Et si... il y avait comme une sorte de malentendu, ou plus exactement des opinions trop marquées par la propre expérience de chacun, selon son propre PdM... (?)[...] mais que la puissance moyenne restituée est plus ou moins identique sur tous les types de poêles. Ceci sera vérifiable facilement dès lors que tous les poêles seront certifiés par le même protocole de test.
Pour anticiper cette vérification, il suffirait de considérer la température des parois du poêle comme indicateur "significatif" de la puissance instantanée du poêle (le rayonnement d'un matériau est une fonction de sa température)... on constatera qu'en intégrant sur la surface de rayonnement du poêle et en moyennant sur un cycle de 24h, les puissances moyennes ainsi obtenues sont relativement similaires d'un poêle à l'autre (en tout cas, leur variation est sans comparaison possible avec celle des chaudières ou poêle à convection).
Je sais que ce ne serait pas très scientifique, mais ce serait très humain.
Notre expérience de la souplesse de notre PdM (pas la peine de préciser lequel) est que selon le climat extérieur, nous faisons varier l"intensité" du chauffage par l'augmentation de la T° de surface moyenne. Je n'ai pas fait de courbes précises, mais je dirais à grosse louche que l'augmentation va jusqu'à 60 % de plus, ce qui fait une sacrée différence, puisqu'on peut passer d'une T° de surface type gros PdM brique, à plus de 100/110° moyenne (tout dépend ensuite des points de mesure retenus).
Ceci se fait soit en augmentant la charge de chaque flambée, soit en augmentant la fréquence des feux, soit les deux.
Donc, grosse augmentation de la T° de surface (et augmentation de la charge de bois par période de temps), si je comprend tes termes, est-ce que ça ne veut pas dire que la puissance moyenne restituée peut être, chez nous, assez variable ?
dedal (en formation de casque bleu)...
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