Température en hiver, paradoxe apparent

[invitedf64afb5]

Bonjour,

Le 21 décembre, en hémisphère nord, les jours commencent à rallonger, d'où une journée d'ensoleillement plus longue, donc davantage d'énergie solaire thermique reçue par notre hémisphère.

Question bête: pourquoi alors la température globale sous nos contrées continue-t-elle à décroitre, malgré cet accroissement de l'énergie reçue?

Mon hypothèse: bien que notre bout de terre reçoive progressivement plus de chaleur que fin automne, nous continuons à en céder dans l'espace plus que nous n'en recevons, d'où un bilan négatif, ce qui fait que nous continuons à nous refroidir.

Plus tard progressivement, fin hiver - début printemps, ce serait du fifty-fifty, puis bilan positif jusqu'à l'automne, etc

Qu'y a-t-il de juste dans cette hypothèse?

Merci pour toute réponse éclairante.
Et puisque nous sommes début janvier, meilleurs vœux de bonne année à tous.
Salut bien,
Orph
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[Tawahi-Kiwi]

Salut,

La reponse au retard saisonnier est a trouver dans l'inertie thermique de l'atmosphere, des sols et des oceans

https://fr.wikipedia.org/wiki/Retard_saisonnier

T-K

[invite5fc1946d]

L'inertie thermique des océans est telle que le maximum de banquise au pole a lieu fin mars et le minimum fin septembre, donc pratiquement décalé de 4 mois.