode puisque la somme des courants est constant (je rappelle que ce n'est vrai qu'avec le montage à résistance)
Dans le cas de deux leds en parallèle, cela va se traduire par une sensibilité d'éclairement à la température différentielle mais le circuit trouve toujours un point de fonctionnement stable même si les diodes n'ont pas exactement le même niveau d'éclairement.
Même sans trier les leds, la disparité des paramètres Vseuil, Rdyn sur des composants de même type ne suffit pas à empêcher à ce type de montage de trouver un point d'équilibre.
Mais on est bien d'accord que l'on parle de composant de même type ! ce raisonnement n'est plus valable lorsque l'on met une led verte et une led rouge en parallèle !
Tout existe, il suffit de le trouver...!
Ce raisonnement est valable si tu es Chinois et que tu fabriques des lampes de poche avec 3 LEDs et que tu vends ça à 1,3€ .
Si il y a une LED à changer, on jète la lampe. Si on tente de réparer, bonjour la galère !
Non seulement de même type, mais de même lot de fabrication ! Quand tu as soudé 100 LEDs et que tu vois qu'il y en a 30 "faiblardes" ... c'est trop tard !de même type !
quelle image tu donnes de ces gens là !Ce raisonnement est valable si tu es Chinois
on n'est bien d'accord ! toutefois, si elle pête en circuit ouvert (ce qui est généralement le cas), cela n'empêche pas les autres de fonctionner, elles éclaireront plus fort c'est tout..contrairement à un montage série ou tu perds tout !Si il y a une LED à changer, on jète la lampe. Si on tente de réparer, bonjour la galère !
je ne suis même pas sur, tu vois ! étant donné que la couleur provient du matériaux et qu'il y a assez peu d'écart de caractéristiques entre deux leds vertes de même puissance et de même diamètre. Je pense que l'écart d'éclairement ne doit pas être significatif (voir même visible) même si les leds ne sont pas du même lot.mais de même lot de fabrication !
Tout existe, il suffit de le trouver...!
Bonjour à tous
Là également, je confirme.
Qristoff affirme que les dopages suffisent à rendre les lots quasiment interchangeables. Je n'en suis pas si sûr, même si des gros progrès ont été faits et vont encore se faire.
J'ai encore en mémoire le souvenir d'afficheurs HP, qui étaient "qualifiés" en luminosité par des lettres en suffixe, un peu comme les transistors en gammes de gain, ou les papiers peints/laines/... en bains.
Si l'on avait le malheur de mélanger des suffixes dans des barres d'affichage de 8 ou 10 éléments, bonjour les différences de luminosité.
Bonjour à tous,
Si vous me permettez de revenir sur la question posée au # 52, à laquelle Giénas (merci pour le lien vers le très pédagogique pdf Analogique/Logique) a répondu au # 54:
Montage peu utilisé en effet, sauf dans un récepteur de radio, où ces deux diodes montées tête-bêche constituent une protection classique contre des surcharges éventuelles de l'entrée de l'étage haute fréquence (en cas d'émission HF à proximité, par exemple dans un émetteur-récepteur).C'est assez peu utilisé, sauf si +/- 0,6V conviennent.
je suis bien d'accord aussi avec le fait qu'un afficheur est le pire cas qui puisse exister pour cette démonstration car les leds ou afficheurs sont cotes à cotes et la moindre différence de luminosité saute aux yeux..Si l'on avait le malheur de mélanger des suffixes dans des barres d'affichage de 8 ou 10 éléments, bonjour les différences de luminosité
edit: je n'ai pas dit que la mise en parallèle n'avait pas d'inconvénients pour une led, j'ai simplement voulu juste démontré que cela n'était pas aussi verboten que ça !
Dernière modification par Qristoff ; 28/11/2009 à 13h13.
Tout existe, il suffit de le trouver...!