Exact, mais les stats en question ne porte que sur les diagnostics antérieurs, et serviront c'est exact à faire un calcul probabiliste ; autrement dit, la statistique n'analyse en aucun cas le futur.
Une logorrhée de termes incompris et mis bout à bout ne font pas une phrase correcte,encore moins une pensée cohérente.Bonjour,
Je rejoins Minushabens
Les probabilités constituent un chapitre des mathématiques parfaitement cerné, certes mal connu et au programme depuis quelques années.
Ce chapitre sert de base indispensable à différentes spécialités, la métrologie, l'astronomie, et ... la statistique.
Selon l'expression d'un membre qui avait compris les choses, tout problème de statistique pourrait faire l'objet d'un exercice dans un cours de probabilités.
Il ne faut pas confondre "probabilité" avec "prévision" ou "proportion".
Il s'avère que on lit beaucoup de questions de fond en relation avec ce chapitre des maths. Pour faire simple, en matière de probabilité, il y a à peu près 3 mots clé, le Hasard, la loi des grands nombres et le TCL.
J'ai mis volontairement un H majuscule, puisqu'il n'y a qu'un seul hasard. Le Pr. Jacques Harthong lui a réservé le chapitre premier à son livre "Probalités et statistiques"
Bonne journée.
Quant au programme scolaire des stats et des probas, il est manifeste que vous racontez n'importe quoi et que manifestement, vous ignorez le sens même de l'expression calcul de probabilités ou calcul statistique.
J'adore la phrase : Pour faire simple en matière de probabilité(s), il y a "à peu près" ... ben oui, à peu près ... faut probablement faire un calcul ... euuhhh statistique ou probabiliste ??? Mais c'est pas grave, on fait simple ... ou simplet !
Bonsoir pelkin,
Les statistiques sont une application, comme d'autres, des notions fondamentales des probabilités.
En d'autres termes si ces notions des probabilités n'existaient et n'étaient pas parfaitement rigoureuses, les statistiques n'existeraient pas, sauf pour les mystiques, "prévisionnistes" etc.
si tu veux dire qu'une "donnée" est nécessairement liée à un événement passé ça me semble une évidence. Donc la statistique utilise des connaissances venant d'observations passées mais peut fournir des prédictions qui concernent une situation hypothétique, qu'on peut si l'on veut situer dans le futur (ou dans un monde hypothétique, pourquoi pas?). En particulier, utiliser des données de résultats sportifs pour prédire l'issue d'une rencontre, quel que soit l'intérêt de la chose, relève à mon avis de la statistique.
Les statistiques:
je connais mal ce sujet mais j'essaie quand même. Ce qui est sur est que je ne serais exhaustif.
Le terme peut désigner un ensemble structuré de données quantifiées.
On peut utiliser ces statistiques pour construire des modèles probabilistes.
On utilise la théorie des statistiques pour tester des modèles probabilistes.
Il y a la théorie de la décision: comment, dans un monde incertain, prendre une décision qui ne soit pas plus mauvaise qu'une autre, compte tenu de ce qu'on sait.
Ces derniers points ne sont pas forcément élémentaire, et il y a toujours un processus de modélisation à l'interface des probabilités et des statistiques, même si celui-ci est parfois si succin qu'on ne le perçoit guère.
Bonsoir,Les statistiques:
je connais mal ce sujet mais j'essaie quand même. Ce qui est sur est que je ne serais exhaustif.
Le terme peut désigner un ensemble structuré de données quantifiées.
On peut utiliser ces statistiques pour construire des modèles probabilistes.
On utilise la théorie des statistiques pour tester des modèles probabilistes.
Il y a la théorie de la décision: comment, dans un monde incertain, prendre une décision qui ne soit pas plus mauvaise qu'une autre, compte tenu de ce qu'on sait.
Ces derniers points ne sont pas forcément élémentaire, et il y a toujours un processus de modélisation à l'interface des probabilités et des statistiques, même si celui-ci est parfois si succin qu'on ne le perçoit guère.
A mon avis, tu fais une confusion majeure. La théorie des probabilités constitue un chapitre des mathématiques. Le qualificatif "théorie" vient du fait que tout est basé sur un axiome fondamental, le postulat de la moyenne.
Concernant les statistiques, il s'agit d'applications résultant directement de cette théorie des probabilités. Il y a d'autres applications qui découlent de cette théorie des probabilités.
Il ne faut en aucun cas confondre "probabilité" et "prévisions".
