Salut.
Oui j'ai lu tout ca en diagonale (peut importe l'age de ces jumeaux), là deuxième partie de ce que je dis est celle où réside la vraie question:
Ce paradoxe ne découle t'il pas des carrés présent dans toute la relativité que ce soit:
x²+y²+z²-c²t²=0 (si je ne me trompe pas)
et des carrés qui sorte de la transformation de Lorentz pour laquelle je n'ai vu qu'une démonstration purement géométrique prenant la norme de distance.
Or ce qui me chagrine est simplement que x=a n'est pas équivalent à x²=a².
En d'autre terme passer au ² les vitesse provoque la perte de l'information du sens de déplacement de A par rapport à B et ce que je trouve en m'interdisant de prendre une norme (par définition positive) de plus je trouve pas ca dans mon coin donc je me trompe probablement (logique non)
Voila comment j'obtient mon affaire dt'=1/(1-v/c)dt en cassant le nombre de dim de 4 à 2 (j'aimerais que vous me corrigié sur ce qui va pas)
Soit (O,X,t) un axe fesant office de référentiel R
O et M repère chacun un temps dt avant de partir sur leur chrono avant de partir(donc idem dans les deux référentiels)
O allume un laser en direction de M pendant dt.
M un point se déplacant à v(M)/R
(M,X',t') le référentiel centré sur M lié à M
pendant dt par rapport à R, O voit passer (c-v)dt "longueur de lumière" à coté de M notée dl
pendant dt M regarde ce qu'il voit passer à l'aide de son chrono:
c*dt "longueur de lumière" noté dl'
(c-v)dt=dl
cdt=dl'
d'où dl'=[1/(1-v/c)]dl qui marque la compression en longueur.
Meme raisonement en prenant un échantillon de longueur identique avant déplacement, on calcul vis à vis des deux référentiels le temps que ca met pour passer à coté de l'échantillon en mvt.
On obtient, dt'=[1/(1-v/c)]dt
Aussi on remarque dt'²=[1/((1-(v/c))²]dt²=[1/[(1-v²/c²)(1+v²/c²)]]dt² qui fait fortement pensé à dt'²=[1/((1-(v²/c²))]dt². (avec l'identité remarquable due à l'algébrisation)
alors où est ce que je bug (noté que le paradoxe de Langevin renforce mon affaire
merci de bien vouloir répondre
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