Dans mon texte précédent, oubli de la particule de négation (un autre genre de particule)
Envoyé par mandre
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Dans mon texte précédent, oubli de la particule de négation (un autre genre de particule)
Envoyé par mandre...Quand je fais une bobine de fil de cuivre et que je passe un aimant dans ses alentours, sans toucher la bobine, un courant apparaît aux bornes de la bobine. Donc, pour moi, un champ est un quelque chose, physique, pas physique, je m’en tape, mais surtout pas un être mathématique, donc des lettres et/ou chiffres sur un bout de papier...
[QUOTE=mandre]Dans mon texte précédent, oubli de la particule de négation (un autre genre de particule)
Je ne peux qu'adhérer à votre analyse, les physiciens se réfugient dans les mathématiques pour combler la vacuité des représentations physiques des phénomènes, mais LES FORMULES NE SONT PAS LES REALITES OBSERVABLES.Envoyé par mandre...Quand je fais une bobine de fil de cuivre et que je passe un aimant dans ses alentours, sans toucher la bobine, un courant apparaît aux bornes de la bobine. Donc, pour moi, un champ est un quelque chose, physique, pas physique, je m’en tape, mais surtout pas un être mathématique, donc des lettres et/ou chiffres sur un bout de papier...QUOTE]
Donc n'étant pas un pro comme la plupart des membres du forum, je résume ce que j'ai compris :
le potentiel vecteur en électromagnétisme est physiquement assimilable au rotationnel du champ E qui apparait autour de lignes de champs magnétiques dont le flux est variable, J'ai juste ?
Question corollaire : même si les spires d'une bobine couvre totalement son noyau magnétique y' a t'il encore dans l'espace un rotationnel E où n'apparait-il encore qu'aux endroits non couverts par les spires ?
Je ne veux pas relancer un vieux débat, mais je voudrais tout de même présenter brièvement mon poinjt de vueQuand vous faîtes une bobine de fil de cuivre, c'est la réalité. Quand vous essayer d'expliquer ce qui se passe en faisant appel à la notion de champ, c'est un modèle. La physique, c'est des maths, pas la réalité. Pour être plus rigoureux et moins provocateur, la physique est l'application de modèles mathématiques pour essayer de s'approcher de la réalité. Mais à partir du moment où on parle de champ, on parle de maths... Pour reprendre un autre de vos exemples, l'expression de la force de Lorentz est bien q(E+vxB), mais quelle est la réalité de la force de Lorentz ? Ce n'est qu'un modèle physico-mathématique. Je ne vois pas comment on peut définir une force sans faire appel à des maths...Quand je fais une bobine de fil de cuivre et que je passe un aimant dans ses alentours, sans toucher la bobine, un courant apparaît aux bornes de la bobine. Donc, pour moi, un champ est un quelque chose, physique, pas physique
Ecoute, tu dois faire confiance à des milliers de gens (physiciens ou non) qui ont fait exactement la même expérience que toi et en ont déduit/confirmé la loi de Lorentz. Faut savoir aussi se remettre en cause. Tu as du foirer quelque part. Je ne vois pas pourquoi tu aurais fait une bonne expérience et les autres (des milliers) une mauvaise. De plus bouger un conducteur (une forme rigide ) dans un plan perpendiculaire à un champ magnétique uniforme (pas de variation de champ, donc) n'a jamais généré quoique ce soit.Oui, la théorie le dit, mais j’ai réalisé un montage où un conducteur est manœuvré dans un mouvement de va-et-vient dans une zone de champ B stable. Je précise que je le fais mouvoir seulement dans cette zone de champ B stable (de plus, je ne vous ai parlé de mon montage que sous sa forme schématique). Selon la théorie, représentée sous « mille » formes mathématiques, un courant, une DDP, enfin, quelque chose doit se produire concrètement aux bornes du conducteur. Eloignez-vous de la théorie pendant un instant, construisez le montage et réalisez l’expérience et vous allez pouvoir constater avec surprise que dans le cas présenté, aucun, strictement aucun courant ni aucune tension ne surgit aux bornes de ce conducteur ; le néant total ! Certes, vous n’allez pas accepter ce que je vous affirme, ni même vous arrêter à l’idée de réaliser cette manip. Vous allez même très certainement penser que cela est insensé de ma part d’être aussi péremptoire, alors que la théorie dit tout le contraire.
