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La nature a horreur du vide



  1. #31
    Coincoin

    Re : La nature a horreur du vide


    ------

    C'est peut-être logique pour toi, mais tu utilises le vocabulaire avec un sens totalement différent de celui utilisé par les scientifiques. Donc ça ne veut rien dire pour un physicien...

    Et en plus, tu affirmes des choses totalement contraires à l'expérience sans même justifier :
    De même qu'une vitesse supérieure à C est tout à fait possible, je dirais même "obligatoire" sous la longueur de Planck

    -----
    Encore une victoire de Canard !

  2. #32
    invite5d273677

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par Bob Trebor
    Parce que le temps n'est pas une apologie de la physique et qu'il a aussi une définition en philosophie, de même pour la durée et ce d'Aristote à Bergson.
    J'irai plus loin en disant que le temps en musique, est beaucoup plus proche d'un temps naturel que celui de la physique.

    Si tu avais lu le lien que je t'ai proposé, tu ne dirais pas que ca n'a absolument aucun sens mais un sens différent.

    De même qu'une vitesse supérieure à C est tout à fait possible, je dirais même "obligatoire" sous la longueur de Planck.

    Le champs gravitationnel à pour moi deux "formes".
    Une représentation espace-temps où le temps forme l'espace. C'est à dire que la "quantité" de temps est inférieur à la quantité d'espace.
    Une représentation temps-espace où l'espace forme le temps. C'est à dire que la "quantité" d'espace est inférieur à la quantité de temps.

    C'est deux "formes" étant séparées par une onde ou une superposition d'ondes stationnaires.

    Et je répète que le temps formulé sous la forme seconde, minute etc est une erreur qui tient du non-sens. Les secondes etc mesurent une durée d'expression du temps et non le temps lui-même.

    Je suis désolé mais je ne peux exprimer ceci qu'en mots car je ne suis que littéraire, cela n'empêche pas que cela reste logique.
    bonjour
    très franchement, tout cela a l'air intéressant (parfois les intuitions difficilement traduisibles par le langage précèdent de grandes découvertes), mais... je n'y comprends rien !

    si tu veux bien nous décrypter tout cela... merci d'avance

  3. #33
    Chup

    Re : La nature a horreur du vide

    Robert est un poète...

  4. #34
    inviteb276d5b4

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par Coincoin
    C'est peut-être logique pour toi, mais tu utilises le vocabulaire avec un sens totalement différent de celui utilisé par les scientifiques. Donc ça ne veut rien dire pour un physicien...
    Je ne pense pas que ce soit le sens qui soit différent mais la forme. Je m'exprime en mots et non en nombres.
    Mais je crois amha que le sens est le même au niveau conceptuel.
    Citation Envoyé par Coincoin
    Et en plus, tu affirmes des choses totalement contraires à l'expérience sans même justifier.
    Non ce n'est pas contraire à l'expérience. Dans une intrication quantique par exemple, le changement d'état des "particules" est bien supérieure à C lors de la mesure.
    En étant trés osé je dirais que, l'état "intriqué" n'est rien de plus qu'une superposition d'ondes stationnaires qui représente l'interface de ce j'appelle "temps-espace" et "espace-temps". Interface qui produira une "réfraction" lors de la mesure.

    Si on considére un "temps-espace" où la "quantité" d'espace est inférieur à la quantité de temps. C'est comme si je te donnai deux heures pour parcourir dix mètres.
    Tu as tellement de temps pour parcourir la distance que tu peux aisément te promener partout ce qui pour un observateur relativiste (qui lui n'à que deux secondes pour pacourir 10 000 mètres) te confère une proprièté de non-localité.

    Si on représente l'espace comme une étendue infinie, un espace sans temps.
    J'incorpore le temps en jetant un caillou qui représente une "quantité" de temps.
    Ce que l'on va mesurer ensuite, c'est la forme de l'espace (les ondes à la surface de l'eau), combien y en a t-il et sur combien de temps, c'est donc bien une durée. Les ondes que l'on mesure ne sont qu'un "écho" d'une quantité de temps "injecté" dans l'espace.

