Je le perçois plutôt : décrit dans un langage qui nous est propre les contraintes suite à nos actions/observations que nous imposes l'environnement dans lequel nous sommes et ne nous permet pas de tout déduire.
Patrick
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Je le perçois plutôt : décrit dans un langage qui nous est propre les contraintes suite à nos actions/observations que nous imposes l'environnement dans lequel nous sommes et ne nous permet pas de tout déduire.
Patrick
Qu'entends-tu par l'environnement nous imposes l'Univers de Gödel, où plutôt on ne peut que l'imaginer et ne pas en déduire ?Je le perçois plutôt : décrit dans un langage qui nous est propre les contraintes suite à nos actions/observations que nous imposes l'environnement dans lequel nous sommes et ne nous permet pas de tout déduire.
Patrick
bravo ...Je le perçois plutôt : décrit dans un langage qui nous est propre les contraintes suite à nos actions/observations que nous imposes l'environnement dans lequel nous sommes et ne nous permet pas de tout déduire.
Patrick
une pincée d'univers de Gödel ... un soupçon de théorème de Gödel ... excellent ...
il ne manque plus que la relativité d'Eisenstein pour faire une bonne potée scientifique.
Je n'ai pas écrit cela ou alors je me suis très mal exprimé. J'ai donné l'exemple des univers de Gödel pour montrer que la physique ce n'est pas des mathématiques.
Dés que l'on interprète on sort du cadre mathématique et toute les inférences suite à des hypothèse de condition initiale ne font pas forcement sens physique.
Patrick
Permets-moi de te rephraser :Je n'ai pas écrit cela ou alors je me suis très mal exprimé. J'ai donné l'exemple des univers de Gödel pour montrer que la physique ce n'est pas des mathématiques.
Dés que l'on interprète on sort du cadre mathématique et toute les inférences suite à des hypothèse de condition initiale ne font pas forcement sens physique.
toute les inférences suite à des hypothèse de condition initiale ne font pas forcement sens physique.on sort du cadreDés que l'on interprèteJ'ai donné l'exemple des univers de Gödel pour montrer quedes mathématiquesUne Science ?la physique ce n'est pas
?Je n'ai pas écrit cela ou alors je me suis très mal exprimé.
Dernière modification par invite6754323456711 ; 10/01/2012 à 22h17.
Je me demande pourquoi tu fais passer le monde mathématique avant le reste ... c'est tout !
Pour moi c'est d'abord une démonstration avec des éléments physique et si le "choix" n'est pas relié causalement à notre passé c'est bien qu'on a fourni une information lors de sa réalisation. Bon, après je crois au libre arbitre, et je pense que même en réinventant la roue le chemin emprunté pour y arriver est en soi une source d'information !
Que penses tu de la correspondance avec le théorème de Kochen-Specker sur laquelle s’appuie ce que tu nommes une démonstration physique, qui fait le lien entre un objet mathématique rigoureusement définit et l'objet d'étude physique que sont les micro-état que l'on ne connait que par des interactions avec des appareil de mesure macroscopique ? Les axes de projection ne devraient concerner que l'appareil de mesure car un micro-état n'est pas une bille. Si on porte l'attention rien que sur ce point cela soulève un bon nombre de question.
On pourrait avoir une démarche semblable avec le Paradoxe de Banach-Tarski et pourquoi pas l’expansion de l'univers en faisant la même mascarade Axiomes - Démonstration - Théorème : CQFD
Patrick
Dernière modification par invite6754323456711 ; 11/01/2012 à 07h58.
À noter, cependant que l'article semble assez rigoureux scientifiquement, jai limpression quil propose un raisonnement à partir dhypothese sans chercher à trouver une "vérité". Il se soumet donc à la critique constructive, ce qui n'est pas le cas des croyances et autres pseudo-sciences qui sont elles par définition des actes de foi.
Un micro-état est une propriété du système {contexte de mesure, objet étudié} ...Que penses tu de la correspondance avec le théorème de Kochen-Specker sur laquelle s’appuie ce que tu nommes une démonstration physique, qui fait le lien entre un objet mathématique rigoureusement définit et l'objet d'étude physique que sont les micro-état que l'on ne connait que par des interactions avec des appareil de mesure macroscopique ? Les axes de projection ne devraient concerner que l'appareil de mesure car un micro-état n'est pas une bille. Si on porte l'attention rien que sur ce point cela soulève un bon nombre de question.
J'ai du mal à me défaire d'une certaine forme de réalisme ...
Est-ce qu'un médecin guérit un patient en mesurant des bactéries ?
Citation de Arxiv:
BonjourUn micro-état est une propriété du système {contexte de mesure, objet étudié} ...
