1) "haut perché"
a) en effet, par rapport au réglage d'usine (76° je crois, ou 75)...
b) cependant, ne pas surestimer les "pertes" que cela engendre : pour une chaudière placée dans une chaufferie, ayant une isolation donnée, les pertes sont proportionnelles à l'écart de température entre la temp de la chaudière et la temp de son environnement.
On passe donc là de 75 - 20 = écart de 55 à 78 - 20 = un écart de 58
Soit très exactement, une augmentation des pertes de 3/55 soit moins de 5,5 %.
Si la pièce est à 30, cela augmente : 3/45 soit 6,7 %.
Des pertes, qui sont de 0,8 % de la puissance développée par la chaudière à puissance nominale (test du BLT). Donc perdre 6 % de 0,8 %, ce n'est pas quantifiable.
2) Une "chaudière" ne se repose pas... Au contraire, des arrêts ne sont que "nuisibles", acr crée des hauds et froids. Un système mécanique s'use plus à se réchauffer et se refroidir qu'à tourner en continue. Ce sont les arrêts / démarrage qui flinguent nos moteurs, sinon, ils feraient 3 à 5 millions de km (espérance de ve d'un Diesel dans un groupe électrogène tournant 24 / 24 365 jours par an à régime parfaitement stabilisé) !
Dans cete xemple où la régulation semble fonctionner, de touyte façon, la chauidère adaptera sa puissance au besoin. Au final, elle aura brulé la même quantité de pellets : celle dont le PCI compensera les pertes de la maison !
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