    Le temps véritable, c'est la taille du caillou.

    Désolé de parler par analogie, c'est pas facile d'exprimer ce genre de choses quand on ne connait pas la physique.

  5. #35
    deep_turtle

    Re : La nature a horreur du vide

    Désolé de parler par analogie, c'est pas facile d'exprimer ce genre de choses quand on ne connait pas la physique.
    La physique n'est pas faite d'analogies. On ne le répète surement pas assez (et pourtant...), mais il faut distinguer deux choses :

    - la physique comme science, qui élabore des théories quantitatives, basées à la fois sur des constructions logiques et des fauts expérimentaux. Ce n'est pas ce que tu fais (ton truc de vitesse plus grande que c sous l'échelle de Planck, ça sort d'où ? Tu invoques la logique, mais la logique ne nous aide pas ici, elle sert à articuler les propositions qu'on suppose vraies, ce qui n'est pas ce que tu fais)

    - la vulgarisation, qui essaie de faire sentir ce que font les physiciens par des analogies, à l'intention de ceux qui n'ont pas le bagage technique (apparemment des gens comme toi). ça demande de bien connaître la physique, bien sûr, et tu avoues ne pas faire partie non plus de cette catégorie...

    Du coup, ce que tu proposes, ce sont de jolies histoires qui n'appartiennent pas au domaine de la science, des suites d'affirmations dont l'articulation ne suit pas les règles de la science, et dans lesquelles tu détournes le vocabulaire des physiciens...

    Encore une fois, essaie de faire la même chose dans un autre domaine et tu vas vite comprendre : à supposer que tu n'y connaisse rien en électronique, prends ton ordi, démonte-le en pièces détachées, déssoude les composants, mélange tout, puis essaie de le remonter... Tu verras que pour faire quelque chose qui marche, il faut quand même ne pas arriver en amateur total !
    « D'avoir rejeté le néant, j'ai découvert le vide» -- Yves Klein

  6. #36
    inviteb276d5b4

    Re : La nature a horreur du vide

    Bonjour

    Je suis d'accord avec toi Deep et je ne prétends pas révolutionner la physique avec mes maigres connaissances.
    Mais que l'on soit physicien ou pas, je pense que l'expérience vécu (l'empirisme individuel) et la logique notamment la dialectique (de Hegel) peuvent permettrent d'accéder aux différents concepts quels qu'ils soient.
    Ce qui me semble intéressant, c'est de savoir si d'une analogie, par exemple celle de l'espace comme étendue d'eau et du temps comme un caillou, on peut en faire une homologie qui ait un sens en physique ?
    Mais à cela, seul un physicien peut répondre en transposant l'analogie dans son domaine.
    Une analogie peut-être fausse donc réfutable, qu'elle soit littéraire ou mathématique.

    Quand je dis que:
    -les ondes que l'on mesure ne sont qu'un "écho" (une projection) d'une quantité de temps "injecté" dans l'espace, est-ce réaliste ?
    -le temps véritable, c'est la taille du caillou, est-ce logique ?
    -la variable t mesure une durée et non le temps, es-tu d'accord ?
    -l'état "intriqué" n'est rien de plus qu'une superposition d'ondes stationnaires, est ce possible ?
    -dans une intrication quantique, le changement d'état des "particules" est supérieure à C lors de la mesure, est-ce concevable ?

    Pour V>C sous LP, j'essai de l'exprimer dans cette suite de posts:
    http://forums.futura-sciences.com/sh...&postcount=111
    http://forums.futura-sciences.com/sh...&postcount=112
    http://forums.futura-sciences.com/sh...&postcount=115

    Je ne cherche pas une confrontation stérile mais un échange de regards d'un domaine à un autre.
    Ce qui me semble important c'est qu'une idée, un concept peut être transposable et amener de la nouveauté.

    Cordialement.

  7. #37
    mtheory

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par fderwelt
    ! (BTW, pas de nouvelles récentes de la géométrie non commutative? ou c'est tellement passé dans les mœurs qu'on ne le mentionne même plus?)

