Vous remarquerez que vous êtes encore une nouvelle fois dans le vocabulaire de la théorie du complot...
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Vous remarquerez que vous êtes encore une nouvelle fois dans le vocabulaire de la théorie du complot...
Keep it in the Ground !
Le parc éolien actuel de la France n'est pas optimal. Il n'y a pas assez d'éoliennes dans les zones à fort potentiel, notamment avec cette aberration de zéro éolienne en mer.Ainsi il est facile (fonction NB.SI) de dire qu’en 2017 la puissance éolienne a été inférieure :
- à 1 % de la puissance installée pendant 16,5 h ;
- à 5 % de la puissance installée pendant 686,5 h ;
- à 10 % de la puissance installée pendant 2238,5 h.
Donnez plutôt l'exemple allemand.
Sinon, le lobby éolien doit être vu ici comme un investisseur de culture scientifique qui répond plus ou moins à un appel d'offre des gouvernements.
Leur discours scientifique et ingénieur m'intéresse.
Ils sont forcés vers l'optimisme, on se doute, mais ce n'est sûrement pas utopique, donc c'est intéressant.
Un lobby de culture scientifique ne peut pas soutenir des projets utopiques devant des commissions un tant soit peu sérieuses. Il y a forcément une dose de réalisme, ce que vous refusez pour beaucoup de voir, ou seulement imaginer.
Si le peuple veut s'opposer parce que cela coûte trop cher (pourtant, c'est géré par le privé avec des salariés du privé qui font plus de 35 heures), il a le droit. Mais c'est une responsabilité qu'il faudra assumer face à toutes les générations futures.
Je plaisantais, bien sur que les réductions ne sont pas du aux quotas, et en premier lieu elles ont été dues à la crise économique de 2008 (le seul événement qui a pu laisser une trace visible dans la production mondiale de CO2). L'idée des quotas était absurde puisque justement le mécanisme ne pouvait pas fonctionner pour baisser plus que les quotas.Non, la quasi totalité des quotas échangés étaient des quotas gratuit et de la fausse réduction dans des pays émergents comme la Chine. L'effondrement a eu lieu avant les réductions. Dans le derniers livre de Claude Turmes qui retrace la politique de l'énergie européenne vous avait les chiffres, les quotas ont financé quelque chose comme 4% de projets de réduction, le reste c'est juste de l'écriture comptable. Ce qui a fait baisse les émissions c'est la directive efficacité énergétique et les renouvelables.
discours moralisateur, accusation de théorie du complot ... c'est le refuge habituel quand on n'a plus d'argument rationnel. Pourquoi n'ai je jamais eu de réponse à ma question pourtant ultra-simple : dans quel pays a-t-on vu que la part que prenait une source d'énergie dans le mix énergétique était très supérieure à son facteur de charge ? c'est de la théorie du complot de poser cette question aussi ?Un lobby de culture scientifique ne peut pas soutenir des projets utopiques devant des commissions un tant soit peu sérieuses. Il y a forcément une dose de réalisme, ce que vous refusez pour beaucoup de voir, ou seulement imaginer.
Si le peuple veut s'opposer parce que cela coûte trop cher (pourtant, c'est géré par le privé avec des salariés du privé qui font plus de 35 heures), il a le droit. Mais c'est une responsabilité qu'il faudra assumer face à toutes les générations futures.
J'ai fait par ailleurs des calculs pour estimer ce que le développement des EnR pouvait produire comme réduction de CO2 d'ici 100 ans. Ca tourne autour de 10 ppm au total maximum. Ca m'étonnerait que ça fasse une grosse différence pour "les générations futures", qui en revanche, ne seraient sans doute pas très contente d'avoir tout le temps des black out.
Dernière modification par Archi3 ; 22/01/2018 à 07h14.
