salut, j'ai un peu de mal a bien saisir cette expérience...
j'explique
le postulat soutenu par Bohr et l'école de copenhague pour défendre la mécanique quantique est que l'on ne peut affirmer l'état d'un photon (polarisation) avant une mesure... l'on ne peux pas prédire cet état... un photon a deux polarisations possible comme dans l'expérience d'Aspect... soit + soit - ... et le résultat est toujours aléatoire "par essence quantique" (dirais-je)
Einstein&co, affirme que dans le cas des photons intriqués cette situation est impossible, car si les photons sont intriqué et qu'ils sont séparé, ceux-ci si ont les éloignes l'un de l'autre vont transmettre une information à distance... le premier influençant le second plus vite que c...
l'expérience d'aspect démontre l'existence de l'intrication des photons et le fait qu'un photon a une influance sur le second de l'intrica... mais l'expérience d'aspect en démontrant l'intrication ne démontre-t-elle pas qu'il soit possible de déterminer le statut du second photon avant la mesure, soit que la démonstration invalide le postulat de Copenhague, le fondement de la physique quantique ?
et par là donne raison a Einstein en posant que si l'intricat existe, c'est à ce moment que les deux photons acquiers leur détermination future, et que peu-importe la distance, si un photon est mesuré dans un sens, l'autre seras nécessairement déterminé...
par là, l'expérience EPR n'était-elle pas à double tranchant ? soit l'on démontre qu'il n'y a pas d'intricat et Einstein à raison, soit l'on démontre l'intricat et l'on peu prédire l'état du photon avant la mesure, donc contre l'idée d'une action à distance, tout en acceptant l'idée que deux photons puisse-t-être "localement" dans un état superposé... les mesure ensuite étant superfétatoire, simple vérification d'un état préexistant... quantique localement, mais de logique très classique à distance...
bref tout l'inverse de ce qui est dit partout... c'est donc que j'ai tort, mais j'avoue volontier que je suis en état +/- moi aussi...
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