On ne s'est pas très bien compris. Dans cette unique expérience on peut faire appel à des stats pour comparer le groupe test du groupe contrôle (par exemple Test du χ²)
On réitère le protocole expérimental plusieurs fois non pas parce qu'on est des guignols qui travaillent dans une science inexacte (quoique...) mais parce que c'est une nécessité. Prendre de grands échantillons permet de s'assurer de la qualité du résultat. Les statistiques sont un gage de fiabilité (on prend un risque d'erreur inférieur à 5%, des écart-types inférieur à 10 %, etc)
Mon message visait à montrer que cette singularité est à relativiser (exemple du TEA-laser). Il me semble raisonnable de penser qu'en physique aussi les expériences peuvent échouer et que les statistiques sont parfois de mises.
Je ne vois pas en quoi l'aspect mathématique de la physique la rend exemplaire. Les maths ne sont qu'un outil. Schématiquement si les physiciens ont besoin d'équa diffs pour modéliser et les physiologistes ont besoin de tests statistiques, je ne vois pas en quoi un des travail serait mieux/exemplaire/plus scientifique/plus exact.
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