Voyez vos contradictions récurrentes sont contenues dans vos deux propositions : l'Allemagne - et que dire du Danemark - ont plein d'éoliennes en mer et dans les zones à fort potentiel, ont de manière générale plein d'énergies intermittentes puisque respectivement 4 et 7,5X plus de production éolienne et solaire que la France, pourtant l'IEA nous dit que la France a émis en 2015 4,37t de CO2/hab, quand le Danemark était à 5,63t et l'Allemagne à... 8,93t de CO2/hab !Le parc éolien actuel de la France n'est pas optimal. Il n'y a pas assez d'éoliennes dans les zones à fort potentiel, notamment avec cette aberration de zéro éolienne en mer.
Donnez plutôt l'exemple allemand. (...) Mais c'est une responsabilité qu'il faudra assumer face à toutes les générations futures.
http://www.iea.org/publications/free...yWorld2017.pdf
Eu égard à ces chiffres : qui est le plus responsable déjà ?
Je suis bien d'accord que les dirigeants français n'ont pas grand chose à se reprocher sur l'émission CO2.
Ce n'est pas une raison pour vouloir freiner la dynamique européenne sur l'éolien, laquelle a un besoin crucial de coopération.
Sans coopération, on est bien d'accord que le projet n'aboutira pas. Pour imaginer les super-projets en mer du Nord, il y a des consortiums multi-nationaux.
Les dirigeants français n'ont d'ailleurs aucune envie de freiner cette dynamique, ils ont même introduit des procédures pour aller plus vite face aux oppositions, mais sur ce forum visiblement si.
On aura le temps plus tard de faire le procès des dirigeants allemands (qui se rachètent sans doute avec de la comm' - du style j'accueille la COP23 et j'accueille plein d'immigrés - et des subventions aux pays pauvres et autres replantages de forêts) et des dirigeants américains sur les émissions CO2. Chaque chose en son temps.
La Belgique a autant de nucléaire que la France mais émet pour 8.9 tonnes par habitant ce qui est plus que les 6.2 tonnes par habitant du Danemark.
http://www.eea.europa.eu/data-and-ma...e-gases-viewer
Sachant que le nucléaire est dépendant du réseau de gaz pour assurer la chaleur et qu'on voit mal faire de la séquestration du carbone sur les chaudières individuelles si on veut arriver à l'objectif d'avoir des émissions négatives pour les pays riches.
Dernière modification par Tilleul ; 22/01/2018 à 13h57.
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@Cotissois31
Si je comprends bien votre stratégie, c'est : continuons d'accélérer alors que certains n'ont eu de cesse de vous démontrer qu'il y avait une forte probabilité (sinon une quasi certitude) de foncer dans le mur - comme nos voisins, mais qu'après il ne sera jamais trop tard de juger les incompétents et/ou les idéologues (l'un n'étant pas exclusif de l'autre) coupables de ces orientations funestes ?
Y a pas à dire, c'est brillant.
C'est ce que disait les ingénieurs de France Telecom à propos d'internet quand ils vantaient la supériorité du minitel 2...
Keep it in the Ground !
Non la Belgique n'a certainement pas autant de nucléaire que la France : autour de 50% de l'électricité belge est produite à partir de nucléaire, alors qu'on est plus près de 80% en France.
D'autre part ne donnez pas le bâton pour vous faire battre avec vos insinuations infondées : les pays industrialisés qui rejettent le moins de tonnes de CO2/an/hab au monde sont 1/ la Suède 2/ la France 3/ la Suisse. Ces trois pays disposent d'une fraction importante de nucléaire dans leur mix, parmi les plus élevées au monde. La corrélation est évidente. Mais si le nucléaire est une condition nécessaire pour ces pays d'un mix électrique bas carbone, elle n'est pas une condition suffisante. C'est aussi la résultante du fait que ces pays ont une fraction très faible de production fossile, grâce notamment à l'emploi d'énergie pilotable et décarbonnée (hydraulique en l'occurence) en compensation.
Cela tend à démontrer que si la Belgique rejette en moyenne plus de CO2 que la moyenne européenne, cela provient non pas de la part nucléaire de son mix (ce serait un non sens), mais bien du fait que près de 30% de son électricité est - encore - produit à partir d'hydrocarbures (gaz essentiellement) :
https://www.febeg.be/fr/statistiques-electricite
Vous savez le gaz, le meilleur ami des énergies intermittentes, en fort développement en Belgique par ailleurs... Comme quoi tout se tient.
