Image de la fac

[invite9399e0b0]

validation des ue une part une
-validation global des ue sur un semestres
-validation global des smestres l'un par rapport à l autre
-validation des examens de rattrapage.

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N'étant pas à la fac, je suis vraiment surpris de lire ça. Ce système est-il très répandu en pratique ? Si oui, ne faut-il pas y voir une des raisons de la mauvaise réputation de l'unviersité?
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Je ne pense pas que le systeme soit aussi repandu, mais bon il va vite montrer des signes de faiblesses.

en premiere année: sur 160 inscrits, au premiers semestres seulement 60 avaient validé leur semestres. A la fin du second semestres, ce chiffre est passé à 92 qui ont validé leur second semestres et par extension leur premier semestre. Maintenant avec le rattrapage, la proportions va sans doute un peu augmenter.
Maintenant le probleme se retrouve en 2eme année, ou cette fois ci les prof se retrouvent (quelque soit la filiere) avec un taux d' echec à la premiere session de quasiment 50%, ce qui est assez enorme quand meme! Au dire de certain, il ferait expres de laisser passer bcp de monde en deuxiemes année pour etre sur de les garder dans l université.

Ensuite pour Magalaye, lorsque j etais en prepa, les trois quart de la classes etaient boursiers, alors arretons les prejugés.
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[invite4e110d30]

Je m'incruste dans la discussion pour donner un peu mon poinde vue (c'est le but de ce forum il paraît !!!). Etant à la fac depuis un an, c'est vrai que je me suis retrouvée confrontée à des stéréotypes assez tenaces du style: rrêter prépa pour aller à la fac? Tu vas gâcher ta vie... La fac c'est pour ceux qui ne savent pas quoi faire. Ils voient de la lumière et ils entrent! Je trouve ses commentaires déplacés et particulièrement débiles (dsl!) surtout quand ils viennent de personnes qui ont eux-mêmes fait leur cursus à la fac...

Ben c'est malheureusement le cas de beaucoup de gens, maintenant si c'est spécifique à la fac, je ne sais pas...

Enfin pourquoi les deux systèmes grandes écoles/fac ne pourraient pas cohabiter? Il faudrait peut-être arrêter de critiquer le côté que l'on neconnaît (qui n'est pas forcément le côté obscur de la force) et essayer de comprendre les personnes qui ont choisi cette voie! Parce qu'au final, le plus important n'est-il pas de réussir, d'avoir une situation, quelquesoit le chemin emprunté? Si tout le monde comprenait ça, je pense qu'il y aurait besoin de beaucoup moins de réformes politiques pour redonner ses lettres de noblesses à la fac!

Une future L2 très heureuse et épanouie dans ses études...

T'as tout à fait raison mais une fois que t'as fini tes études et disons qu tu as fait master+ thèse , tu as un peu les boules de te faire rembarer par des PME de merde en France alors qu'à l'étranger tu à moultes propositions dans des grandes entreprises à des postes de ton niveau (parfois sans même faire la demande toi même).
Moi faudra qu'on m'explique pourquoi des pays économiquement superieur à la France te donne des postes à responsabilités adaptés à ton diplôme alors que la France (ton propre pays qui a en parti payé ta formation) te considère comme une merde si ya pas marqué ingénieur sur ton CV.

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Ensuite pour Magalaye, lorsque j etais en prepa, les trois quart de la classes etaient boursiers, alors arretons les prejugés.

Je parlais des grandes écoles pas des prépas

[erik]

J'ai dis que la majorité des gens des grandes écoles sont issus de familles aisées, personne peut dire le contraire.

Ce n'est pas faux, mais c'est également un peu le cas pour la fac (même si cela est moins flagrant en fac).
Le plus simple est de laisser parler les chiffres :
Origine sociale élèves grandes écoles/université

[invite4e110d30]

Ce n'est pas faux, mais c'est également un peu le cas pour la fac (même si cela est moins flagrant en fac).
Le plus simple est de laisser parler les chiffres :
Origine sociale élèves grandes écoles/université

merci, enfin quelqu'un qui me croit

[invitea77054e9]

Salut,

Etant à la fac depuis un an, c'est vrai que je me suis retrouvée confrontée à des stéréotypes assez tenaces du style: rrêter prépa pour aller à la fac? Tu vas gâcher ta vie... La fac c'est pour ceux qui ne savent pas quoi faire.

