Bonjour,
Peut être que ce débat que j'initie à plus sa place en biologie qu'en épistémologie mais ce n'est pas sure; l'ADN n'est finalement pas un stockage si énorme que ça d'informations, on peut facilement remplir quelques cd rom avec les 3 milliards de bases d'un génome humain traduit en code binaire. Alors comment si peu d'information peut elle produire une telle complexité lorsque cette information se "réalise" sous forme d'un être vivant? C'est la question sur laquelle je bute! Est ce que ce sont les différentes façons de lire un code qui donne une combinatoire astronomique de possibilités de protéines?
Je ne sais pas pourquoi les astro-physisiciens et les physisciens se donneraient des défis en essayant de résoudre des énigmes comme la masse manquante de l'univers alors que les biologistes depuis Watson et crick se trouvent durablement satisfait de leur découverte.
Les théoriciens de l'information on peut être une vision autre des choses, il manque peut être au biologiste certaines conceptualisations mathématiques de l'énigme que je viens d'évoquer.
Si quelqu'un peut m'éclairer là dessus ou si quelqu'un voit le problème différemment cela serait intéressant d'en discuter.
A bientôt.
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