Chercher dans le désordre des suites de Collatz la relation universelle qui permette de démontrer la conjecture, c'est chercher une aiguille dans une botte de foin. Peut-on mettre en évidence une structure d'ordre qui isole la source de ce désordre ? C'est la voie que j'ai suivie pour comprendre et je ne vous dis encore ni le comment ni l'ampleur du dévoilé. Voici pour débuter un résultat important.
Soit la classe des suites finies entre impairs ayant m multiplications et d divisions. Existe-t-il un ou plusieurs cycles dans cette classe ? Le paramètre le plus important à cet égard est . Si toutes les suites de la classe sont forcément cycliques. S'il est très petit comme dans il y a de fortes chances qu'il y ait un cycle.
Il existe un second paramètre que j'ai appelé q qui permet d'écrire une condition nécessaire et suffisante pour l'existence d'un cycle numérique et sa valeur de départ, le cas échéant. La classe contient nCr(d-1,m-1) valeurs paramétriques distinctes toutes incluses dans des cycles paramétriques de longueur m. La condition sine qua non est .
Pouvez-vous expliciter ce paramètre q en une somme de produits de puissance de 2 et 3 qui découle directement de son rang en base 2 dans la grande structure d'ordre ?
P.S.
J'aurais cru que la balise tex offrirait un bien meilleur rendu.
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