Démontrez-moi voir la supériorité intrinsèque d'énergies fatales, intermittentes et à faible facteur de charge sur celles qui sont simultanément pilotables, bas carbone et à haut facteur de charge, je suis tout ouïe...!
Il n'y a pas de risque majeur à échouer, on ne fonce pas dans un mur.
Si vous arrivez à convaincre l'Europe qu'il faut mieux installer du nucléaire et de l'hydraulique à grande échelle, vous aurez le soutien du GIEC.
Mais malgré tout mon optimisme, vous n'arriverez à passer aucune procédure d'acceptation.
Je vous rappelle que la France n'a pas réussi à faire passer un aéroport en 60 ans, alors une nouvelle centrale nucléaire....
Le Brésil, entre autres, n'a pas réussi à faire passer un projet de grand barrage alors qu'ils ont de l'espace pour le faire loin des villes. Le Brésil a donc annoncé qu'ils feraient plutôt de l'éolien.
Je ne suis pas fasciné par l'éolien par idéologie, mais c'est la seule énergie propre qui a une capacité de passer les procédures d'acceptation en des temps acceptables.
En France, les procédures sont plus longues qu'ailleurs, on n'en doute pas, mais l'éolien terrestre a prouvé qu'avec les bons arguments (subventions), cela passe.
Si on freine l'éolien en Europe, on refera du charbon, donc mesurez-bien votre responsabilité de freiner l'éolien.
Si, l’Allemagne l’a fait (foncer dans le mur tête baissée)
Subventions : très mauvais argument. Le dernier éolien marin français a été adjugé à environ 200 €/MWh, sans compter les modifications au réseau et surtout les indispensables back-ups ou stockages.
Si on installe encore de l'éolien en Europe, on refera des centrales à charbon (polluantes, CO2 et fines) ou à gaz (CO2) pour les fréquents jours de pétole.
Le réchauffement climatique est là ; ne l'augmentons pas pour une idéologie dépassée.
Les générations futures ne nous pardonnerons pas notre entêtement, après avoir vu le fiasco allemand.
On l’a déjà dit : le Danemark est un petit pays, son réseau électrique est connecté à l’Allemagne, à la Suède et à la Norvège. Il importe de l'électricité hydraulique des voisins du Nord les jours sans vent. Son exemple ne peut pas être suivi.
Et c’est aussi bien comme ça (relevé aujourd'hui) :
Danemark, intensité carbone 389 g CO2eq/kWh (à cause des importations allemandes)
France, intensité carbone 54 g CO2eq/kWh (grâce au nucléaire).
https://www.electricitymap.org/?wind...false&page=map
http://www.goldmansachs.com/our-thin...omy/report.pdfDémontrez-moi voir la supériorité intrinsèque d'énergies fatales, intermittentes et à faible facteur de charge sur celles qui sont simultanément pilotables, bas carbone et à haut facteur de charge, je suis tout ouïe...
In the crowded field of low carbon technologies, four front-runners stand out… We assess commonly discussed low carbon technologies to determine which could meaningfully move markets and emissions over the next 5-10 years. LEDs, onshore wind, solar PV, and hybrid & electric vehicles stand out by combining market scale (>10 bn pa revenue opportunity) with a consistent track record of volume growth (>10% 3y trailing CAGR).
We believe these are the low carbon technologies that are likely to have the greatest global impact over the next decade. Others include: (1) mature technologies with relatively slow,stable growth trajectories (nuclear and hydro are growing in line with or below electricity demand); (2) early stage technologies that see growth but still lack scale (our analysts estimate that fuel cell vehicles will grow at an 80%+ CAGR out to 2025 but by then will still have <1% market share); and (3) technologies that are gradually losing regulatory support (e.g., carbon-capture and storage (CCS) or biofuels, that have seen subsidy cuts and stagnating private sector investment
Keep it in the Ground !
