C'est très simple si on décompose :il faudra que je relise lentement votre partie "énergie fournie par C2"
J'avais omis que la résistance de 3k était hors jeu pendant la décharge de C2, mais le résultat ne change pas car la constante de temps est plus faible que la demi-période.
1er temps, C2 se charge à travers la 3k et D2. Cette diode va amputer les 8,2V d'alim de sa VF. Va=V-V(D2)
2ème temps, pour que C2 puisse se décharger via C1, il faut que la tension de C1 ne soit pas égale à celle de C1. La diode D1 vient aussi mêler son grain de sel. La tension qui entre en compte pour le calcul du transfert d'énergie est donc Vb=Va-V(D1)-V(C1)
Ensuite c'est l'application de la formule de transfert d'énergie E= (Vb^2)/2.
Sa valeur importe peu. On ne la voit pas dans le calcul. Elle sert à obtenir une ondulation acceptable. Trop grosse, il va y avoir du mou en réponse, trop petite, l'ondulation sera trop forte. Ce qui pouvait gêner, c'est son ESR, mais avec les courants et fréquences en jeu, c'est peanuts. Egalement son courant de fuite, qui est aussi perturbant d'après la simulation.Je pressentais de mon côté un calcul, en régime établi (avec Cneg Chargée stable)
.bien que j'eusse préféré un basculement plus sensible vers 110 hz (pour 120 hz nominal)
Ca dépend, si le régime de l'arbre est bien stable... sinon, il vaut mieux baisser la fréquence plancher.
J'ai mis les résultats simulés avec des résistances de la série E96. C'est mieux qu'un potentiomètre.Ce réglage fin sera-t-il insensible à l'environnement "machine agricole"
LTspiceQuel simu utilisez vous SVP ?
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