Bonjour,
Quelques remarques :
- Il n'est pas raisonnable de piloter un 2N7000 avec un ULN : la tension de sortie de l'ULN n'est pas capable de descendre suffisament bas pour assurer le blocage du MOSFET (Vgs_th > 0.8 V) ;
- Il y a toujours (sauf cas très très particulier, et encore) une diode entre drain et source d'un MOSFET. Sur ce schéma D1 n'est pas bien placée, s'agissant d'une diode de roue-libre.
Je n'ai pas suivi en détail la discussion et espère ne pas répondre à côté. De là : en PJ un schéma simple, fiable, fonctionnel et pas cher. Il n'utilise pas de ULNxxxx et pas d'autre relais que ceux réputés indispensables et placés dans l'armoire externe.
fs42.png
Entre "+load" et "-load" se câblent : ventilateur, pompe, distributeur.
La sortie 0/5V du micro-contrôleur est à câbler sur "output_µC". Il ne doit pas s'agir d'une sortie analogique ou d'un PWM, mais bien d'une sortie en tout ou rien.
Le relais placé dans l'armoire dont la bobine est prévue pour du 12 V et les contacts du 230 V se commande de manière similaire :
fs42a.png
R3 et C1 constituent un snubber protégeant les contacts du relais.
Le mosfet 2n7000 n'est utilisable, commandé en 0/5V, que pour des courants de moins d'une centaine de mA. Si la pompe ou le ventilateur, ou un relais... Consomme davantage, il faut une autre référence de mosfet.
De même, la diode D1 doit être capable de supporter la totalité du courant consommé par la charge (pompe, ventilateur, relais...). La 1N4148, par exemple, est limitée à environ 300 mA (https://www.vishay.com/docs/81857/1n4148.pdf)
PS : pour ce qui est du vocabulaire : un MOSFET n'a pas de gâchette mais une grille.
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