Salut les philosophes et les autres,
vous avez mon admiration sans faille.
Mais , dans ce fil de ce forum, il n'y a que 2 missions : répondre sur la forme du calcul du PP "replicateur" et ne pas inciter au jeu payant. Alors, qu'en est il du calcul ? peut on pointer sur le résultat ? et en rediscuter si vous voulez
Bonjour,
Dans le forum mathématique : Non !
Pour faire des probabilité, il faudrait un univers, les probabilités d'un certain nombre d'événements (élémentaires ou non), qui permettent, en appliquant les théorèmes usuels des probabilité de calculer la probabilité d'un événement non présent dans la liste initiale : ces conditions ne sont pas réunis ici, donc le problème n'est pas mathématique (ce qui ne veut pas dire inintéressant)
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Bonjour Mediat !
même pas dire quel est le no du bon message réponse ?
La seule bonne réponse mathématique est le message #2
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Je vais revenir à la question initiale:
on connait les résultats de matchs passé, on calcule les probabilités de gain des deux équipes d'un match futur; que vaut ce calcul ?
Pour mieux savoir attendons le résultat du match ! On attend ... l'une des deux équipes à gagné, et en fait on ne peut pas dire grand chose de notre probabilité ...
Par contre, je considère la situation suivante: on s'intéresse aux résultats dans l'année qui vient des matchs d'une division de football. On veut donner la veille un pronostic pour chaque match, déterministe ou probabiliste en utilisant les résultats des matchs passés.
On définira un algorithme, que vaut cet algorithme ?
On peut comparer à la fin de l'année différents algorithmes selon les résultats qu'ils ont donnés.
Si on les utilise pour parier avec des bookmakers (situation plus simple que les jeux par répartition de la FDJ ou du PMU), on peut voir le résultat final des paris.
On peut donc estimer la valeur relative des algorithmes, voir les comparer aux pronostiqueurs humains ...
On peut même voir ce qu'ils auraient donné les années précédentes avant de se lancer dans cette aventure.
Il est vrai que concevoir les algorithmes ne se fera peut-être pas de façon mathématiquement très propre, mais il y a des moyens rigoureux de les évaluer.
Pour prendre un exemple :Bonjour,
Je m'intéresse un peu au statistiques et probabilités, dans le sport notamment. Je m'interroge sur la manière de résoudre le problème suivant :
Equipe [V]--[N]--[D]
A ----> 27 - 33 - 40
B ----> 35 - 15 - 50
Où V = victoire, N = nul, D = défaite.
Nous savons qu'au cours des x matches précédents, l'équipe A a gagné 27% du temps, perdu 40% du temps et fait match nul dans 33% des autres cas.
Si A doit jouer contre B, quelle est la probabilité de victoire de A au cours de ce match :
- Va (victoire de A) = Va*Db / (Va*Db + Vb*Da) = (0.27*0.50)/(0.27*0.5 + 0.35*0.4) = 0.49 = 49%
OU
- Va (victoire de A) = Va*(Nb+Db) / (Va*(Nb+Db) + Vb*(Na+Da)) = 0.27*(0.15+0.5) / (0.27*(0.15+0.5) + 0.35*(0.33+0.4)) = 0.41 = 41 %
J'ai l'impression que ce n'est pas correct comme méthode.
Quelqu'un pourrait-il m'éclairer ? Est-ce P(Va|Db) que j'ai calculé ?
je joue aux échecs et je tourne autour de 1700 Elo.
Admettons que mes derniers résultats soient ceux de l’équipe A.
Je dois rencontrer un adversaire à 2300 Elo dont les derniers résultats sont ceux de l'équipe B.
Ma probabilité de gagner ou de faire nulle est à peu près zéro.
Dans la coupe de France , il n'est pas rare de voir un improbable club passer plusieurs étapes contre toute prévision raisonnable. Aux échecs aussi, il y a de temps en temps une surprise.Pour prendre un exemple :
je joue aux échecs et je tourne autour de 1700 Elo.
Admettons que mes derniers résultats soient ceux de l’équipe A.
Je dois rencontrer un adversaire à 2300 Elo dont les derniers résultats sont ceux de l'équipe B.
Ma probabilité de gagner ou de faire nulle est à peu près zéro.
Pour se faire une idée de ces distributions, il faut les mesurer.
Dans pas mal de cas, les données sont disponibles en ligne ( et en colonnes )