Une grosse banque s'intéresse au pognon qu'il est possible de récupérer avec la rente du prix garanti, la technologie derrière ils s'en cognent.
En regardant l'Australie du Sud ces jours derniers, on a un meilleur exemple que l'Allemagne dans le scénario d'échec des ENR, l'Allemagne n'a pas encore appelée les hôpitaux à limiter leur consommation électrique. Pas de BO, 300MW à 14000 AU$ le MWh venant des centrales thermiques au charbon de l'état d'à coté.......
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
L'Australie est un bon exemple de la fiabilité du vent et du soleil contrairement au charbon. Les variations du vent et du soleil obéissent à des lois physiques qui sont parfaitement connues et prévisibles et le matériel est très fiable. Dans le même temps comme il s'agit d'une production décentralisée, l'arrêt d'une unité pour une panne n'a pas une influence très forte.
Quand une centrale charbon tombe ce n'est pas prévisible et on se retrouve avec l'équivalent de centaines d'éoliennes en moins. C'est ce qui vient d'arriver en Australie qui se réjouit d'avoir installer des panneaux solaires pour pouvoir faire marcher leurs climatisation pendant que les centrales charbons tombent en panne les unes après les autres...
http://reneweconomy.com.au/coal-unit...shes-in-85623/
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Rapport complet sur la vulnérabilité des centrales gaz et au charbon aux vagues de chaleur en Australie.
http://www.tai.org.au/sites/defualt/...NAL%202.31.pdf
Australia’s reliance on an ageing fleet of coal and gas power plants that are unable to cope with increasing temperatures and more frequent heatwaves is the single greatest threat to the energy security of our electricity system.
During the February 2017 heatwave across south eastern Australia, 3,600 MW failed during critical peak demand periods in South Australia, New South Wales and Queensland as a result of faults, largely related to the heat. This is equivalent to 14% of the total capacity of the coal and gas power plants in those states.
Heatwaves like this are inexorably increasing in frequency, intensity and duration in Australia as a result of global warming. The record-breaking February 2017 heatwave was one of three consecutive heatwaves that summer. Without the impact of global warming a heatwave like this would be
considered a one in 500-year event. With current warming, it is now considered a one in 50-year event, and if global temperatures reach 2 degrees above pre-industrial levels, which is considered possible by as early as 2050, summers this hot will become a one in five-year event.
During this heatwave, coal and gas plants failed in NSW, SA and Queensland:
In South Australia, 17% of gas powered generation (438 MW) was unavailable during the peak demand period that led to the blackouts on the 8 th of February.
In New South Wales, 20% of coal and gas generation (2,438 MW) failed to deliver during the peak demand period on the 10th of February, leading to load shedding at Tomago aluminium smelter.
In Queensland, 7% of coal and gas generation (787 MW) was withdrawn in the four hours leading to peak demand on the 12th of February due to technical issues, mostly and possibly entirely due to the heat. This led to dispatch prices reaching $13,000 per MWh eleven times within three hours.
In each of these cases rooftop solar significantly reduced underlying demand and avoided far more serious disruptions.
Without rooftop solar, the daily peaks that caused the blackouts, load shedding and high price events would have been exceeded:
4 hours 20 minutes earlier on the 8th of February in South Australia.
3 hours 25 minutes earlier on the 10th of February in New South Wales
5 hours and 10 minutes earlier on the 12th of February in Queensland
There are a range of non-fossil flexible dispatchable energy technologies that do not suffer the reliability issues of coal and gas power plants. These include concentrated solar thermal with storage (CST), pumped hydro with energy storage (PHES), batteries and demand response These technologies are already competitive with, or cheaper than, coal, gas and diesel, and are rapidly reducing in cost as coal and gas costs increase.
This report recommends that under the Reliability Guarantee of the National Energy Guarantee (NEG), retailers be required to hold forward contracts with “heat safe” flexible dispatchable resources to cover the risk of unplanned outages in heatwaves.
