Euh... on en est arrivé au point où Ludwig soutient Stefjm dans un sujet initié MarioB ? C'est la fête, ici !
T'es pas observateur.
Probablement.
Tu veux que j'en ramène d'autres?
Je reconnais que j'ai pas mal phagocyté le post initial de MarioB.
Je n'avais jamais eu de fil aussi long...
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
L'équation de Dirac n'a pas de "pôle". Un pôle est un certain type de singularité d'une fonction analytique.
J'arrive peut-être à deviner qu'avec votre "autre moitié" et ce que vous appelez le "pôle symétrique", on tombe sur l'équation dite de Klein-Gordon (en fait trouvée antérieurement par Schrödinger lui-même) mais remisée pour les raisons que l'on sait (et notamment : du second ordre en temps).
En MécaQu, on ne peut pas se passer des complexes, quelle que soit la version (relativiste ou non). Le "i" ne "traîne" pas dans l'équation, il est fondamental (relire la stupeur de Schrödinger lui-même !)
Et les équations sont du premier ordre en temps.
Bien que les nombres complexes n'ont pas de réalité physique… Comme chacun sait
Je crois, (sous controle de Ludwig) , qu'il s'agit ici de pôles de fonction de transfert en formalisme de Laplace.
Dans ce cadre, l'équation de Dirac présente bien un seul pôle complexe.
Possible. Il faudrait que je regarde de plus près.J'arrive peut-être à deviner qu'avec votre "autre moitié" et ce que vous appelez le "pôle symétrique", on tombe sur l'équation dite de Klein-Gordon (en fait trouvée antérieurement par Schrödinger lui-même) mais remisée pour les raisons que l'on sait (et notamment : du second ordre en temps).
Je suis largement hors de mon domaine de compétence. (Je découvre l'équation de Klein-Gordon.)
Je laisse Ludwig voir.
J'avais mis "traine" pour signaler le caractère non physique du nombre imaginaire. Guerom00 lit dans mes pensées...
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Bonjour,
Bien sur que c'est une singularité, pas besoin des résidus pour démontrer. Mais tout de même si tu décris un système physique avec des équations tu découvres que cette ou ces singularités sont fabriquées à l'aide de combinaisons des caractéristiques intrinsèques du dit système et dans la foulé, ceci nous renseigne sur la façon dont le système se comportera si on lui applique une énergie sous forme d'impulsion ou autre.
Cordialement
Ludwig
1) Je sais ce qu'est un point singulier pour une équation différentielle dont les coefficients dépendent de la variable.
2) Merci de m'expliquer ce qu'est la "singularité" de l'équation de Dirac (qui est une EDP du premier ordre, et à coefficients constants dans le cas d'un électron libre).
Je ne veux pas mourir idiot.
3) Que diable viennent faire ici les résidus ? D'ailleurs, les résidus de qui, de quoi ???
En transformée de Laplace, un pôle annule le dénominateur de la fonction de transfert.
Ex : Eq diff du premier ordre :
en FT :
Le pôle est en .
C'est une singularité de la fonction de transfert. (fonction méromorphe)
D'où les résidus dont parlait Ludwig. Non?
Pour l'équation de Dirac, je laisse faire Ludwig.
Cordialement.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Tout ça, je le sais bien, merci.En transformée de Laplace, un pôle annule le dénominateur de la fonction de transfert.
Ex : Eq diff du premier ordre :
en FT :
Le pôle est en .
C'est une singularité de la fonction de transfert. (fonction méromorphe)
D'où les résidus dont parlait Ludwig. Non?
Pour l'équation de Dirac, je laisse faire Ludwig.
Cordialement.
Quel est le rapport entre une fonction de transfert en électricité et l'équation de Dirac !?!?
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Dirac a fait beaucoup pour la commande de procédé automatique, tout comme Heaviside, Laplace, Fourier...
Les méthodes générales ont pour vocation une application générale.
Pour l'équation de Dirac, je suis encore trop quiche en équation diff aux dérivées partielles pour juger, mais je me soigne...
Cordialement.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Salut,
http://www.librecours.org/documents/5/500.pdf
Regarde 3.89
Cordialement
Ludwig
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Ca, c'est le gag de l'année !!!
Savez-vous qui est l'auteur du cours dont vous venez de me donner la référence !?!???
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
A mon tour d'être désolé de n'avoir pas compris.
Désolé aussi de ne voir aucun rapport entre la sublime équation de Dirac et la transcription triviale dans le langage de Laplace d'une équation différentielle du premier ordre à coefficients constants.
Je ne vois donc rien à "formaliser", et suis désolé de ne pouvoir aider qui que ce soit sur ce point qui n'en est pas un...
Salut,
Auccune idée, j'ai pioché au hassard sur le net en France, si non c'était en Allemand. D'abord je voulais prendre un truc de l'Uni de Bordeaux parcequ'un jour J'ai lu un bouquin fait par Oustaloup. Finalement j'ai trouvé le papier de Bordeaux un peu trop touffu, j'ai donc pris le suivant, j'ai lu en diagonale et je dois dire que c'est relativement bien fait. On dirai que des fois le hasard fait bien les choses non?
Néenmoins je dirai qu'on n'avance pas des masses.
Cordialement
Ludwig
J'imagine que Ludwig a du chercher à écrire en Laplace l'équation en question?A mon tour d'être désolé de n'avoir pas compris.
Désolé aussi de ne voir aucun rapport entre la sublime équation de Dirac et la transcription triviale dans le langage de Laplace d'une équation différentielle du premier ordre à coefficients constants.
Je ne vois donc rien à "formaliser", et suis désolé de ne pouvoir aider qui que ce soit sur ce point qui n'en est pas un...
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Le côté intéressant dans l'équation de Dirac, c'est quand même plus les spineurs que l'équation différentielle du premier ordre...
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
à partir de E = y m_0 c^2 = (m_0 c^2)^2 + (pc)^2 on a implicitement E = m_0 c^2 + (y m_0 v) c j = m_0 c^2 + p c j = (m_1 + m_2 j)c^2 donc m_1=m_0 et m_2 = p/c . cette masse complexe est de fait une représentation complexe de la masse relativiste donc toute critique n'a pas de sens , c'est ok chacun peut comprendre ça sans faire de grande étude . cette représentation complexe est connue depuis el début de la relativité mais on dirait bien que personne a réussie a explicité physiquement cette représentation . Il est possible qu'il y a une dimension imaginaire de l'énergie avec masse négative (+- la racine carré ) qui concorde aves une énergie réactive dans un espace temp et donc uune masse active ett réactive .
(ym_0 c^2)^2 plutot