Tu aurais pu citer la suite .
Qui devrait clore ce débat .La distinction entre force électromotrice d'induction et force contre-électromotrice d'induction est artificielle : le phénomène est unique.
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Tu aurais pu citer la suite .
Qui devrait clore ce débat .La distinction entre force électromotrice d'induction et force contre-électromotrice d'induction est artificielle : le phénomène est unique.
Ce n'est qu'un nom et ce n'est pas plus tordu que d'appeler tension une différence de potentielle, parce que cela se comporte de la même façon que la tension d'une corde.La force électromotrice e est un travail par unité de charge. Initialement introduit par Volta pour les piles voltaïques, le concept de force électromotrice a pour base étymologique la « mise en mouvement des charges électriques ».
Suite au développement des machines électriques le terme a été étendu et la définition élargie. Ainsi pour les générateurs électromécaniques la force électromotrice, parfois nommée force électromotrice d'induction, est la circulation du champ électromoteur lié au phénomène d'induction électromagnétique. https://fr.wikipedia.org/wiki/Force_%C3%A9lectromotrice
Tordu, non ?
Toujours le même débat depuis Platon entre l'unique et le multiple, la classe et l'instance de classe, l'objet et l'instance d'objet, la classe d'équivalence et un élément de cette classe d'équivalence.
Ex : Les deux fraction 2/2 et 3/3 sont différentes en tant qu'instance, ne serait ce parce qu'elles ne sont pas écrites au même endroit.
On peut les voir égale en terme de classe et leur donner la même désignation plus simple : 1.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Rétablir le sens physique mis à mal.
Nan nan nan ! Le sens physique, le voici :Pour que la fem change de signe, il faut que le machine change de sens et ce indépendamment du sens de l'échange d'énergie (moteur ou générateur).
Un générateur électro-mécanique consomme de l'énergie mécanique et produit de l'énergie électrique : son électromotrice est donc positive et U = | é.m. - rI |.
Un moteur électro-mécanique produit de l'énergie mécanique et consomme de l'énergie électrique :
- son électromotrice est donc négative et là aussi U = | é.m. - rI |
- ou encore sa contre-ém est positive alors on peut aussi écrire U = | c-é.m. + rI |.
Mais surtout pas un mélange des deux ! car sinon :
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Toutes ces valeurs absolues donnent la nausée.
Tenir compte de la résistance interne n'a aucun intérêt dans cette discussion.
U=E en moteur et en générateur, quelque soit le sens du courant.
C'est simple et facile à comprendre.
Déjà dit par Pixel au post 4.
http://forums.futura-sciences.com/ph...ml#post5357821
Et dernière fois : dire que e est positif ou négatif ne veut RIEN dire...
Plonk.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Au contraire, c'est la seule question intéressante, au bout de cette bataille de convention de notation.
La seule question de l'élève, c'est s'il doit l'ajouter ou la retrancher (et pourquoi ?).
Or la résistance n'est jamais électro-motrice mais toujours contre-électro-motrice.
Dernière modification par Nicophil ; 11/10/2015 à 16h25.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
C'est indépendant du signe de la fem qui ne dépend que du sens de rotation...
Non plus. Faux ou même pas faux.
Une résistance n'a rien d'électromoteur que ce soit avec ou contre...
Bref, j'avais dit Plonk et j'aurais du m'y tenir...
Plonk.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.