Ne soldez pas grand mère, elle brosse encore.
Si les maths sont un langage, soit elles ne parlent que d'elles-mêmes et nous sommes dans de la "poésie", soit elles parlent d'effets, de phénomènes qui ne sont pas que du langage et nous sommes dans la physique.Envoyé par Coincoin(...) La physique, c'est des maths, pas la réalité. Pour être plus rigoureux et moins provocateur, la physique est l'application de modèles mathématiques pour essayer de s'approcher de la réalité. Mais à partir du moment où on parle de champ, on parle de maths... Pour reprendre un autre de vos exemples, l'expression de la force de Lorentz est bien q(E+vxB), mais quelle est la réalité de la force de Lorentz ? Ce n'est qu'un modèle physico-mathématique. Je ne vois pas comment on peut définir une force sans faire appel à des maths...
Qu'un champ entre comme élément du langage mathématique ne signifie pas que ce qui est ainsi désigné soit mathématique. N'y a-t-il pas des champs au sens purement mathématique et des champs au sens physique c'est-à-dire désignant un certain comportement des choses ?
Quels comportement sont désignés par "champ électromagnétique", par "potentiel vecteur" ? Quelles sont les expériences caractérisitiques de ces objets validant leur existence comme autre chose qu'éléments de langage ?
A quelles expériences concrètes est lié le champ A ?
Il me semble que l'expérience de Aharanov-Bohm légitime qu'on appelle "physique" le champ A puisque des phénomènes ne s'expliquent que par son existence. Et si il y a des explications concurrentes de ces expériences ou si ce champ se légitime avant tout pour des raisons de simplicité théorique, de simplicité "langagière", je suppose que cela est assez simple à savoir.
P.S. : une simulation de l'expérience d'Aharanov-Bohm, http://fisica.udea.edu.co/~mpaez/aharanov/Bohmen.html
Salut
@madre
Si je te demande quelle est la nature d'une pente, tu seras amené à me décrire un tas de trucs...
et je pourrais éventuellement trouver tes explications tout à fait ridicules, chiche ?
Tout est une question de sémantique. Dans le monde scientifique ou de l’enseignement, la réalité des phénomènes physiques n’est appréhendée que par la mathématique. En tant qu’observateurs, nous savons qu’il s’agit d’un outil. Mais puisque cet outil apparaît aux physiciens comme une réalité, laissons leur cette croyance, car de toute façon, c’est uniquement cet outil qui leur permet d’avancer dans leurs recherches et les résultats attestent que cet outil fonctionne efficacement. C’est comme un pilote de ligne qui n’appréhende la réalité de l’espace de vol que par l’instrumentation de bord. S’il croit et persiste à croire que la réalité de l’espace de vol est uniquement celle indiquée par les différents appareils qui figurent sur son tableau de bord, il se dirige de tout façon efficacement que par ces appareils et même, quand je vais dans un avion, je ne veux surtout pas que le pilote quitte les yeux des instruments de bord, pour se distraire à diriger à vue l’appareil dans l’espace aérien, de la manière que les voyageurs, assis derrière lui, l’appréhendent.Envoyé par melchisedecJe ne peux qu'adhérer à votre analyse, les physiciens se réfugient dans les mathématiques pour combler la vacuité des représentations physiques des phénomènes, mais LES FORMULES NE SONT PAS LES REALITES OBSERVABLES.
Je le vois comme ça, car le principe de fonctionnement du bêtatron repose sur cette description, qui est la loi de Faraday.Envoyé par melchisedecDonc n'étant pas un pro comme la plupart des membres du forum, je résume ce que j'ai compris :
le potentiel vecteur en électromagnétisme est physiquement assimilable au rotationnel du champ E qui apparait autour de lignes de champs magnétiques dont le flux est variable, J'ai juste ?
