Retour d'expérience poêle de masse - Page 377
Répondre à la discussion
Page 377 sur 562 PremièrePremière 377 DernièreDernière
Affichage des résultats 11 281 à 11 310 sur 16853

Retour d'expérience poêle de masse



  1. #11281
    dedal

    Re : Retour d'expérience poêle de masse


    ------

    [...] mais que la puissance moyenne restituée est plus ou moins identique sur tous les types de poêles. Ceci sera vérifiable facilement dès lors que tous les poêles seront certifiés par le même protocole de test.
    Pour anticiper cette vérification, il suffirait de considérer la température des parois du poêle comme indicateur "significatif" de la puissance instantanée du poêle (le rayonnement d'un matériau est une fonction de sa température)... on constatera qu'en intégrant sur la surface de rayonnement du poêle et en moyennant sur un cycle de 24h, les puissances moyennes ainsi obtenues sont relativement similaires d'un poêle à l'autre (en tout cas, leur variation est sans comparaison possible avec celle des chaudières ou poêle à convection).
    Et si... il y avait comme une sorte de malentendu, ou plus exactement des opinions trop marquées par la propre expérience de chacun, selon son propre PdM... (?)
    Je sais que ce ne serait pas très scientifique, mais ce serait très humain.

    Notre expérience de la souplesse de notre PdM (pas la peine de préciser lequel) est que selon le climat extérieur, nous faisons varier l"intensité" du chauffage par l'augmentation de la T° de surface moyenne. Je n'ai pas fait de courbes précises, mais je dirais à grosse louche que l'augmentation va jusqu'à 60 % de plus, ce qui fait une sacrée différence, puisqu'on peut passer d'une T° de surface type gros PdM brique, à plus de 100/110° moyenne (tout dépend ensuite des points de mesure retenus).
    Ceci se fait soit en augmentant la charge de chaque flambée, soit en augmentant la fréquence des feux, soit les deux.

    Donc, grosse augmentation de la T° de surface (et augmentation de la charge de bois par période de temps), si je comprend tes termes, est-ce que ça ne veut pas dire que la puissance moyenne restituée peut être, chez nous, assez variable ?

    dedal (en formation de casque bleu)...
    .

    -----
    - et le chameau dit à la chamotte : masse-moi, c’est au poil... -

  2. #11282
    chataxe

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Bonssoir,
    Citation Envoyé par dedal Voir le message
    Donc, grosse augmentation de la T° de surface (et augmentation de la charge de bois par période de temps), si je comprend tes termes, est-ce que ça ne veut pas dire que la puissance moyenne restituée peut être, chez nous, assez variable ?
    Je ne sais pas si c’est la moyenne ou la maxi?
    Mais cela est vrai pour tout les PDM non ?
    Parcontre on en avait déjà parlé il me semble le rendement de restitution (pardon j’ai perdu le nom) vat forcement baisser au fur et mesure (comme dans la chanson) que la masse montera en T° puisque le Delta T diminue (T° feu et fumée/ T° masse) , j’ais pas dis de bêtise la ?


    Citation Envoyé par dedal Voir le message
    dedal (en formation de casque bleu)...
    .

    C’était donc cela ton stage outre Atlantique
    A+

  3. #11283
    dedal

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Je ne sais pas si c’est la moyenne ou la maxi?
    Je dirais que c'est les deux mon capitaine, puisque les deux se suivent. Avec bien sûr un effet qui accentue le pic quand on grimpe vraiment en T°.
    Par contre on en avait déjà parlé il me semble le rendement de restitution (pardon j’ai perdu le nom) vat forcement baisser au fur et mesure (comme dans la chanson) que la masse montera en T° puisque le Delta T diminue (T° feu et fumée/ T° masse) , j’ais pas dis de bêtise la ?
    Sur le principe, je pense que ça se tiens, mais je me souviens d'une réponse de Polar Bear à ce sujet qui disait que, s'agissant d'un PdM brique, il y a une grooossssse marge qu'on était pas près d'approcher avec les T° évoquées.

    Ces questions ont été abordées sur le fil rendement, avec cette réponse (de Philou) :
    Je dirais que, stricto-sensus, le propos d'Hélène est vrai : la puissance du poêle (puissance moyenne restituée) dépend uniquement de la masse de bois brulé.
    Ensuite, la masse du poêle et son architecture vont elles, déterminer la forme de la courbe de puissance (restituée) dans le temps.
    Dans le même message plus bas (que je cite pour ne rien tronquer ou déformer), Philou dis aussi que l'échange sature au bout d'un moment. Mais... cf la réponse de Polar...