J'ai du mal à me défaire d'une certaine forme de réalisme ...
Est-ce qu'un médecin guérit un patient en mesurant des bactéries ?
Èventuellement, oui!! La médecine est autant, et même plus, un art qu'une science. Mais vous avez parfaitement raison de vous ancrer au réalisme.
Cordialement
Ne jetez pas l’anathème : il peut servir !
Pas exactement, une propriété c'est le spin par exemple. Sous qu'elle forme le réalisme nous présente cette propriété par exemple pour le microétat qu'est l'électron pour fêter sa première mise en évidence en ce qui concerne le spin s = 1/2 de l’´electron venant du spectre des atomes alcalins (ceux qui n’ont qu’un seul électron dans la couche supérieure) ? La rotation de l'électron sur lui même ou la définition donnée dans wiki, mais la comment le matérialiste réaliste nous la présente ?
Patrick
Citation de ù100fil:
BonjourPas exactement, une propriété c'est le spin par exemple. Sous qu'elle forme le réalisme nous présente cette propriété par exemple pour le microétat qu'est l'électron pour fêter sa première mise en évidence en ce qui concerne le spin s = 1/2 de l’´electron venant du spectre des atomes alcalins (ceux qui n’ont qu’un seul électron dans la couche supérieure) ? La rotation de l'électron sur lui même ou la définition donnée dans wiki, mais la comment le matérialiste réaliste nous la présente ?
La rotation de l'électron sur lui même n'est qu'une image très approximative. Elle ne convient que dans le cas où on traite un gros paquet de spins considéré globalement: la précession des noyaux d'hydrogène (ou autres noyaux de spin demi entier) en raisonnance magétique nucléaire (équations de Bloch) ou précession des électrons célibataires associés aux radicaux libres (en raisonnance magnétique électronique mais à des fréquences, en gros, 300 plus fois plus élevées, en proportion des rapports gyromagnétiques d'un noyau et de l'électron). Il en est de même pour la révolution de l'électron autour du noyau, laquelle entraînerait l'amortissement ultra-rapide du mouvement et la chûtte à la surface du noyau, en raison du rayonnement intense résultant de l'accélération énorme subie par l'électron dans le champ électrique formidable du noyau. Tout cela est bien connu: c'est là l'origine même de la mécanique quantique. On a essayé de reformuler l'électrodynamique pour rendre compte de ces "anomalies" (Théorie non linéaire de David Bohm, théorie de Mie...) sans succès jusqu'à présent. Alors, on ouvre la boîte à outils quantique, laquelle contient des intermédiaires de calcul (dépourvus de signification physique): fonction d'onde ou vecteur d'état, opérateurs hermitiques, équation de Schrödinger et, au moyen des règles de manipulation de ces intermédiaires que la boîte contient également, on en déduit les valeurs des grandeurs physiques que l'on souhaite obtenir: ça marche parfaitement et tout le reste n'est que littérature!! Cela montre surtout que l'Univers est considérablement plus complexe et plus riche que tous nos modèles. Peut-être, un jour, disposerons-nous d'équations de la matière permettant de décrire l'émission de raies par les atomes (avec la structure fine résultant du spin) mais ce n'est pas certain. En attendant, gloire à la MQ.
Cordialement.
Ne jetez pas l’anathème : il peut servir !
C'est la ou les démons d’épistémologues viennent perturber les certitudes en interrogeant Qu'elle signification donne t'on à la signification physique ? Pourquoi ce que nous percevons directement par nos sens ferais plus sens physique que ce que l'on peut imaginer (pour les deux c'est une création initié par notre cerveau) ?
Patrick
C'est la ou les démons d’épistémologues viennent perturber les certitudes en interrogeant Qu'elle signification donne t'on à la signification physique ? Pourquoi ce que nous percevons directement par nos sens ferais plus sens physique que ce que l'on peut imaginer (pour les deux c'est une création initié par notre cerveau) ?
Un exemple concret de physicien : pourquoi le concept de force ferait-il plus sens que le concept de couplage spin-orbite ? Dans les deux cas cela conduit à faire des calculs car c'est la sémantique de la physique. Une théorie par elle même ne dit rien il faut la mettre en équation, ou exprimé de manière plus moderne construire un modèle.
Patrick
Citation de jreemann:
Bonsoir+1 pour le dépourvu de signification physique qui porte bien sur les intermédiaires de calcul et non sur la physique.
C'est exactement cela! Idem pour le potentiel ou les composantes de Fourier décrivant une impulsion.
Ne jetez pas l’anathème : il peut servir !