Une variation de flux B de valeur X va créer une variation de champ E de valeur Y. Quelque soit la quantité de fil que vous allez mettre autour de B, la somme de champ E induit sera toujours Y. Les différentes valeurs des unités calculées dans n’importe lequel transformateur le confirment.Envoyé par melchisedecQuestion corollaire : même si les spires d'une bobine couvre totalement son noyau magnétique y' a t'il encore dans l'espace un rotationnel E où n'apparait-il encore qu'aux endroits non couverts par les spires ?
MC
Merci pour nous avoir présenté votre point de vue, que je ne vais pas commenter pour ne pas relancer un vieux débat.Envoyé par CoincoinJe ne veux pas relancer un vieux débat, mais je voudrais tout de même présenter brièvement mon poinjt de vue...
MC.
mais heureusement pour ces imbéciles de physiciens que les génies ignorés comme vous veillent...Envoyé par mandreMais puisque cet outil apparaît aux physiciens comme une réalité, laissons leur cette croyance, car de toute façon, c’est uniquement cet outil qui leur permet d’avancer dans leurs recherches et les résultats attestent que cet outil fonctionne efficacement.
Oui l’ami, j’écoute et je vous réponds que je n’ai pas comme vous une dévotion religieuse envers la science qui m’oblige à croire sans discuter tout ce que les autres affirment. J’ai donc le droit d’éprouver leurs assertions.Envoyé par monnolivEcoute, tu dois faire confiance à des milliers de gens (physiciens ou non) qui ont fait exactement la même expérience que toi et en ont déduit/confirmé la loi de Lorentz.
De toute façon, je n’ai pas abordé l’expérimentation de la même manière que « tout le monde » a faite. Toutes les expérimentations dont vous parlez consistent à faire entrer une barre de métal cylindrique sur rails dans l’espace d’un champ B, selon cette démonstration : . J’ai fait cette même expérience et j’atteste qu’un courant ce manifeste effectivement aux bornes de cette barre. Mais je ne parlais pas de ça. Vous savez bien que la description théorique de l’action de la force de Lorentz en induction EM dit que aussi longtemps qu’un conducteur parcourt un champ b stable, une ddp apparaît aux bornes de ce conducteur. Mais cela n’est pas vrai. La ddp n’apparaît QUE dans le moment précis où la barre entre (l’instant où elle n’est pas dans à l’instant transitoire où elle y entre) dans un champ B stable et non pas DURANT son parcourt dans le champ B stable. C’est justement durant le parcourt de la barre dans le champ que la force de Lorentz est censée se manifester sur les charges de la barre pour créer cette DDP. Mais cela ne se produit pas. Le courant apparaît transitoirement seulement quand la barre entre dans B. Durant son parcourt dans B, il n’y a plus de DDP. Elle disparaît aussitôt après être entrée dans B, même que le conducteur poursuit son mouvement dans B. Cela change complètement le concept de la chose telle qu’elle est acceptée.
Je me suis mis « mille » fois en cause, c’est le pas le plus basique à parcourir dans une découverte. Mais comme je vous l’ai dit plus haut, je n’ai pas conduit l’expérience de la même manière qu’on le fait d’ordinaire. Telle qu’elle est menée d’ordinaire, elle manque tout simplement de rigueur. On se contente de faire rouler une barre, sur deux rails en pente, qui aboutit dans l’espace d’un champ B, souvent d’ailleurs nullement uniforme, car souvent on prend un aimant en fer à cheval dont le champ B, dans toute son étendue, n’a aucune région uniforme, de même densité. J’ai au contraire observé quand, à quel moment, l’action du champ B avait lieu et quand, à quel moment elle n’avait pas lieu. Et ces observations permettent de se rendre compte que le champ B induit un courant dans la barre uniquement à un moment précis : celui où la barre entre dans B et non pas quand elle parcourt le champ B stable ! Or, c’est justement durant son parcourt que la force de Lorentz est censée agir pour expliquer une DDP aux bornes du conducteur.Faut savoir aussi se remettre en cause. Tu as du foirer quelque part. Je ne vois pas pourquoi tu aurais fait une bonne expérience et les autres (des milliers) une mauvaise.
