Bonsoir,
Alimenter des LED de plus de 1W avec des résistances est une bien mauvaise solution : ça chauffe, la régulation en courant est plutôt mauvaise, C'est pas très joli... D'où l'intérêt de l'alimentation à découpage, qui est parfois trop peu fiable, souvent chère, toujours complexe, mais d'un bien meilleur rendement et tellement plus élégante... L'envie de faire fumer quelques transistors étant plus forte que tout, on sort la plaquette lab et zou.
En PJ un petit schéma, tout simple : un oscillateur (U1:A, R1 & C1) suivi d'un générateur d'impulsions (U1:B, R2 & C2), qui met à 1 la sortie d'une bascule RS dont les entrées sont actives sur des niveaux bas (U1:C & U1: D), qui sature le MOSFET de découpage Q1. Lorsque le courant atteint une valeur limite : I=Vref/R5, la sortie du comparateur bascule, mettant la bascule RS à 0. L'inductance se "décharge" alors dans la branche de LED jusqu'à ce qu'une nouvelle impulsion ne sature le N-MOS. La disposition de la branche de led fait du circuit une alimentation de type Buck-boost. D2 est ici une 1N4148, spécifiée pour un courant max de 200mA.
Un seul problème : la régulation, qui est très mauvaise, dépendante de Valim, et je ne vois pas pourquoi... L1 a une forte inductance dans mon proto (~8mH) de sorte que le courant ne s'annule pas, est presque continu.
Ou est l'erreur ?
Merci d'avance.
Un petit dipseul pour finir :
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