    Bref, vivement l'hiver...
    - et le chameau dit à la chamotte : masse-moi, c’est au poil... -

  4. #11284
    KroM67

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Citation Envoyé par dedal Voir le message
    Mais enfin, un vétéran du forum comme toi, tu as dû lire ça 10x déjà

    La charge de test du CSTB était de 12,5 kg de charme sec (pas anhydride).
    Ça correspond, chez nous, à la charge habituelle.
    J'entend bien, et j'avais eu cette information sur le site, mais ça n'est pas ma question.

    Marchande au poil, qui élude la question, nous dit que le poêle est capable de fonctionner avec des charges allant de 6 à 36kg.
    Soit, mais nous savons tous que la courbe du rendement en fonction de la puissance restituée est tout sauf linéaire, et s'apparente habituellement à une cloche.

    D'où ma question : quel est le rendement avec 6kg?

    Merci pour les autres infos. Effectivement je ne trouve pas très pratique d'avoir à stocker deux longueurs différentes.

    [HS : Et toi tu stockes une autre longueur pour la chaudière?]

  5. #11285
    dedal

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    .
    Décidément... elle élude, elle fait des secrets, etc...
    Bref.

    Nous on brûle du 50 cm, et seulement du 50 cm. Dans le PdM, comme dans la chaudière. Un chargement plein par flambée. Et la fréquence des feux détermine, ici, la puissance nécessaire. On rentre parfois des dosses, en plus des bûches, selon les occasions, on peut jouer aussi là-dessus pour ajuster la densité. Mais comme on est avant tout des flemmards...
    .
    Dernière modification par dedal ; 02/09/2009 à 22h19.
    - et le chameau dit à la chamotte : masse-moi, c’est au poil... -

  6. #11286
    Philou67

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    dedal, ce que je veux dire avec les puissances relativement "uniques" des PDM, c'est qu'elles sont incomparables avec celles que l'on peut trouver pour des poêles à convection ou des chaudières, pour lesquelles la puissance est fournie principalement "lors de la flambée", là où celle d'un PDM (poêle à ACCUMULATION) est principalement fournie de la restitution de la chaleur accumulée.

    Donc, les puissances des poêles à convection ou des chaudières varient énormément de l'un à l'autre (disons, de 3kW à 30kW, au hasard), là ou pour les PDM, elle varie disons de 2kW à ... allez, à combien estimes-tu ta puissance moyenne restituée lorsque tu brûles ta charge maxi : 4/5 kW ?
    :'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance

  7. #11287
    Le Jeck

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Comme je fais de grosses transformations à ma maison, afin d'obtenir des primes pour l'isolation il faut faire un audit énergétique.

    Ce soir l'auditeur est venu m'expliquer le résultat de son audit !

    Vous allez rire !

    Quand on était au poste "chauffage" il a pris 2 points de chauffage au bois (sans prendre les puissances ni les modèles) et a marqué "rendement 60 %" Je lui fais remarquer que le rendement d'un PDM tourne autour des 80-85 % et idem pour mon autre poêle.


    Le Hic est que le programme de calcul ne permet pas de différencier cela. Donc que l'on mette un feu ouvert (yekkesss) ou un PDM ou un poêle métalique ou n'importe quoi .. tout est repris à 60% de rendement ...

    Attends d'avoir la version papier de son rapport en ma possesion pour analysercela de plus près.

    Autre truc complètement fou. Si j'isole le sol de mon grenier je n'ai pas droit à une prime à l'isolation. Par contre si j'isole le toit (ce qui permet donc de laisser monter la chaleur dans le grenier), là j'ai droit à une prime. Il trouve aussi que c'est fou, mais la reglementation est ainsi faite.
    Il attend que la région wallone (Belgique) adapte son programme....

    Il m'a demandé tout sérieusement si maintenant que je vais installer une chaudière aux pellets si je comptais enlever mon PDM ..... Je lui ait dis que la chaudière servirait d'appoint au PDM en bas et de chaleur de base pour les chambres en haut....


    Sont fous mes amis

  8. #11288
    invite6ef3f65e

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Je vais vous poser une question qui peut vous paraître un peu naïve mais lorsqu'on dit qu'un pdm restitue par exemple 40 kw est ce égale à 10 heures de fonctionnement d'un radiateur de 4kw ?

    Je me pose cette question pour calculer quelle sera la durée d'amortissement du pdm. Car dans mon cas, le pdm doit remplacer 3 radiateurs électriques, qui d'après leur taille (j'habite pas encore dans la maison) doivent faire entre 1.5kw et 2kw.

    Vu que le fonctionnement d'un poêle est de rayonner tout autour de lui, que devient le rayonnement derriere le pdm lorsqu'il est accolé à un mur ???