Désolé d'insister, mais la plupart des étudiants de premier cycle n'ont strictement aucune idée de ce qu'ils vont faire à moyen ou long terme. Pire encore, ils ne connaissent que vaguement les débouchés d'une Licence. Evidemment, tous ne sont pas comme ça.

Ensuite, la sélection existe il ne faut pas se leurrer. 180 inscrits en septembre, 49 au dernier cours en amphi, 80 à passer les partiels et moins de 50 qui auront leur semestre... Avec le LMD et le système de compensation, une soixantaine auront leur année, si ce n'est pas de la sélection ça

J'appelle ceci de la sélection passive, on laisse les étudiants se vautrer. On peut aussi faire jouer les chiffres dans l'autre sens. Sur ma promo de L3 de cette année, environ 70 étudiants ont obtenu leur Licence de Maths, dont 50 par compensation !!!

Enfin pourquoi les deux systèmes grandes écoles/fac ne pourraient pas cohabiter?

Que fais-tu du problème de la reconnaissance internationale de la formation française?

Parce qu'au final, le plus important n'est-il pas de réussir, d'avoir une situation, quelquesoit le chemin emprunté?

Là, tu parles de ceux qui réussisent. Que fais-tu de la majorité restante?

[Gwyddon]

merci, enfin quelqu'un qui me croit

Rahhh...

Allez vas-y, fait nous ta victime..


Ce que j'essayais de faire passer c'est l'idée que bien qu'une grande majorité des élèves de prépa/grandes écoles soient issus de milieux favorisés, cela ne fermait pas complètement la porte pour autant...

[invite31de30ca]

Que fais-tu du problème de la reconnaissance internationale de la formation française?


Là, tu parles de ceux qui réussisent. Que fais-tu de la majorité restante?

Quand tu dis ça, tu pars du principe que les deux formation ne sont pas équivalentes... La formation française, je ne voudrais pas cracher dansla soupe, mais elle n'est pas super super. La plupart des chercheurs prennent leurs jambes à leur cou. Beaucoup d'ingéniurs choisissent de quitter le pays pour prétendre à un salaire qu'ils trouvent pus en accord avec leur niveau de diplôme... En bref, la reconnaissance internationale du diplôme je me dmande ce qu'elle sera dans 10 ans!

Pour ta deuxième question, la majorité qui rate dans un des deux systèmes se retrouve dans l'autre. Et si ce n'est pas le cas, elle choisit une formation plus en accord avec ses attentes. Bien sûr, c'est un peu résumé mais ne croit pas que si l'on rate d'un côté c'est la fin du monde!

[invite0f5c0a62]

"La formation française, je ne voudrais pas cracher dansla soupe, mais elle n'est pas super super. La plupart des chercheurs prennent leurs jambes à leur cou. Beaucoup d'ingéniurs choisissent de quitter le pays pour prétendre à un salaire qu'ils trouvent pus en accord avec leur niveau de diplôme... En bref, la reconnaissance internationale du diplôme je me dmande ce qu'elle sera dans 10 ans!"

C'est contradictoire ce que tu dis si un bon nombre de chercheurs se barrent c'est qu'ils sont demandés parce qu'ils sont bons et donc ont été bien formé : c'est plutôt positif. c'est plus la reconnaissance française de ses propres diplomés qui laisse à désirer

[invite31de30ca]

Oui c'est plus de la reconnaissance française dont je parlais...Désolé!

[invite4e110d30]

Quand tu dis ça, tu pars du principe que les deux formation ne sont pas équivalentes... La formation française, je ne voudrais pas cracher dansla soupe, mais elle n'est pas super super. La plupart des chercheurs prennent leurs jambes à leur cou. Beaucoup d'ingéniurs choisissent de quitter le pays pour prétendre à un salaire qu'ils trouvent pus en accord avec leur niveau de diplôme... En bref, la reconnaissance internationale du diplôme je me dmande ce qu'elle sera dans 10 ans!

