c'est simple: après un dégivrage:
La PAC a un rendement optimum (pour les conditions du moment bien sur!)
La T°C de soufflage, la T°C de reprise et le deltaT augmentent
La puissance restituée augmente et vient compenser les déperditions croissantes
La puissance consommée augmente.
Ce processus répété plusieurs fois permettra malgré des déperditions croissantes de faire progresser la T°C ambiante (seul un relevé de compteur kWh et courbe d'enregistrement des T°C) nous aurait permis de valider cette hypothèse qui est d'ailleurs certainement la bonne.
Au moment ou Cathars fait son relevé (juste avant le dégivrage) les T°C de soufflage et reprise ont baissé, la puissance absorbée a baissé et là cla devient tout à fait normal.
D'accord ou pas???
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) car la principale qualité de l'inverter / au TOR c'est justement d'adapter sa puissance, cela indiquerait (ce qui parait peu probable pour ne pas dire impossible) qu'elle se trouve déjà dans la zone mini (entre 15% et 30% pour les plus mauvaises) où la PAC régule en TOR au lieu de moduler.
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mais suffisamment pour mener à bien le réglage d'une PAC et aussi prévenir par alerte mail d'un mauvais fonctionnement.
apparemment ma réponse était incomplète puisque tu ne l'as pas comprise : J'ai écrit "la puissance est égale aux déperditions de 19°C" , j'aurais du ajouter "qui sont > aux déperditions de la T°C de départ de 18°C puisque c'est le point de consigne", il est évident que si tu es en équilibre: déperditions = puissance de chauffe, il ne peut y avoir aucune ambiguïté sur ce point.
Puissance=Déperditions= (t1-t2) x G X V, G et V constant deltaT (t1-t2) croissant P = D ne peuvent que croître.