Il semblerait qu’il vous manque des informations, car toutes les descriptions théoriques qui de l’induction EM par la force de Lorentz figurent dans tout bouquin de physique est soutenue par un dessin universel composé de deux rails sur lesquels glisse une barre transversale, qui parcourt un champ B stable et uniforme perpendiculaire à cette barre. Vous n’allez tout de même pas me dire que vous n’êtes pas « au courant » de ça ?De plus bouger un conducteur (une forme rigide ) dans un plan perpendiculaire à un champ magnétique uniforme (pas de variation de champ, donc) n'a jamais généré quoique ce soit.
MC.
Sans avoir votre compétence j'ai essayé de faire tourner un disque de cuivre dans un champ magnétique engendré par un disque de ferrite un peu plus grand que lui et totalement parallèle et il n'y a effectivement aucun phénomène de freinage électromagnétique ni de lévitation (sous l'effet des forces de foucault) Par contre il y a freinage et lévitation dès que le disque de cuivre n'est pas totalement recouvert par le disque de ferrite.Envoyé par mandreJe me suis mis « mille » fois en cause, c’est le pas le plus basique à parcourir dans une découverte. Mais comme je vous l’ai dit plus haut, je n’ai pas conduit l’expérience de la même manière qu’on le fait d’ordinaire. Telle qu’elle est menée d’ordinaire, elle manque tout simplement de rigueur. On se contente de faire rouler une barre, sur deux rails en pente, qui aboutit dans l’espace d’un champ B, souvent d’ailleurs nullement uniforme, car souvent on prend un aimant en fer à cheval dont le champ B, dans toute son étendue, n’a aucune région uniforme, de même densité. J’ai au contraire observé quand, à quel moment, l’action du champ B avait lieu et quand, à quel moment elle n’avait pas lieu. Et ces observations permettent de se rendre compte que le champ B induit un courant dans la barre uniquement à un moment précis : celui où la barre entre dans B et non pas quand elle parcourt le champ B stable ! Or, c’est justement durant son parcourt que la force de Lorentz est censée agir pour expliquer une DDP aux bornes du conducteur.
MC.
Prenez un transfo torique et placez-y au milieu un petit objet conducteur comme une vis et appliquez une impulsion brève de quelques ampères dans la bobine, je pense qu'en voyant balader (et parfois s'envoler) la vis vous verrez qu'effectivement le rot E est bien physiqueEnvoyé par mandreTout est une question de sémantique. Dans le monde scientifique ou de l’enseignement, la réalité des phénomènes physiques n’est appréhendée que par la mathématique. En tant qu’observateurs, nous savons qu’il s’agit d’un outil. Mais puisque cet outil apparaît aux physiciens comme une réalité, laissons leur cette croyance, car de toute façon, c’est uniquement cet outil qui leur permet d’avancer dans leurs recherches et les résultats attestent que cet outil fonctionne efficacement. C’est comme un pilote de ligne qui n’appréhende la réalité de l’espace de vol que par l’instrumentation de bord. S’il croit et persiste à croire que la réalité de l’espace de vol est uniquement celle indiquée par les différents appareils qui figurent sur son tableau de bord, il se dirige de tout façon efficacement que par ces appareils et même, quand je vais dans un avion, je ne veux surtout pas que le pilote quitte les yeux des instruments de bord, pour se distraire à diriger à vue l’appareil dans l’espace aérien, de la manière que les voyageurs, assis derrière lui, l’appréhendent.
Je le vois comme ça, car le principe de fonctionnement du bêtatron repose sur cette description, qui est la loi de Faraday.