  9. #11289
    KroM67

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    40 kW, c'est 40kW, c'est à dire une puissance équivalente à une quantité d'énergie de 40kWh restitués en une heure, donc comparable donc à un radiateur de 40kW.

    Un poêle qui restitue 40kWh en 10 heures sera effectivement équivalent en terme d'énergie finalement transmise (car la restitution n'est pas linéaire) à un radiateur de 4kW en fonctionnement pendant 10 heures.

    Es-tu sur que ces radiateurs fonctionnaient à fond au plus froid de l'hiver?

    D'autre part, le transfert de chaleur se faisant par rayonnement, la comparaison de puissance instantanée nécessaire pour un bon confort est souvent à l'avantage d'un PDM, surtout par rapport à de simples convecteurs.

    Le mur derrière va accumuler la chaleur et la restituer à son tour.

  10. #11290
    dedal

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    elle varie disons de 2kW à ... allez, à combien estimes-tu ta puissance moyenne restituée lorsque tu brûles ta charge maxi : 4/5 kW ?
    Je comprend ce que tu veux dire (enfin je crois )...
    Pour un chiffre en kW, je m'avoue bien incapable d'en affirmer un. A la limite une proportion (+ 60 % en T° de surface moyennes, et probablement davantage en puissance si on rapproche vraiment les flambées pour se maintenir dans le haut de la courbe des T° de surface), ce qui ne fait une puissance unique, mais pas comparable à l'amplitude de puissance "instantanée" d'autres chauffages bien entendu.
    Le constat que je fais - simple constat d'usage - c'est qu'il est bien possible de faire fonctionner notre PdM à "différents régimes", selon le besoin qu'on en a.

    Si, pendant et après une flambée "forte", je fais un relevé au thermo IR toutes les heures en une dizaine de points du PdM, je devrais pouvoir estimer ça précisément ?

    + 60 % en T° de surface moyennes, et probablement davantage en puissance si on rapproche vraiment les flambées pour se maintenir dans le haut de la courbe des T° de surface
    Euh oui, donc ça revient à augmentation des T° moyennes...
    Donc il faut que je mesure pour dire un chiffre. Mais, loin de moi l'idée d'éluder la question... j'attendrai qu'il fasse bien froid pour faire ça.
    .
    Dernière modification par dedal ; 03/09/2009 à 09h40.
    - et le chameau dit à la chamotte : masse-moi, c’est au poil... -

  11. #11291
    dedal

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    .
    Ça ne va pas marcher mon histoire... Si j'attends qu'ils fasse vraiment froid (histoire de ne pas suffoquer), les déperditions beaucoup plus fortes vont rendre les résultats pas comparables avec ceux d'une flambée "faible", par temps intermédiaire...
    Il faudrait faire des feux de 6, 12 et 24 kg, puis répéter ça à des rythmes plus ou moins rapprochés, mais avec des déperditions comparables, pour que la courbe de relevés de T° moyenne soit comparable.

    Puisque la question sous-jacente est : "au-delà d'une certaine charge, l'échange sature et la chaleur est perdue"... n'y aurait-il pas un moyen simple de vérifier ça via la T° des fumées, à différents charges de bois. Tant que la T° des fumées n'augmente pas significativement, c'est que l'échange est bon, donc le PdM continue de transférer l'énergie des charges de bois qu'on lui donne. Si c'est le cas entre, disons, 8 et 24 kg, ça fait un rapport de 1 à 3. Même un rapport de 1 à 2, en continu s'agissant d'un PdM, je trouverais ça loin d'être "négligeable".

    D'ailleurs... Philou tu mets en vis à vis PdM et chauffages "classiques", avec dans le second cas des puissances de 3 à 30 kW (par exemple). Mais bon, ce sont pour l'essentiel des puissance "discontinues" - une chaudière de 30 kW tourne rarement en continu - alors que les 2 à 5 kW d'un PdM sont continus... comme on l'a souvent dit.
    Si on voulait comparer l'amplitude de puissance des PdM avec l'amplitude de puissance des autres appareils de chauffage, il faudrait exprimer celle-ci en continu, ramené sur 24 h.
    A moins que tu ne voulais dire 30 kW en continu (30 kWh ?... j'y arriverai jamais) mais on est plus là dans un chauffage individuel
    .
    - et le chameau dit à la chamotte : masse-moi, c’est au poil... -

  12. #11292
    Philou67

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Oui dedal, on peut fonctionner TOUS les PDM à plusieurs régimes (le mien aussi, même en stéatite). C'est d'ailleurs très utile lorsque l'on dispose d'un four.

