Bonjour ,
j'ai apercu la démonstration de la non dénombrabilité de P(IN) par la diagonale de Cantor aujourdh'ui : la démarche était la suivante (d'après ce qui me reste).
On utilise une "aplication" qui associe une partie de IN à une suite de {0,1}^N tq le terme n de la suite est égal à 1 si l'élement a_n est dans cette partie et 0 sinon . Il me semble que l'on note V_A cette suite pour une partie A de IN (je suppose que V doit etre une bijection ...)
Par l'absurde , on suppose l'existence d'une bijection de IN dans P(IN) qui à n associe f(n) codée par une suite comme précédemment .
alors on construit un "tableau" des f(n) , et on note V' la suite définie à partir de la diagonale du tableau comme suit : le terme de la suite au i eme rang est 0 si l'élement à la ième colonne ième ligne est 1 et vis-versa .
on montre alors que f(n) n'est pas surjective car V' n'admet pas "d'antécédent" dans IN ...
La démonstration me semble infaillible , seulement j'ai du mal à visualiser ... J'ai l'impression qu'on ne peut construire des parties de IN à partir de nombres n assez "vite" pour pouvoir toutes les considérer ... C'est la seule façon que j'ai de voir cette démonstration.
COmment peut on visualiser mieux cette démonstration ?
Merci d'avance .
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