Juste ça, as-tu déjà ressenti la douleur (je suppose que oui) et as-tu déjà imaginé cette douleur ... Une pensée n'aura jamais la fulgurance d'un ressenti, l'imagination se dilue tandis que le ressenti concentre !
Citation de ù100fil:
Le concept de force intervient directement dans le modèle qui l'utilise et permet, éventuellement, de le calculer. Même chôse pour le couplage moment d'impulsion-orbite. Il s'agit là de paramètres directement observables et inclus dans le modêle. Ce n'est pas le cas du spin, lequel, à l'instar de toutes les entités quantiques, est défini par un opérateur Hermitien, ici, les matrices de Pauli ou celles de Dirac. Il en est de même pour le vecteur d'état, l'opérateurs de moment orbital (produit extérieur des opérateurs composantes par les opérateurs de dérivation adjoints), etc. Les intermédiaires de calcul interviennent également dans les modèles macroscopiques mais ils ne sont pas obligatoires: potentiel vecteur en électrodynamique, intégrales de Fourier ou de Walsh-Hadamare...En mécanique quantique, ils sont inévitables. En fait, la MQ n'est pas un modèle physique mais un méta-modèle: elle ne décrit pas un domaine du monde physique mais effectue la "description de la description", ce qui, d'ailleurs, explique peut-être, son extraordinaire efficacité. Il se peut que l'on ne puisse jamais s'en passer (j'ai de plus en plus tendance à le penser!!) mais ça ne change rien au fait qu'lle ne décrit pas directement l'Univers.Un exemple concret de physicien : pourquoi le concept de force ferait-il plus sens que le concept de couplage spin-orbite ? Dans les deux cas cela conduit à faire des calculs car c'est la sémantique de la physique. Une théorie par elle même ne dit rien il faut la mettre en équation, ou exprimé de manière plus moderne construire un modèle.
Ne jetez pas l’anathème : il peut servir !
Faites-vous une différence entre théorie et modèle en physique ? “La mise en équation du problème” ou le Le terme plus séduisant de “modèle”. Intermédiaire obligé entre un objet et une théorie dont on attend des prédictions.
Pour illustrer la chose prenons une théorie familières que nous avons le sentiment de dominer. Convaincu des mérites insignes de la gravitation newtonienne—ne serait-ce que la simplicité de ses règles— vous désirez en calculer les prédictions pour le mouvement de la Terre.
Et commence la modélisation: vous n’envisagez d’abord qu’un univers constitué du Soleil et de la Terre seuls, puis vous assimilez ceux-ci à des masses ponctuelles. Ne reste qu’à intégrer les équations de la théorie, devenues les équations du mouvement du modelé, moyennant les valeurs empiriques...
— des paramètres de la théorie, à savoir la constante de la gravitation;
— des paramètres du modèle, en l'occurrence les masses du Soleil et de la Terre;
— des paramètres de la solution, autrement dit les conditions initiales.
Vos prédictions sont brillamment confirmées par les observations ultérieures du Soleil, mais les techniques expérimentales progressant, quelques légers désaccords se font jour. Vous Mettez en doute quoi ? Ce qui ne fait pas sens physique c'est à dire la théorie ?
Ce que je perçois directement ce n'est que couleur, son, odeur, ...
Patrick
Dernière modification par invite6754323456711 ; 11/01/2012 à 21h28.
Vous pourriez alors peut être m'aider ...
Quand ils présentent dans leur article l'axiome SPIN, s'agit-il d'une définition dans le cadre d'une théorie ? d'un modèle ? math ? physique ?
Il présente l'axiome avec l'interprétation qu'ils en font. Une démonstration dans un cadre axiomatique (théorie de la démonstration) se fait sans faire appel à la sémantique sinon on passe dans le cadre de la théorie des modèles et la il faut que l' énoncé soit satisfait dans tout les modèles pour en faire un théorème.
Patrick
Dernière modification par invite6754323456711 ; 11/01/2012 à 21h43.
Une phrase comme celle-ci est applicable à n'importe quelle démonstration, une technique employée pour les horoscopes si je ne me trompe pas. Une façon de botter en touche.Il présente l'axiome avec l'interprétation qu'ils en font. Une démonstration dans un cadre axiomatique (théorie de la démonstration) se fait sans faire appel à la sémantique sinon on passe dans le cadre de la théorie des modèles et la il faut que l' énoncé soit satisfait dans tout les modèles pour en faire un théorème.
Patrick
Pourquoi vous attachez-vous à être rigoureux ?, tout ce que vous pouvez dire est de toute façon vain, l'en-soi vous est, tout comme à moi, de toute façon inaccessible.