    Mais en terme de chauffage pur, la puissance moyenne est sans comparaison possible avec les puissances des autres modes de chauffage. Pourquoi ?
    Parce que pour une chaudière (sans hydro-accumulation) ou un poêle à convection, la puissance de chauffage est identique à la puissance restituée. Ce n'est pas le cas d'un poêle à accumulation pour qui la puissance du foyer (la quantité d'énergie transférée du feu à coeur par unité de temps) est très différente de la puissance restituée (la quantité d'énergie transférée de la paroi extérieure au logement et à ses habitants, par unité de temps). C'est le travail de l'accumulation et la nouvelle norme EN 15250 le stipule particulièrement bien : appareils à combustible solide et restitution lente de chaleur.

    Maintenant, on peut aussi biaisé ce mode de fonctionnement en maximalisant la puissance par vitre (c'est à dire en multipliant et rapprochant les flambées), mais dans ce cas, on se rapproche d'un fonctionnement en feu continu, avec également un baisse de rendement à la clé (jusqu'à quelle température ton poêle pourrait monter si tu décidais de bruler 50kg au lieu des 36kg maximum préconisés : 115°C ou bien la courbe de montée en température va-t-elle continuer à augmenter de manière linéaire ?).
    :'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance

  13. #11293
    Philou67

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Citation Envoyé par dedal Voir le message
    D'ailleurs... Philou tu mets en vis à vis PdM et chauffages "classiques", avec dans le second cas des puissances de 3 à 30 kW (par exemple). Mais bon, ce sont pour l'essentiel des puissance "discontinues" - une chaudière de 30 kW tourne rarement en continu - alors que les 2 à 5 kW d'un PdM sont continus... comme on l'a souvent dit.
    Je les mets en parallèle, car contrairement à un PDM, une chaudière pourra fonctionner en continu, et donc, la plage de puissance disponible est bien plus étendue qu'avec un PDM. C'est donc pour souligner que l'on peut difficilement sous-dimensionner un poêle, alors que pour un chaudière, c'est le sur-dimensionnement qui pose problème.
    Tout au plus, un PDM sous-dimensionné sera un appoint au lien d'être une source principale de chauffage.
    :'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance

  14. #11294
    JG27

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Citation Envoyé par Philou67 Voir le message
    Je rejoins l'avis de chataxe : vous parlez à nouveau d'énergie stockée (kWh), alors que je parle de puissance moyenne restituée (c'est à dire la quantité d'énergie fournie par le poele par unité de temps).

    La masse du poêle détermine la quantité d'énergie accumulable (au dela d'une certaine quantité de bois brulé, la température du poêle n'augmente plus, il n'y a plus d'accumulation, toute la puissance part par la vitre et le conduit), alors que ce sont la surface du poêle (vitre + parois opaques) et leur émissivité qui déterminent sa puissance instantanée (ainsi que la durée de la flambée). Quand à la quantité d'énergie totale produite, c'est celle contenue dans le bois brulé moins celle perdue dans le conduit (rendement du poêle elle diminue lorsque la quantité de bois brulé excède la quantité accumulable dans la masse).

    Or, un poêle 2x plus lourd n'a pas 2x plus de surface d'émission, les deux fonctions (accumulation et puissance) ne sont donc pas liées par une relation de proportionnalité.

    Encore une fois, vous déformez mes propos : quand je parle de puissance quasi identique (j'ai dit unique), ce n'est pas pour dire que la puissance est constante pendant toute la durée d'un cycle pour les poêles en stéatites (ce qui est faux), mais que la puissance moyenne restituée est plus ou moins identique sur tous les types de poêles. Ceci sera vérifiable facilement dès lors que tous les poêles seront certifiés par le même protocole de test.

    Pour anticiper cette vérification, il suffirait de considérer la température des parois du poêle comme indicateur "significatif" de la puissance instantanée du poêle (le rayonnement d'un matériau est une fonction de sa température)... on constatera qu'en intégrant sur la surface de rayonnement du poêle et en moyennant sur un cycle de 24h, les puissances moyennes ainsi obtenues sont relativement similaires d'un poêle à l'autre (en tout cas, leur variation est sans comparaison possible avec celle des chaudières ou poêle à convection).
    D'ailleurs, ce serait intéressant d'en faire l'expérimentation cet hiver, avec l'ensemble des PDM installés par les forumeurs.
    Il suffirait de se munir d'une thermo IR, de faire des mesures de température toutes les heures pendant 24h et de calculer la puissance théorique émise en fonction des dimensions du poêle (et ce, avec différentes charges de bois). L'utopiste a déjà donné dans un autre fil, un tableau excel permettant de calculer cette puissance instantanée (reste à la moyenner).