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La preuve que non, aucune banque ne veut prendre le risque d'hinkley point. Mais j'imagine que les banques font aussi partie du grand complot mondial contre le nucléaire...Une grosse banque s'intéresse au pognon qu'il est possible de récupérer avec la rente du prix garanti, la technologie derrière ils s'en cognent.
Dernière modification par Tilleul ; 23/01/2018 à 02h19.
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tu as mal lu un mot dans l'article :
le problème ce sont les centrales vieillissantes : un des problèmes principaux de l'intermittent, c'est qu'il a besoin de centrales en back-up mais qu'elles servent de moins en moins souvent plus on a d'intermittents, donc elles sont de moins en moins rentables. Autrement dit le système à besoin de compléments qu'il décourage lui même de construire.Australia’s reliance on an ageing fleet of coal and gas power plants..
Le risque politique n'est pas quantifiable, donc on se tient à l'écart.La preuve que non, aucune banque ne veut prendre le risque d'hinkley point. Mais j'imagine que les banques font aussi partie du grand complot mondial contre le nucléaire...
La lecture des données de façon inversée permet de continuer le discours, les Australiens de Sud sont dans la merde électrique parce qu'ils ont fermé leurs centrales à charbon avant d'avoir de quoi les remplacer. Ça leur coûte cher, leurs emplois, mais ils sont contents des 20mn de secours des batteries à Musk.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Répéter un élément de langage ne le fait pas devenir vrai pour autant...
Vous allez dépasser les 40 pages sans avoir aucune justification ?
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Toutes mes affirmations ont été sourcés, aucune des votres...
Au bout du moment si vous refusez toute la notion de théorie scientifique, qu'est-ce que vous faites sur un forum scientifique...
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Un théorie scientifique mise en défaut par l'expérience et que l'on maintient n'est plus du domaine de la Science.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Peut-être sont elles sourcées... Mais pour ce qui est du "scientifique", ça reste à prouver. Et même du rationnel d'ailleurs. C'est plutôt du raisonnement circulaire se parant d'un vernis "scientifique"...
Avoir une "source", même anglaise ou allemande, ne suffit pas à garantir une robustesse scientifique; c'est même un des procédés préférés des cuistres (voir la définition dans le dictionnaire de ton choix)...
Les dirigeants français et européens se sont donnés des objectifs, discutés depuis plus d'une décennie dans les assemblées où siègent des députés élus par nous, et essaient de les atteindre en partenariat avec les industriels.Si, l’Allemagne l’a fait (foncer dans le mur tête baissée)
En quoi il s'agit de foncer dans un mur ? Un processus de réflexion étalé sur plus de 10 ans ! Pour construire des éoliennes et des panneaux solaires essentiellement démontables !
A.Merkel qui décide en 2 semaines d'initier l'arrêt de toutes les centrales nucléaires, là c'est foncer tête baissée dans le brouillard, avec le risque d'un mur de pollution à la sortie : celui des centrales à charbon qu'ils risquent de construire en catastrophe.
Tu as tout compris.
Merci Angela.
Ne les imitons pas.
Je rêve où vous ne savez même pas que les centrales nucléaires allemandes continuent à fonctionner ?A.Merkel qui décide en 2 semaines d'initier l'arrêt de toutes les centrales nucléaires, là c'est foncer tête baissée dans le brouillard, avec le risque d'un mur de pollution à la sortie : celui des centrales à charbon qu'ils risquent de construire en catastrophe.
La décision de sortie du nucléaire à eu lieu en 2000, ça n'a jamais été décidé en deux semaines ? D'où vous sortez ça ? Angela Merkel est juste revenu au calendrier qu'elle envisageait de changer.
Slide 13 vous avez la production conventionnelle en Allemagne : l'Allemagne diminue et continue à diminuer sa consommation d'énergie conventionnelle pour produire d'électricité...
https://www.ise.fraunhofer.de/conten...ung_2017_e.pdf
Dernière modification par Tilleul ; 24/01/2018 à 00h27.
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