Encore , est il permis de penser qu'il existe une fonction non récurssive unifiant le nouvel axiome à l'ancienne théorie (l'ancien sujet) en cours de jeu , suffisemment cohérente pour posséder des effets de seuil dépendant de la valeur de l'enveloppe (=de la dénotation de A ) modifiant le choix du sujet de façon quasi quantique (effet simultané au choix).
Le faisceau de sujets successifs dont l'unité procède de cette fonction non récurssive pourrait donc produire des choix paradoxaux pour le sujet initial.
La tendance aux contournements successifs d'une certaine forme d'incomplétude de sujet en sujet ne serait elle pas ce que l'on appelle un comportement?(ici:un choix).
De mon point de vue, le malentendu (et tous les paradoxes qui y sont liés dont ceux de la réflexivité) procède de la confusion entre "sujet= théorie"
dont l'unité procède de celle de la fonction liant ses différentes propositions ,
et "sujet=faisceau de théories successives" dont l'unité procède de cette fonction de succession qui opère un saut non récurssif d'une théorie à l'autre.
La véritable unité du sujet procédant plutôt de cette dernière fonction.
Alan Turing au début de son article de la machine évoque "une prise de conscience" de la machine de la dénotation figurant sur la bande par un changement corrélatif d'état de la machine .Le changement d'état ne serait il pas plutôt une bonne définition pour la fonction de connaissance?(induisant la notion de sujet connaissant).Par suite, il me semble possible de trouver des modèles physiques de fonction de conscience définie par :"je suis conscient de K"="je connais que je connais K".(le front d'onde ; les boucles neuronales rétroactives).La confusion précitée devenant alors "confusion entre sujet connaissant et sujet conscient", puisqu'un sujet conscient sera toujours selon ces définitions un sujet connaissant l'inverse n'étant pas toujours vrai.
Pour finir , l'inconnaissabilité des effets de seuils et de la fonction de succession des théories par chacune d'entre elle , ne sont elles pas le fondement de l'effet de liberté (ici liberté de choix) lié à un certain solipsisme induit par incomplétude , incréant presque la liberté du sujet , donc le sujet ?
Jean petitot a précisé la notion de solipsisme méthodologique.
Foucault dans son herméneutique a évoqué une certaine forme d'antèriorité de la connaissance par rapport à la notion de sujet . Jankélévitch a bien mis en scène ce "presque rien" (séparant/unissant) quoddité et quiddité .Lacan à bien exprimé les malentendus induits par la notion de réflexivité et de sujet . Rene Thom a produit le concept de graphes archétypes ; la position du sujet ne se place t'elle pas entre discret et continu (continuité du sujet à travers et malgré une succession discrète d'états).
Il me semble que ces digressions restent "épistémologiques".
Merci pour tous les efforts que vous produirez pour débrouiller mes erreurs ou incompréhensions.
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