    PS : question un peu hors sujet : peut-on utiliser un pyranomètre (utilisé notamment en métérologie) pour mesurer la puissance de rayonnement d'un PDM en action ?
    Je crois que marchande de poele pense que ses poeles ont plus d'amplitudes de fonctionnement que les poeles en stéatite voilà tout. L'argument qui permet de penser qu'elle a raison est la fameuse règle des 1kg(bois) pour 100kg(stéatite). Mais je ne comprends toujours pas cette régle. Après tout qu'est-ce qui empêche de charger plus ou plus souvent pour avoir une température extérieure du poele plus élevé encore que les 100°C (valeur reprise dans le forum, à ma connaissance, comme étant proche du maxi) ??? Ben je sais pas et si quelqu'un a la réponse j'aimerais bien comprendre...

    Après est-ce que le rendement suit à faible charge comme à charge maxi, telle est la question? Mais je dirais non car les fumées en sortie de poele seront plus chaudes à mesure que le poele est lui-même plus chaud ce qui finit forcément par amoindrir le rendement (Stéatite ou pas)...


    Pour Philou, un Pyranomètre ne te sera pas utile car il intègre le rayonnement sur toute la gamme de fréquence "utile" du spectre solaire (j'entends pas "utile" là où la majorité de la puissance lumineuse se trouve).
    Un pyromètre, captant plus spécifiquement les infra-rouges sera beaucoup plus indiqué (idem thermomètre infr-rouge).
    En outre le pyranomètre permet d'évaluer le flux réceptionné par une surface et non le flux émis par une surface donné.
    Pour évaluer le flux émis par le poele, il faut "cartographier" la température de surface du poele (ne surtout pas moyenner!), connaître l'émissivité en tout point de mesure et appliquer la loi de Stéphan donnant le flux rayonné (voir wikipédia pyranomètre, pyromètre, et constante de Stefan) et faire la somme sur tous les éléments de surface de poele cartographié.

    Bref un sacré boulot qu'une caméra thermique et un bon logiciel peut sans doute faire cela plus facilement...
    Mais une première évaluation "à la mano" donnera un bon ordre de grandeur (ça me rappelle quand je dirigeais les TP de thermique en Maitrise de Physique à la FAC).

    Jérôme.
    Dernière modification par Philou67 ; 03/09/2009 à 10h27. Motif: Correction à la demande de l'auteur

  15. #11295
    invite6ef3f65e

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    effectivement je ne pense pas qu'ils tournaient les radiateurs à fonds, quoi que ...
    D'après les factures que j'ai, d'octobre à mai, ils ont consommé 14 385 kw !!! Alors ce n'est pas uniquement que pour le chauffage, il y a également le chauffage de l'eau et les differents appareils électriques.
    Le pic de la facture étant en janvier, 6200 kw ...

  16. #11296
    Philou67

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Citation Envoyé par JG27 Voir le message
    Pour Philou, un Pyranomètre ne te sera pas utile car il intègre le rayonnement sur toute la gamme de fréquence "utile" du spectre solaire (j'entends pas "utile" là où la majorité de la puissance lumineuse se trouve).
    J'avais vu que l'usage du pyranomètre était également utilisé pour l'installation de panneaux solaire (je ne sais pas dire si c'était pour des thermiques ou des photo-voltaïques). D'où mon questionnement...
    Un pyromètre, captant plus spécifiquement les infra-rouges sera beaucoup plus indiqué (idem thermomètre infr-rouge).
    En outre le pyranomètre permet d'évaluer le flux réceptionné par une surface et non le flux émis par une surface donné.
    Ni aurait-t-il aucun moyen, dans le noir, d'estimer le flux émis à partir du flux reçu ?
    Pour évaluer le flux émis par le poele, il faut "cartographier" la température de surface du poele (ne surtout pas moyenner!), connaître l'émissivité en tout point de mesure et appliquer la loi de Stéphan donnant le flux rayonné (voir wikipédia pyranomètre, pyromètre, et constante de Stéphan) et faire la somme sur tous les éléments de surface de poele cartographié.
    En fait, je voulais plutôt trouvé une mesure directe du flux, plutôt qu'un calcul théorique basé sur la température de surface. Mais la feuille de calcul de l'Utopiste était effectivement basée sur la loi de stefan-boltzmann.
    Mais une première évaluation "à la mano" donnera un bon ordre de grandeur (ça me rappelle quand je dirigeais les TP de thermique en Maitrise de Physique à la FAC).
    Je suis bien d'accord... un point cependant m'intrigue : pourquoi la valeur moyenne de la température du poêle ne serait-elle pas une bonne estimation par rapport à l'intégration en tout point de la température ?
    :'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance

  17. #11297
    Philou67

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Citation Envoyé par JG27 Voir le message
    L'argument qui permet de penser qu'elle a raison est la fameuse règle des 1kg(bois) pour 100kg(stéatite). Mais je ne comprends toujours pas cette régle. Après tout qu'est-ce qui empêche de charger plus ou plus souvent pour avoir une température extérieure du poele plus élevé encore que les 100°C (valeur reprise dans le forum, à ma connaissance, comme étant proche du maxi) ??? Ben je sais pas et si quelqu'un a la réponse j'aimerais bien comprendre...
    La règle des 1kg/100kg (qui, je crois, n'est plus de mise avec les nouveaux modèles en stéatite), est à comprendre comme une recommandation de limite haute. Il est possible de bruler moins, ou plus, et ou plus souvent.
    Une autre règle d'usage qui m'a été donnée avec mon poêle en stéatite est d'espacer les flambée d'au moins 8h.
    A mon sens, ces règles permettent de garantir, dans le cas de poêle en stéatites, la résistance mécanique du poêle.
    :'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance

  18. #11298
    JG27

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Citation Envoyé par Philou67 Voir le message
    J'avais vu que l'usage du pyranomètre était également utilisé pour l'installation de panneaux solaire (je ne sais pas dire si c'était pour des thermiques ou des photo-voltaïques). D'où mon questionnement...

    Ni aurait-t-il aucun moyen, dans le noir, d'estimer le flux émis à partir du flux reçu ?

    En fait, je voulais plutôt trouvé une mesure directe du flux, plutôt qu'un calcul théorique basé sur la température de surface. Mais la feuille de calcul de l'Utopiste était effectivement basée sur la loi de stefan-boltzmann.
    Je suis bien d'accord... un point cependant m'intrigue : pourquoi la valeur moyenne de la température du poêle ne serait-elle pas une bonne estimation par rapport à l'intégration en tout point de la température ?
    Philou, merci pour le correctif.

    Pour la mesure directe du flux dans le noir, cela pourrait marcher en mesurant surface par surface et en sommant les flux mesurés. Mais il faudrait occulter le restant du poele quand on mesure seulement une partie de sa surface sinon on somme plusieurs fois la même contribution... Et ça, c'est vraiment pas facile car le "rideau", même à 20°C, va quand même rayonner...

    Pourquoi on ne peut pas moyenner (sous-entendu linéairement)?
    Parce que la loi de Stefan n'est pas linéaire mais est en fonction de la température élevée à la puissance 4!
    Il faudrait moyenner les {température^4} et là cela reviendrait au même...

    Jérôme.

  19. #11299
    JG27

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Citation Envoyé par Philou67 Voir le message
    La règle des 1kg/100kg (qui, je crois, n'est plus de mise avec les nouveaux modèles en stéatite), est à comprendre comme une recommandation de limite haute. Il est possible de bruler moins, ou plus, et ou plus souvent.
    Une autre règle d'usage qui m'a été donnée avec mon poêle en stéatite est d'espacer les flambée d'au moins 8h.
    A mon sens, ces règles permettent de garantir, dans le cas de poêle en stéatites, la résistance mécanique du poêle.
    Pas pour un éventuel choc thermique en tout cas puisque le plus grand delta de température, c'est au démarrage d'un poele froid...
    Pour éviter une température trop élevée alors? Mais c'est quand même assez bizarre vu les températures atteintes dans le foyer léchant à volonté la stéatite en direct... Mystère, mystère...

    Philou, sais-tu pourquoi les nouveaux modèles sont plus tolérants vis-à-vis de cette régle? Ils ont un nouveau traitement thermique?

    Ou alors c'est juste pour éviter des excursions vers des modes de fonctionnement avec rendement trop dégradé...?

    Au fait, j'ai vu le premier installateur pour mon futur poele de masse hier soir . Mais il m'a confirmé qu'il ne pourrait chauffer que la salle /salon. Ben ça sera déjà ça en attendant d'améliorer l'isolation du reste de la maison pour en profiter plus.

    Jérôme.

  20. #11300
    ririmason

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    L'intervalle de 8 heures entre les flambées est destinée à mon sens à attendre que la pierre se soit déchargée d'une partie de sa chaleur de manière à rendre denouveau possible ( et économique ) une nouvelle accumulation de chaleur. Une pierre chaude accumule moins facilement la chaleur.

  21. #11301
    Philou67

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Les foyers des nouveaux poêles contiennent des éléments qui ne sont plus en stéatite.