    -- françois

    Au contraire,elle sort de partout de la théorie des membranes (M-theory ).
    Il suffit de se ballader sur arxiv pour se convaincre de son actualité brulante
    “I'm smart enough to know that I'm dumb.” Richard Feynman

  8. #38
    invite5d273677

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par Bob Trebor
    Bonjour

    Je suis d'accord avec toi Deep et je ne prétends pas révolutionner la physique avec mes maigres connaissances.
    Mais que l'on soit physicien ou pas, je pense que l'expérience vécu (l'empirisme individuel) et la logique notamment la dialectique (de Hegel) peuvent permettrent d'accéder aux différents concepts quels qu'ils soient.
    Ce qui me semble intéressant, c'est de savoir si d'une analogie, par exemple celle de l'espace comme étendue d'eau et du temps comme un caillou, on peut en faire une homologie qui ait un sens en physique ?
    Mais à cela, seul un physicien peut répondre en transposant l'analogie dans son domaine.
    Une analogie peut-être fausse donc réfutable, qu'elle soit littéraire ou mathématique.

    Quand je dis que:
    -les ondes que l'on mesure ne sont qu'un "écho" (une projection) d'une quantité de temps "injecté" dans l'espace, est-ce réaliste ?
    -le temps véritable, c'est la taille du caillou, est-ce logique ?
    -la variable t mesure une durée et non le temps, es-tu d'accord ?
    -l'état "intriqué" n'est rien de plus qu'une superposition d'ondes stationnaires, est ce possible ?
    -dans une intrication quantique, le changement d'état des "particules" est supérieure à C lors de la mesure, est-ce concevable ?

    Pour V>C sous LP, j'essai de l'exprimer dans cette suite de posts:
    http://forums.futura-sciences.com/sh...&postcount=111
    http://forums.futura-sciences.com/sh...&postcount=112
    http://forums.futura-sciences.com/sh...&postcount=115

    Je ne cherche pas une confrontation stérile mais un échange de regards d'un domaine à un autre.
    Ce qui me semble important c'est qu'une idée, un concept peut être transposable et amener de la nouveauté.

    Cordialement.
    bonjour
    je te signale que ma question est toujours restée sans réponse ("décryptage"...)
    peut-être qu'elle est trop c... pour mériter d'être prise en considération après tout????

  9. #39
    inviteb276d5b4

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par FRELE IDEE
    bonjour
    je te signale que ma question est toujours restée sans réponse ("décryptage"...)
    peut-être qu'elle est trop c... pour mériter d'être prise en considération après tout????
    Bonjour

    Non ce n'est pas c.. , c'est que je ne sais pas ce que tu attends (entends) par décryptage.
    Tu attends une description de ce que je dis sous une autre forme, mais laquelle ?

  10. #40
    deep_turtle

    Re : La nature a horreur du vide

    -les ondes que l'on mesure ne sont qu'un "écho" (une projection) d'une quantité de temps "injecté" dans l'espace, est-ce réaliste ?
    Ben ça n'a aucun sens. Ce que les physiciens appellent une onde, c'est l'volution e quelque chose au cours du temps. « Injecter du temps dans l'espace » ça ne veut rien dire non plus, ton usage des guillemets montre que tu as toi-même des problèmes avec le concepts. Invoquer la dialectique et Hegel ne change rien à ça. Quand bien même tu voudrais porter un regard de philosophe sur ces questions, tu ne dois pas t'affranchir de la rigueur...

    -le temps véritable, c'est la taille du caillou, est-ce logique ?
    Non, ça n'a aucu nsens non plus. La notion de taille se rapporte à des dimensions spatiales.

    -la variable t mesure une durée et non le temps, es-tu d'accord ?
    En général oui, en effet.

    -l'état "intriqué" n'est rien de plus qu'une superposition d'ondes stationnaires, est ce possible ?
    Pas seulement, c'est une superposition d'états au sens quantique, lesquels ne sont que rarement assimilables à des ondes stationnaires.