Une variation de flux B de valeur X va créer une variation de champ E de valeur Y. Quelque soit la quantité de fil que vous allez mettre autour de B, la somme de champ E induit sera toujours Y. Les différentes valeurs des unités calculées dans n’importe lequel transformateur le confirment.
MC
Alleluia, tu dois aussi éprouver que la lune n'existe pas alors, puisque tu n'as pas mis le pied dessus. Bref, si des milliers de personnes prouvent un fait par des voies différentes, je suis quand même porté à les croire si mes moyens ne me permettent pas de répéter l'expérience (je ne parle pas de la tienne).Oui l’ami, j’écoute et je vous réponds que je n’ai pas comme vous une dévotion religieuse envers la science qui m’oblige à croire sans discuter tout ce que les autres affirment. J’ai donc le droit d’éprouver leurs assertions.
Tu devrais poster au moins le schéma de ton expérience pour qu'on puisse discuter. J'y vois deux effets, le premier est dû à un champ magnétique variable (quand le conducteur entre et sort du champ), ça c'est bien mesurable (, est le flux du champ magnétique). Le deuxième, que tu ne mesures pas à mon avis, quand le conducteur se déplace dans le champ uniforme (F = qv X B), ce qui (si ta barre est bien orientée) crée une force sur les e- de la barre qui tend à les concentrer à un bout de celle-ci et crée une DDP, mais cette DDP est très faible à mon avis, c'est pourquoi tu ne la mesure pas.De toute façon, je n’ai pas abordé l’expérimentation de la même manière que « tout le monde » a faite. Toutes les expérimentations dont vous parlez consistent à faire entrer une barre de métal cylindrique sur rails dans l’espace d’un champ B, selon cette démonstration : . J’ai fait cette même expérience et j’atteste qu’un courant ce manifeste effectivement aux bornes de cette barre. Mais je ne parlais pas de ça. Vous savez bien que la description théorique de l’action de la force de Lorentz en induction EM dit que aussi longtemps qu’un conducteur parcourt un champ b stable, une ddp apparaît aux bornes de ce conducteur. Mais cela n’est pas vrai. La ddp n’apparaît QUE dans le moment précis où la barre entre (l’instant où elle n’est pas dans à l’instant transitoire où elle y entre) dans un champ B stable et non pas DURANT son parcourt dans le champ B stable. C’est justement durant le parcourt de la barre dans le champ que la force de Lorentz est censée se manifester sur les charges de la barre pour créer cette DDP. Mais cela ne se produit pas. Le courant apparaît transitoirement seulement quand la barre entre dans B. Durant son parcourt dans B, il n’y a plus de DDP. Elle disparaît aussitôt après être entrée dans B, même que le conducteur poursuit son mouvement dans B. Cela change complètement le concept de la chose telle qu’elle est acceptée.
Idem, cette DDP doit être très faible, tu n'as pas le matériel adéquat pour la mesurer. Ou alors il faut que tu augmentes la vitesse de la barre....que la force de Lorentz est censée agir pour expliquer une DDP aux bornes du conducteur.
J'avoue que je ne pensais pas à la vitesse de la barre (qui entraîne les électrons de celle-ci) mais bien à la vitesse des électrons quand il y a un courant électrique dans la barre.Il semblerait qu’il vous manque des informations, car toutes les descriptions théoriques qui de l’induction EM par la force de Lorentz figurent dans tout bouquin de physique est soutenue par un dessin universel composé de deux rails sur lesquels glisse une barre transversale, qui parcourt un champ B stable et uniforme perpendiculaire à cette barre. Vous n’allez tout de même pas me dire que vous n’êtes pas « au courant » de ça ?
Bref, je pense que l'une des deux DDP () est beaucoup plus grande que l'autre.
Ne soldez pas grand mère, elle brosse encore.
