Ces solutions (qui sont l'évidence même pour nous qui sommes sur « le terrain ») ne correspondent pas à votre analyse du problème. Ces solutions émergeraient naturellement si les universités et l'ÉN étaient dotées à hauteur des besoins.
En revanche, en quoi la réforme des programmes changerait-elle quoi que ce soit au professionnalisme des professeurs du primaire et du secondaire ?
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