C’est la définition du Larousse qui va éclairer ta lanterne.
Définition de Givre:
Couche de glace formée par la congélation de gouttelettes surfondues (présent dans le brouillard ou les nuages) et qui recouvre en hiver, par temps brumeux, les branches des arbres, les fils électriques, les aspérités du sol, etc.
Et je rajoute, sont aspirées par les échangeurs des PAC.
Les appoints électriques ! !
Tu peux commencer par lire ce qui est raconté sur ce lien de fin 2008.
http://forums.futura-sciences.com/ha...aleur-pac.html
Rien n’a changé sur la manière d’exploiter le principe de Carnot sur les PAC dites modernes :
C’est toujours l’utilisation du principe de Carnot, deuxième principe de la thermodynamique
http://fr.wikipedia.org/wiki/Deuxi%C...hermodynamique
Les points qui ont évolués d’une manière significative sont : (comme dans les moteurs d’automobile)
- Les caractéristiques physiques et mécaniques des mâtereaux (plus aptes aux besoins)
- Les lubrifiants utilisés dans les fluides frigorigènes
- L’automatisation, les régulations, l’informatisation des commandes.
Les produits frigorigènes sont plus stables, plus adaptés aux besoins, mais n’ont pas changés sur les propriétés thermodynamiques qui conduisent au COP.
Je laisse le soin à Wikipedia d’expliquer l’essentiel de ce qu’il y a dans un réfrigérateur et une PAC
http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9...sion_de_vapeur
Exemple chez Mitsubishi : (les autres c’est pareil)
« L’ultra moderne » ZUBIDAN 80 M5
Puissance calorifique 8 kW entre -7°C et – 15°C
Appoint électrique : 5 kW
Ca montre simplement qu’à -15°C, dans une atmosphère de laboratoire pratiquement anhydre, c'est-à-dire sans la moindre trace d’eau à l’état solide dans l’échangeur, la puissance restituée par l’évaporateur de la PAC est de 8 – 5 = 3 kWh
Pour avoir les 8 kWh, dans les conditions de laboratoire indiquées ci-dessus, il faut faire fonctionner au max l’appoint effet joule de 5 kWh.
Puissance absorbée 1.8 kWh
Soit un COP « fictif » de 8 / 1.8 = 4.4 indiqué dans la doc technique
-----