on suppose que phiA appartient à l'ensemble d'arrivé F(E,{0,1}) et on tente d'exhiber un A qui appartient à P(E) tel que phiA = PHI(A) ?
Cordialement
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on suppose que phiA appartient à l'ensemble d'arrivé F(E,{0,1}) et on tente d'exhiber un A qui appartient à P(E) tel que phiA = PHI(A) ?
Cordialement
Non, ce n'est pas correct ... tu dois choisir un élément quelconque de , lui n'est pas du tout quelconque, il est lié à un ensemble qui viendrait faire quoi dans ce choix quelconque ?
Tu peux commencer par écrire :
Soit une application appartenant à
Cdt
Dernière modification par PlaneteF ; 04/10/2014 à 19h46.
Et donc formellement il faut démontrer que :
Cdt
Dernière modification par PlaneteF ; 04/10/2014 à 20h06.
Et on est reparti pour un tour (voir mon message #18, à la fin)
C'est ce qu'on appelle le mouvement perpétuel
Bon allez, pour faire avancer le schmilblick :
Jujulive, je te propose de prendre un exemple concret et de voir ce qui se passe.
Prenons . Soit tel que : et
A partir de là je te propose de faire un schéma ... OK, c'est fait ?! ...
Maintenant quel est l'unique antécédent de par ?
N.B. : Tu dois donc donner comme réponse un ensemble qui soit une partie de .
Cdt
Dernière modification par PlaneteF ; 04/10/2014 à 20h41.
Bonsoir,
Merci pour vos indications.
Je viens de comprendre un point qui m'échappait : le fait de raisonner via une application (ici f) et non avec un élément (mon y). Je ne savais pas que l'on pouvait partir de cela.
Pour répondre à ta question PlaneteF, je pense qu'il s'agit de A. Dans l'énoncé, A est une partie de E, donc A est inclus dans E. A est l'unique antécédent de f alors...
Je continue à chercher pour la preuve.
Cordialement
Manifestement tu ne perçois toujours pas ce qui se passe ... Où vois-tu la mention de dans l'exemple que je te propose
Cdt
Dernière modification par PlaneteF ; 04/10/2014 à 21h14.
Je re-tente :
Je dirais {a},{b},{c},{d},{e},{a,b},{a,c },{a,d}...,{a,b,c}...}
Cordialement
Je tente une nouvelle preuve :
Soit f une application appartenant à F(E, {0,1})
On sait que :
Il existe A appartenant à P(E) tel que PHIA = phiA
De plus :
phiA appartient à F(E,{0,1}), comme f
D'où phiA = f (là je ne sais pas si lorsque deux fonctions appartiennent à la m^me application, on puisse parler d'égalité)
Par conséquent, phiA = PHIA = f
Cordialement
Je tente une nouvelle preuve :
Soit f une application appartenant à F(E, {0,1})
On sait que :
Il existe A appartenant à P(E) tel que PHIA = phiA
De plus :
phiA appartient à F(E,{0,1}), comme f
D'où phiA = f (là je ne sais pas si lorsque deux fonctions appartiennent à la m^me application, on puisse parler d'égalité)
Par conséquent, phiA = PHIA = f
Dernière modification par PlaneteF ; 04/10/2014 à 21h32.
ça veut tout dire...
Je vais aller dans le sens de ce que te disais gg0 précédemment, il y a quelque chose de désemparant dans ce que tu écris, c'est que ce n'est même pas faux, auquel cas on pourrait te corriger, mais le problème c'est que ça ne veut rien dire. Le problème c'est que tu n'as pas assimilé les concepts mathématiques nécessaires pour résoudre l'ensemble de cet exercice.
Cdt
Dernière modification par PlaneteF ; 04/10/2014 à 21h40.
Et le souci c'est que je ne comprends pas pourquoi cela ne veux rien dire. Je ne vois pas ce qui choque...
Quelle est la réponse au problème concret que tu m'as posé ?
Cordialement
D'accord,
Mais à quoi correspond l'antécédent lorsque f(élément) = 0
Cordialement
L'antécédent de f par PHI, lorsque un élément de E, a, tel que f(a) = 0 n'a pas d'antécédent.
Il y a quelque chose qui m'échappe avec ce 0. Si f(machin) = 0 alors qu'est-ce que l'on peut dire dessus ?
Cordialement
Je ne saisis pas bien ta question
N.B. : Ne pas confondre antécédent par et antécédent par
Cdt
Dernière modification par PlaneteF ; 04/10/2014 à 22h18.
Afin que tu comprennes bien ce qu'il se passe, on a :
puisque . Et du coup c'est bien égal à
puisque . Et du coup c'est bien égal à
puisque . Et du coup c'est bien égal à
puisque . Et du coup c'est bien égal à
puisque . Et du coup c'est bien égal à
Ainsi on a bien
Donc :
Cdt
Dernière modification par PlaneteF ; 04/10/2014 à 22h43.
Bonjour,
Merci pour toutes ses indications. Je me mélange juste les crayons entre f et PHI. J'ai tout de même tenté une nouvelle preuve (et j'espère ne pas me faire fusiller, car avec toutes ses indications...:b) :
Soit f appartenant à F(E,{0,1})
Soit x appartenant à E, il existe A appartenant à P(E) :
---Si x appartient à A :
PHIA(x) = phiA(x) = 1 car x appartient à A
De même f(x) = 1
-- Si x n'appartient pas à A :
PHIA(x) = phiA(x) = 0 car x n’appartient pas à A
De même f(x) = 0
On a donc bien dans tous les cas :
Pour tout x appartent à E, PHIA(x) = phiA(x) = f(x)
Donc PHIA = phiA = f
D'où PHI est surjective
Cordialement
PS : je ne sais tjrs pas si pour ma question 1.b), le phiAdeltaB est juste, malgré sa longueur
Dernière modification par PlaneteF ; 05/10/2014 à 13h58.
Et bien on a x qui appartient à E, et dans E il y a une partie qui s'appelle A.
Et donc quand x appartient à A, on en déduit ce que j'ai écrit.
Cordialement
Tu n'y es pas du tout, mais alors pas du tout !
Tu dois être capable de dire : "Un antécédent de par est ..." --> Et là tu donnes l'expression d'un ensemble qui dépend de .
Où donnes-tu une telle expression ?
Cdt
Dernière modification par PlaneteF ; 05/10/2014 à 14h10.
Mais à la fin j'obtiens :
PHIA = phiA = f
L'ensemble qui dépend de f est A qui est une partie de E.
Cordialement
Je l'ai déterminer en supposant qu'il existe...
Cordialement
Soit f appartenant à F(E,{0,1})
Posons :
a appartenant à E tel que f(a) = 1
b appartenant à E tel que f(b) = 0
L'unique antécédent de f par PHI est a puisque {a} est inclus dans P(E) :
D'où PHI({a}) = phi{a} = f
Cordialement
Et que se passe t-il s'il n'existe pas ? ... Et s'il existe, quid du cas où il y en d'autres qui remplissent cette condition ?
Je ne vois pas pourquoi tu poses ce puisque tu ne l'utilises même pas.
Cdt
Dernière modification par PlaneteF ; 05/10/2014 à 14h43.
je sèche...