Bonsoir à tous et à chacun,
ce soir je vais montrer que l'intuitif en physique ne paye pas toujours.
Le formalisme que j'utiliserai ce soir n' a pas un niveau de sophistication hors d'atteinte mais il est très efficace et ses résultats résultats seront indubitables.
En préambule, la masse d'une particule sera définit par le concept suivant:
M1 = mo1 + j*p/c
ou l'impulsion est considérée comme imaginaire pur et la masse totale comme un nombre complexe et la masse au repos mo un réel.
Le phénomène que nous étudions est la réfraction d'un ensemble onde-particule de masse M par un milieu réfringent d'indice n = c / v.
J'ai déjà démontré sur ces forum, que dans ces conditions, le changement d'indice lorsque la masse M1, qui est aussi un photon de masse au repos initiale dans le vide d'indice n1 = 1, mo1 = 0, pénètre dans la milieu réfringent et devient la masse M2:
M2 = mo2 + j*p /c
la fréquence étant conservée et l'impulsion aussi
nous pouvons écrire que
M1 * c = M2 * c/n
qui est la traduction du principe de conservation de l'impulsion
L'inconnue que nous calculons est mo2:
nous obtenons tous calculs faits la valeur suivante:
mo2 = p * ( 1 / v - 1 / c ) ce qui se réduit à la valeur que vous devez retenir qui est:
mo2 = p/c * ( n - 1 ) soit hv / c² *( n - 1 )
A présent que ce préambule a été exposé la suite de la démonstration ne sera que pure routine.
Soit un photon dans le vide d'énergie quantique initiale E1 = hv
il est nécessaire que ce photon traverse le milieu réfringent; nous savons par mon travail démontrant que le photon dans le milieu réfringeant se propage à la vitesse c / n, si la longueur d'onde se conserve, ce qui n'est pas banal !! Et bien cette hypothèse au départ peu orthodoxe nous permet d'écrire l'égalité suivante que j'ai déjà démontrée dans le cadre de cette hypothèse:
hv * c = f2 * l * c/n
et toujours dans le cadre de cette hypothèse nous en déduisons quelque chose de totalement interdit mais que je suis encouragé à présenter par les résultats du préambule et ses suites, à savoir que:
W = hv * n = f2 * l qui est l'énergie du photon dans le milieu réfringent.
Le principe de conservation de l'énergie nous donne comme bilan très temporaire:
W' = hvn - hv = hv * ( n- 1 )
c'est à dire que la soumission du photon au principe nécessaire de conservation de l'énergie quantique doit nous dire que le photon, qui est très malin, va devoir trouver une solution pour annuler W'.
Or nous savons que la masse mo2 que nous avons déjà calculée a pour valeur
mo2 = hv / c² ( n - 1) et sans faire appel dans ce calcul à l'hypothèse de conservation de la longueur d'onde mais seulement à la conservation de la fréquence.
On peut donc écrire que le photon annule W' en la transformant en masse au repos mo2 du photon dans le milieu réfringent et en changeant de trajectoire dans le milieu réfringent respectant ainsi le principe de conservation de E1
Et maintenant ce que chacun attend, que reste-t-il comme énergie dans le milieu réfringent quand le photon a respecté le principe obligatoire de conservation de l'énergie:
il reste l'énergie obligatoirement E1 = hv = E2 et voila, la boucle est bouclée: le bilan énergétique final et celui qui sera mesuré est que l'hypothèse qui nous a servi ne peut etre que la realité: en respectant la conservation de la fréquence, nous sommes obligés de respecter la conservation de la longueur d'onde pour que le principe de conservation de l'énergie soit lui-meme respecté et en montrant que le photon ne se propage plus à la vitesse c mais bien c/n comme je l'ai démontré pour que l'ensemble soit cohérent.
Je sais que il existe une autre théorie, ondulatoire mais elle ne peut etre que fausse car elle ne respecte pas le principe selon lequel la quantité de mouvement quantique doit etre un imaginaire pur que j'ai utilisé pour concevoir le concept de masse complexe totale qui est élément de C et donne le meme résultat que la Relativité pour le calcul de l'énergie cinétique totale relativiste.
Et maintenant la parole est à l'expérimentation et aux expérimentateurs: la conservation de la fréquence nous donne une masse positive comme résultat de la réfraction et peut-etre que des expériences pourront la mesurer : mo2 = hv / c² * ( n - 1) par photon. L'inconvénient est que cette masse est dans le milieu réfringent, peut-etre qu'elle alourdit les milieux réfringents solides.
Et maintenant je vous souhaite une bonne lecture de ces concepts nouveaux et relativement ardus.Que les amateurs de formalismes sophistiqués soient indulgents et ayez pitié de la prime jeunesse de cette théorie que peut-etre l'expérience infirmera: critiquez si vous voulez, mais ne remplacez pas son formalisme par vos savoirs, respectez ses concepts et pensez en en termes quantiques.
Au revoir ce fut un plaisir.
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