    OK, j'ai compris pourquoi ne pas moyenner la température, mais cependant, la température d'un poêle "tends" à être homogène (hormis pendant la flambée, mais là, la puissance émise est également perturbée par la vitre).
    Cela dit, je reste persuadé que les différences de températures entre les différents points d'un poêle sont faibles, et influence peu la formulation, etant donné que la formule s'exprime en degré Kelvin (donc, une variable de 20°C par rapport à une température moyenne de 60°C, ne représente que 20/(273+60) d'écart relatif, à mettre à la puissance 4.
    Exemples :
    à 60°C : T4 = 12296370321 K4
    à 80°C : T4 = 15527402881 K4
    Le rapport n'est que de 26% en plus.
    :'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance

  22. #11302
    LutopiSTe

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    bonjour
    Pourquoi on ne peut pas moyenner (sous-entendu linéairement)?
    Parce que la loi de Stefan n'est pas linéaire mais est en fonction de la température élevée à la puissance 4!
    Il faudrait moyenner les {température^4} et là cela reviendrait au même...
    sur cette plage de température d'utilisation, 20/100°C la différence n'est pas sensible, en Kelvin ça donne 293/373°K, on peut linéariser, ça n'entraine qu'une erreur de +-2%.

    c'est vrai que ce serait pratique de mesurer ça d'un coup, mais il reste toujours la méthode du galérien avec un thermo IR, en définissant des zones, on peut évaluer leur emissivité réelle à l'aide d'un thermomètre à contact, après il ne reste plus qu'à être patient et méticuleux

    une mesure sans doute plus intéressante, parcequ'elle quantifie des températures ressenties, c'est la température opérative, que l'on mesure avec un globe noir.

    cordialement
    Images attachées Images attachées  
    Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel. (Jean Jaurès)

  23. #11303
    invite6ef3f65e

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Citation Envoyé par JG27 Voir le message

    Au fait, j'ai vu le premier installateur pour mon futur poele de masse hier soir . Mais il m'a confirmé qu'il ne pourrait chauffer que la salle /salon. Ben ça sera déjà ça en attendant d'améliorer l'isolation du reste de la maison pour en profiter plus.

    Jérôme.
    De mon côté j'ai rencontré T### avant hier soir, mais lui ne m'a pas dit grand chose ...
    du coup j'ai rdv avec N### lundi 14/09 ... j'espère qu'il sera un peu plus professionnel que commercial ...
    Dernière modification par Philou67 ; 03/09/2009 à 12h22. Motif: Merci d'éviter les marques lorsque ce n'est pas nécessaire.

  24. #11304
    Philou67

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Désolé Lutopiste d'avoir écorché quelque peu ton pseudo

    En fait, je cherchais un méthode facile à mettre en oeuvre par les forumeurs, à l'aide d'un outil dont beaucoup disposent : un thermo IR, des mesures périodiques sur un cycle (dont on connait les caractéristique en terme de charge de bois). Tout ceci ne devant pas servir à établir des données absolues fiables, mais plutôt à relativiser les comportements des différents types de poêle.
    En proposant à tout un chacun un protocole simple, l'étude pourrait concerner le plus grand nombre, et l'on gagnerait en nombre d'échantillon avec certes une moindre précision, mais l'objet n'est pas de certifier chaque poêle, mais de les comparer (avec ainsi, une compensation des erreurs).
    :'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance

  25. #11305
    chataxe

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Bonjour,
    Citation Envoyé par Philou67 Voir le message
    Les foyers des nouveaux poêles contiennent des éléments qui ne sont plus en stéatite.
    .
    Uniquement chez le constructeur le plus connu.

    Ce serai bien d’arrêter de parler de la règle 1/100kg, dont apparemment personne connait l’origine, peut-être un simple résumé mnémotechnique
    A+

  26. #11306
    LutopiSTe

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Citation Envoyé par Philou67 Voir le message
    Désolé Lutopiste d'avoir écorché quelque peu ton pseudo
    mais non, l'essentiel était là
    on pourrait très bien se contenter de trois points de mesures, en pied, en sommet et sur le point chaud. 6 mesures sur la journée devrait suffire à estimer le comportement des poêles, un peu plus rapprochées au début, un peu moins à la fin.
    pour un peu plus de précision, il suffirait de faire le "test du galérien" une foi pour chaque modèle de poêle et d'en déduire la bonne façon de faire la moyenne avec seulement 3 points de mesures.

    cordialement
    Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel. (Jean Jaurès)

  27. #11307
    Philou67

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    @Chataxe: on en connait l'origine, pas la cause.
    1kg bois sec à 20% produisant environ 4kWh d'énergie, si l'on considère un rendement d'accumulation de 50% (c'est à dire la proportion d'énergie qui sera accumulée dans la pierre, le reste partant soit dans le conduit, soit par la vitre ; de tête, c'est la répartition estimée par les simulations de Lutopiste), on peut dire qu'1kg de bois fourni 1,5kWh d'énergie à accumuler.