C'est pas une question de valeur de diplôme, c'est juste que la france se dégrade niveau recherche et developement, alors les gens ne trouvant pas de travail en france se font embaucher dans des pays plus competitif à ce niveaux, c'est un problème de politique avant tout. Les francais diplômés de france et bon sont très appréciés ailleurs qu'en france donc l'enseignement est pas si nul.

Pour ta deuxième question, la majorité qui rate dans un des deux systèmes se retrouve dans l'autre. Et si ce n'est pas le cas, elle choisit une formation plus en accord avec ses attentes. Bien sûr, c'est un peu résumé mais ne croit pas que si l'on rate d'un côté c'est la fin du monde!

J'ai pas bien compris, tu dis que si par exemple on rate la fac on peut aller en école d'ingé?

[invite3d0e9613]

Je parlais des grandes écoles pas des prépas

Et les étudiants des grandes écoles, tu crois qu'ils viennent d'où, en majorité ?

La plupart des chercheurs prennent leurs jambes à leur cou. Beaucoup d'ingéniurs choisissent de quitter le pays pour prétendre à un salaire qu'ils trouvent pus en accord avec leur niveau de diplôme...

Les francais diplômés de france et bon sont très appréciés ailleurs qu'en france donc l'enseignement est pas si nul.

Les ingénieurs ne sont quand même pas miséreux du point de vue de leur salaire, contrairement aux chercheurs. Mais quelque chose m'étonne : les universités françaises sont mal classées dans les palmarès (peut-être bidons) et les grandes écoles sont quasiment inconnues. Et pourtant, la situation des chercheurs et des ingénieurs serait nettement meilleure à l'étranger ?

la majorité qui rate dans un des deux systèmes se retrouve dans l'autre. Et si ce n'est pas le cas, elle choisit une formation plus en accord avec ses attentes.

Passer de prépa à fac ça se fait, passer de fac à prépa ça ne se fait pas, passer de fac à grande école ça ne se fait pas si on échoue à la fac (mais au contraire si son dossier le permet). Donc si la fac ne convient pas, dur de faire d'autres études. Et même si c'est possible, perdre une ou plusieurs années de sa vie, c'est quand même important.

[invite4e110d30]

Et les étudiants des grandes écoles, tu crois qu'ils viennent d'où, en majorité ?

Je sous entendais les grandes écoles au moins du top 20, pas l'école xyz, désolée si c'etait pas clair.
Et puis les tableau de stat donné avant parle de lui même.

Les ingénieurs ne sont quand même pas miséreux du point de vue de leur salaire, contrairement aux chercheurs. Mais quelque chose m'étonne : les universités françaises sont mal classées dans les palmarès (peut-être bidons) et les grandes écoles sont quasiment inconnues. Et pourtant, la situation des chercheurs et des ingénieurs serait nettement meilleure à l'étranger ?

Aucune idée pour les ingénieurs,tout ce que je sais c'est qu'ailleurs un diplôme d'ingé c'est un équivalent master donc à part peu etre pour quelques cas c'est très loin de la valeur et la réputation que ca a en france.

Pour la recherche si tu n'es pas rentré fonctionnaire ou dans l'industrie alors tu n'as quasiment aucune valeur alors que dans d'autres pays tu peux très bien vivre avec un bon salaire sans avoir ton emplois fixe à vie.

Moi je parle de vécu, dans des pays où on m'offrait des emplois en "or" (pas des coins pommés mais des pays comme allemagne,angleterre,usa), en france tout ce à quoi j'avais droit c'est un ticket pour l'ANPE alors que paradoxalement c'est l'état lui même qui a payé ma thèse.
Je ne connais pas trop ton classement ou sa valeur mais en tout cas un chercheur français pas trop nul ne se verra jamais fermer toutes les portes comme c'est le cas en France.
En France j'avais l'impresion d'être pestiféré et tu viens même à en douter sur ta propre valeur alors que lorsque je suis partie, jai de suite eu l'impression de servir à quelque chose.
Je n'ai personellement jamais cirer de pompe ou autre chose plus vulgaire peu être est ce là l'erreur.
De plus je précise que je ne travaille pas dans un domaine le plus générateur d'emplois et en vogue.