Les physiciens n'ont pas la prétention d'expliquer LA Réalité mais simplement d'établir des liens entre des phénomènes apparemment différents et si possible de prédire de nouvelles relations entre ces phénomènes. Nous ne sommes plus au temps d'Aristote, où les sciences reposaient sur une approche essentiellement spéculative! Tu parles d'une expérience mais tu ne donnes pas de résultats concrets. Comment as tu réalisé cette manip? dans quelles conditions? quels sont erreurs de tes résultats (si jamais tu as fait des mesures)? etc.Envoyé par mandreTout cela réside dans la force des théories qui, dans l’esprit des physiciens et sur un aspect général, a plus de valeur que toute réalité. Par la répétition, la théorie finit par devenir une évidence qui ne se démontre plus et dont sa valeur ne repose que sur l’existence des mots avec laquelle est énoncée et non par sur les raisonnement des idées qu’elles évoque.
Le raisonnement scientifique s'appuie sur une logique mathématique. Par conséquent les explications scientifiques empruntent donc nécessairement un langage mathématique. Peut-être as tu cette impression qu'il est possible d'expliquer sans mathématiques par les lectures d'ouvrages de vulgarisation. Mais à un moment ou à un autre une comprehénsion approfondie ne peut éviter se plonger dans des mathématiques. D'ailleurs tu parles de "force", de "vitesse" ce qui sous entend implicitement la notion mathématique de vecteurs! Ces notions ne sont pas du tout a priori évidente et ont mis plusieurs siècles avant d'être clarifiées! Pour autant, le travail du physicien ne se réduit pas à faire des calculs mais aussi à s'interroger sur les fondements de ses modèles et la validité des hypothèses sous jacentes...
Votre comparaison est grotesque, car volontairement moqueuse ; c'est ce qui d'ailleurs la rend grotesque. Il ne faut nécessairement mettre les pieds sur la Lune pour constater sa présence, car lever le nez suffit.Alleluia, tu dois aussi éprouver que la lune n'existe pas alors, puisque tu n'as pas mis le pied dessus.
[QUOTE]Bref, si des milliers de personnes prouvent un fait par des voies différentes, je suis quand même porté à les croire si mes moyens ne me permettent pas de répéter l'expérience[QUOTE]
Ce que vous vous efforcez donc à dire est que le démenti et l'erreur d'interprétation n’existent jamais en science. Tout ce qui a été dit et fait est donc scellé pour l'éternité ?
Le voici en version achevée (photo jointe). Je ne vais pas en parler maintenant, car c'est sa deuxième version, mais un centre de recherches en France (j'habite au Brésil) m'a suggéré de le rendre plus aisément reproductible. Aujourd'hui, j'ai quasi terminé sa troisième version, composée de deux transformateurs "E I" dépourvus de leur "I", montés noyaux face à face avec deux cales de 6,5 mm pour créer l'entrefer entre noyaux. Un bobinage de 200 spires en forme de cadre dont une largeur seule est exposée dans le champ B, en guise d'une barre, moins démonstrative dans les mesures. Je suis aussi en train de refaçonner la descriptions de mes manipulations et mes observations pour exposer cela sur un site en trois langues (Français, Anglais et Portugais). je vous annoncerai le lien en temps voulu.Tu devrais poster au moins le schéma de ton expérience pour qu'on puisse discuter.
Vos descriptions démontrent que vos connaissances de l'induction EM par la force de Lorentz manquent de souvenirs précis et cela me limite pour vous répondre. Je vous conseille de revoir en détail le sujet pour en parler efficacement. Vous mélangez les situations, car dans la description officielle du modèle de cette induction, telle qu'on la voit dans les ouvrages de physique, elle se rapporte au moment où le conducteur traverse le champ B et non pas le moment transitoire quand ce dernier entre dans B. Si c'était le cas, le dernier cité, jamais je n'aurais émis la moindre contradiction, car dans les faits l'induction n'a lieu QUE dans le moment précis où le conducteur entre dans B et non pas quand il se déplace dans B. Par contre, la description officielle persiste à dire que cette induction bien visible dont vous parlez est celle qui apparaît quand le conducteur parcourt le champ B. C'est ce que je conteste démonstrativement.J'y vois deux effets, le premier est dû à un champ magnétique variable (quand le conducteur entre et sort du champ), ça c'est bien mesurable (, est le flux du champ magnétique). Le deuxième, que tu ne mesures pas à mon avis, quand le conducteur se déplace dans le champ uniforme (F = qv X B), ce qui (si ta barre est bien orientée) crée une force sur les e- de la barre qui tend à les concentrer à un bout de celle-ci et crée une DDP, mais cette DDP est très faible à mon avis, c'est pourquoi tu ne la mesure pas.