    En prenant comme capacité thermique massique : 0,0272 kWh/100kg de stéatite (source Dutry après changement d'unité), cela signifie qu'un kg de bois élève la température de la pierre de 1,5 / 0,0272.
    Soit environ 55°C.
    Il faut croire que le fabricant a considéré cette valeur comme un bon compromis.
    :'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance

  28. #11308
    c.parangon

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Je rajoute une précision.

    Cette règle des 1kg/100kg de stéatite s'applique toujours chez tuli.......Le ratio a juste changer du fait de l'augmentation de rendement du foyer.

    Pour un poele avec ancien foyer de 2800 kg, il était conseillé de bruler 28 kg de bois pour atteindre son fonctionnement maximale (comprendre accumulation maximale de chaleur dans les pierres).

    Le modèle similaire à nouveau foyer n'a plus besoin que de 22 kg, soit environ 0,8kg de bois pour 100 kg.

    C'est une donnée a prendre en compte, les foyers ont environ gagné 10 % de rendement (de 73% à 83%) avec ses foyers qui permettent notamment d'atteindre plus rapidement la température de post combustion.

    Je vous conseille d'aller trainer sur le site du fameux constructeur, il y a plusieurs articles traitant du sujet si mon souvenir est bon.
    Concernant ce ratio, j'avais lu qu'il correspondait à la capacité maximale de la stéatite a stocker la chaleur. Au delà, la chaleur produite ne peux plus être stocké et part dans le conduit.

  29. #11309
    Philou67

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Citation Envoyé par c.parangon Voir le message
    Concernant ce ratio, j'avais lu qu'il correspondait à la capacité maximale de la stéatite a stocker la chaleur. Au delà, la chaleur produite ne peux plus être stocké et part dans le conduit.
    Moi, à l'instar de Polar bear, je dirais que c'est la conception du poêle qui empêche que la stéatite en stoque plus, car jusqu'à la température de fusion (et sans doute au delà, mais là, on entre dans des considérations plus ne relèvent plus du poêle en pierre), la stéatite a la capacité d'accumuler plus. Personnellement, j'interprète cette limite comme étant liée à la conception du poêle qui fait que la température des gaz et celle de la stéatite devient trop proche pour que les échanges thermiques puissent encore avoir lieu.
    :'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance

  30. #11310
    JG27

    Re : Retour d'expérience poêle de masse

    Intéressant. Et la valeur maxi par cycle est clairement mentionnée. Ainsi qu'une valeur maxi par charge (????)
    Ce qui me laisse penser que ces valeurs limitent ne sont pas si anodines ou anecdotiques que ça...
    Mais alors, finalement le risque est-il de faire chuter le rendement en brûlant pour rien (1) ou d'entamer la durabilité du poele (2)?

    Pour (1), cela voudrait dire que l'on peut "booster" son poele quitte à sacrifier du rendement lors de retour d'absence prolongé...
    Si (2), alors c'est plus une limite qui milite (désolé du jeu de mot, pas fait exprès) pour les poeles avec un autre type de revêtement de foyer que Stéatite (plus résistant aux hautes températures?).

    En faveur du (1): la logique même consistant à dire que le delta T est moins important à mesure que le poele est (très) chaud.
    En faveur de l'hypothèse (2): le site Nunna qui parle d'une limite à "torturer" son poele Stéatite cause d'une durabilité moindre...
    Dans le cas numéro 2, c'est madame Marchand de poele qui va être contente! (heuuu.... J'ai pas d'action chez elle et on ne se connaît pas, promis!)
    Pas vu d'explications sur quantité par cycle et charge sur le site Tuli...

    Pour Epsilon * sigma * T^4, d'accord sur le fait que l'erreur est faible. Après, autant ne pas faire d'erreur sur les calculs, ça ne mange pas de pain...
    Pour les écarts de température sur un poele, je n'en ai pas... Alors...
    Mais je serais assez surpris de ne voir que des écarts négligeables... Le flux thermique est assez élevé et dans les angles du poele la température doit (heu... à vue de narine gauche) est significativement plus faible qu'ailleurs, non?
    Dernière modification par Philou67 ; 03/09/2009 à 14h47. Motif: Citation inutile

Dans l'univers Maison de Futura, découvrez nos comparatifs produits sur l'univers de la maison : climatiseur mobile, aspirateur robot, poêle à granulés, alarme...