Bonsoir,
Avant tout je souhaite préciser que c'est une question de recherche de compréhension du sens qui à conduit à la notion de cardinal pour les ensembles infini et non une démarche de recherche de remise en cause.
La notion de nombre cardinal, semble modéliser la « taille » des ensembles fini comme infini.
Je me restreint dans un premier temps au cardinal des ensembles infinis dénombrables (« aleph-zéro »).
Sa définition s'appuie sur l'existence d'une bijection avec l'ensemble des entiers naturels. Cela semble avoir remis en cause l'idée "le tout est plus grand que la partie" que l'on croyait être une tautologie (et donc l'infini actuel paraitre être un paradoxe)
Partant de cette définition lié à la notion de bijection nous avons alors l'ensemble des entiers naturels qui a le même cardinal que par exemple le sous-ensemble des entiers pairs ou que celui de l'ensemble des entiers relatif.
Maintenant il existe aussi des surjections qui ne sont pas injective, par exemple (fonction valeur absolu) entre l'ensemble des entiers relatif et l'ensemble des entiers naturel ou autre exemple (quotient de division entière par le diviseur 2) entre l'ensemble des entiers naturels eux mêmes (NxN). Cela conduit aux conclusions suivantes :
La taille des entiers relatif est plus grande que la taille des entiers naturel.
ou
La taille des entiers naturels est plus grande qu'elle même.
Pourquoi (au sens est-il ainsi) la définition du cardinal en ce qui concerne les ensembles infinis s'appuie sur le concept de la bijection et non pas par exemple sur celui de la surjection ?
Ou tout simplement pourquoi en ce qui concerne les ensembles infinis la notion de taille n'a-t'elle pas été indéterminé ? Vouloir le définir n'est ce pas jouer avec l'infini ?
Patrick
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