Ici, tout un chapitre doit être rédigé, et c'est la meilleure partie de mon exposé que je réserve sur le site en cours de construction.J'avoue que je ne pensais pas à la vitesse de la barre (qui entraîne les électrons de celle-ci) mais bien à la vitesse des électrons quand il y a un courant électrique dans la barre.
Dans la description officielle, il n'y a pas deux mais une seule tension induite, mais démontrée par deux calculs théoriques différents : El = vBl (force de Lorentz) et la loi de Faraday, que je ne sais pas écrire ici comme vous le faites plus haut. Tout bouquin de physique explique que ces deux calculs aboutissent au même résultat. Cette assertion n'est pas logique, car si on peut calculer la DDP par deux calculs différents, mettant en jeu deux principes d'induction différents, le calcul doit aboutir à une SOMME et nous à un résultat déterminé par un choix préférentiel d'une des formules, puisqu'elles sont censées coexister pour justifier les deux calculs.Bref, je pense que l'une des deux DDP () est beaucoup plus grande que l'autre.
MC.
Là tu te contredis. De plus si tu fais uniquement confiance à ce que tu vois, tu pourrais dire que le soleil tourne autour de la terre.Il ne faut nécessairement mettre les pieds sur la Lune pour constater sa présence, car lever le nez suffit.
Je crois quand même me souvenir que dans ce cas d'école, il y a un courant dans la barre, ce qui n'est pas le cas dans ton expérience, d'après tes explications.Vous mélangez les situations, car dans la description officielle du modèle de cette induction, telle qu'on la voit dans les ouvrages de physique, elle se rapporte au moment où le conducteur traverse le champ B et non pas le moment transitoire quand ce dernier entre dans B.
Commentaire sur le schéma:
Qu'est-ce que tu appelles barre dans ce schéma ? Je n'en vois pas.
Entre les deux plaques transparentes, il y a une sorte de bobine. Est-ce ça que tu appelles barre ?
Ne soldez pas grand mère, elle brosse encore.
Mon souci majeur et justement de demeurer cohérent dans mes idées. Si vous ne cernez pas cette cohérence, c'est qu'il vous manque des éléments pour juger ou alors vous interpréter mes propos à votre guise, mais surtout vous me lisez en diagonale, comme vous le démontrez plus bas, dans le dernier quote.Là tu te contredis.
Dites, épargnez-moi ce genre de remarques sans subtance, auxquelles je me refuses davantage de répondre.De plus si tu fais uniquement confiance à ce que tu vois, tu pourrais dire que le soleil tourne autour de la terre.
Si vous le croyez, je ne veux surtout pas vous priver de ce délectable plaisir.Je crois quand même me souvenir que dans ce cas d'école, il y a un courant dans la barre, ce qui n'est pas le cas dans ton expérience, d'après tes explications.
Dans deux messages antérieurs, j'ai déjà été très précis sur la question que vous posez.Commentaire sur le schéma:
Qu'est-ce que tu appelles barre dans ce schéma ? Je n'en vois pas.
Entre les deux plaques transparentes, il y a une sorte de bobine. Est-ce ça que tu appelles barre ?
MC.
Bon, si c'est comme ça que tu le prends, reste avec ton brol et ne demande plus d'aide.
Pour ma part, je t'ai apporté quelques éléments de réponse que tu sembles dénigrer.
Encore un génie incompris. Qu'il le reste.
Ne soldez pas grand mère, elle brosse encore.