Dans le dictionnaire, il est écrit:Envoyé par quetzal
Penser: "Former des idées; concevoir par l'esprit, par l'intelligence."
Informer: "Action de donner ou de recevoir une forme."
Comme tu peux le voir, penser est l'action même d'informer. C'est bien la pensée qui est à l'origine de l'information. Ton approche est contradictoire avec les termes qu'elle emploie.
Enfin quand tu dis "il te semble qu'elle se modifie elle-même, mais ne te fie pas au apparence,": peux tu me dire ce qui te pousse à croire ça ? Quel fait, quel argument, quelle thèse ou théorie ?
Quelle hypothèse ? Dis moi s'il te plait ce qu'est pour toi mon hypothèse.Envoyé par quetzal
J.
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  Remplacer "subjective" par "privée", "intime".
 Remplacer "subjective" par "privée", "intime". et qui est apparemment passé aux oubliettes !
 et qui est apparemment passé aux oubliettes ! 
  * ). Lorsque l'on évoque l'esprit, le corps, le matérialisme, etc... on prononçe - avant toute chose - des termes du langage qui se traduisent ainsi en acte: acte de parler, acte de s'exprimer que ce soit par le biai d'un livre ou de vive-voix. On en revient au "mythe de la signification" (Cf. Recherches Philosophiques - Wittgenstein) dans la mesure où l'on pressent (et j'aimerais bien souligner cette notion de sentiments en philosophie, vis-à-vis de la certitude notamment) quelque chose de "plus" à propos de ces termes ce qui nous amène à les employer à tord et à travers dans des contextes (/situations/"mondes") nous conduisant inévitablement au hors-sujet involontaire et à la limite du frustrant avec des questionnements métaphysique du genre: Qu'est-ce qu'être conscient? Le corps est-il distinct de l'esprit? L'altérité est-elle une notion vraie? Qu'est-ce que la pensée? Le fait est que la "pensée" est tout d'abord un terme du langage et un acte de langage que l'on emploie selon les situations de la vie courante. Le problème est que la philosophie en tant que métaphysique (c'est le cas sur ce topic) s'abstrait des situations (des "jeux de langage")  couramment admises à l'emploi de certains termes comme "pensée"... On peut comparer ça à un fou qui s'interrogerait à longueur de journée sur les implications profondes de l'ensemble des termes du dictionnaire sans même chercher à les employer. La question reste de toute manière la même à chaque fois que l'on cherche à communiquer: "Est-ce que l'utilisation de ce terme permettra de me faire comprendre? C'est à dire est-ce que la situation me sera favorable à l'emploi de ce terme-ci? Dois-je employer le mot "pensée" pour qu'il réagisse de manière à être plus ou moins en accord avec ce que je souhaite dire?" La "pensée" reste ce qu'elle nous permet de faire en tant qu'acte (cf. "pragmatisme" en philosophie) que ce soit dans la rue ou dans le cabinet d'un neurologue ("après votre opération vos pensées ont-elles été clair?" permet de diagnostiquer un problème (point).)... Même chose, sur la question de l'altérité, tout pronom personnel reste des actes en soi sans d'autres valeurs ajoutées.
* ). Lorsque l'on évoque l'esprit, le corps, le matérialisme, etc... on prononçe - avant toute chose - des termes du langage qui se traduisent ainsi en acte: acte de parler, acte de s'exprimer que ce soit par le biai d'un livre ou de vive-voix. On en revient au "mythe de la signification" (Cf. Recherches Philosophiques - Wittgenstein) dans la mesure où l'on pressent (et j'aimerais bien souligner cette notion de sentiments en philosophie, vis-à-vis de la certitude notamment) quelque chose de "plus" à propos de ces termes ce qui nous amène à les employer à tord et à travers dans des contextes (/situations/"mondes") nous conduisant inévitablement au hors-sujet involontaire et à la limite du frustrant avec des questionnements métaphysique du genre: Qu'est-ce qu'être conscient? Le corps est-il distinct de l'esprit? L'altérité est-elle une notion vraie? Qu'est-ce que la pensée? Le fait est que la "pensée" est tout d'abord un terme du langage et un acte de langage que l'on emploie selon les situations de la vie courante. Le problème est que la philosophie en tant que métaphysique (c'est le cas sur ce topic) s'abstrait des situations (des "jeux de langage")  couramment admises à l'emploi de certains termes comme "pensée"... On peut comparer ça à un fou qui s'interrogerait à longueur de journée sur les implications profondes de l'ensemble des termes du dictionnaire sans même chercher à les employer. La question reste de toute manière la même à chaque fois que l'on cherche à communiquer: "Est-ce que l'utilisation de ce terme permettra de me faire comprendre? C'est à dire est-ce que la situation me sera favorable à l'emploi de ce terme-ci? Dois-je employer le mot "pensée" pour qu'il réagisse de manière à être plus ou moins en accord avec ce que je souhaite dire?" La "pensée" reste ce qu'elle nous permet de faire en tant qu'acte (cf. "pragmatisme" en philosophie) que ce soit dans la rue ou dans le cabinet d'un neurologue ("après votre opération vos pensées ont-elles été clair?" permet de diagnostiquer un problème (point).)... Même chose, sur la question de l'altérité, tout pronom personnel reste des actes en soi sans d'autres valeurs ajoutées.