    -dans une intrication quantique, le changement d'état des "particules" est supérieure à C lors de la mesure, est-ce concevable ?
    ça n'a aucun sens. Comment un "changement" peut-il être "supérieur" à une vitesse ?

    Il faut que tu sois beaucoup plus rigoureux dans ta pensée, Bob Trebor, si tu veux espérer avancer dans le domaine (pas seulement celui de la physique d'ailleurs !)
    « D'avoir rejeté le néant, j'ai découvert le vide» -- Yves Klein

  11. #41
    invite5d273677

    Re : La nature a horreur du vide

    bonjour
    et merci !
    je demande simplement les précisions suivantes:
    Citation Envoyé par Bob Trebor
    Parce que le temps n'est pas une apologie de la physique et qu'il a aussi une définition en philosophie, de même pour la durée et ce d'Aristote à Bergson.
    J'irai plus loin en disant que le temps en musique, est beaucoup plus proche d'un temps naturel que celui de la physique.
    en quoi la définition philosophique du temps est-elle plus opératoire que le concept de temps en physique?

    Citation Envoyé par Bob Trebor
    Si tu avais lu le lien que je t'ai proposé, tu ne dirais pas que ca n'a absolument aucun sens mais un sens différent.
    lequel de sens?

    Citation Envoyé par Bob Trebor
    De même qu'une vitesse supérieure à C est tout à fait possible, je dirais même "obligatoire" sous la longueur de Planck.
    depuis quand sait-on que la célérité de la lumière peut être dépassée lors d'un processus de transmission d'énergie? Qui en sont les auteurs (j'ai ma petite idée sur la question --> théorie des tachyons)
    Citation Envoyé par Bob Trebor
    Le champs gravitationnel à pour moi deux "formes".
    Une représentation espace-temps où le temps forme l'espace. C'est à dire que la "quantité" de temps est inférieur à la quantité d'espace.
    Une représentation temps-espace où l'espace forme le temps. C'est à dire que la "quantité" d'espace est inférieur à la quantité de temps.
    que signifie "quantité... inférieure"? est-ce à dire:
    dx (intervalle d'espace) = vdt < cdt (intervalle de temps)
    ce qui implique que l'on s'intéresse aux événements situés à l'intérieur du cône de lumière d'un événement donné? Et si ce n'est pas le cas, ces événements ne peuvent pas être la cause de l'événement considéré.
    Si on admet l'existence de v > c alors il existe des événements situés à l'infini dans l'espace et dans le temps pouvant agir sur un événement local: c'est ce que tu sembles appeler la non-localité.
    Mais là, désolé, chercher à expliquer l'intrication quantique par des processus v > c est selon moi voué à l'échec. L'intrication des états est une propriété fondamentale du monde quantique: deux systèmes arbitrairement éloignés dans l'espace constituent un système fondamentalement indissociable et ne saurait être compris comme l'association de deux systèmes initialement indépendants. C'est en niant cette propriété que l'on est amené, à tort, à chercher des solutions du type tachyons (v > c) qui mènent à une impasse épistémologique.
    Il n'y a aucune raison d'imaginer des transitions d'états (v>c) et (v<c) pour expliquer la propriété de non-séparabilité du réel.
    Citation Envoyé par Bob Trebor
    C'est deux "formes" étant séparées par une onde ou une superposition d'ondes stationnaires.
    affirmation gratuite sauf résultats expérimentaux que je ne connais pas (je ne prétends pas tout connaître d'ailleurs, cela se saurait )

    Citation Envoyé par Bob Trebor
    Et je répète que le temps formulé sous la forme seconde, minute etc est une erreur qui tient du non-sens. Les secondes etc mesurent une durée d'expression du temps et non le temps lui-même.
    pourquoi?
    la seconde (durée) est au temps ce que le mètre (longueur) est à l'espace.
    Je ne vois pas la disymétrie épistémologique entre l'espace et le temps ici...

    Citation Envoyé par Bob Trebor
    Je suis désolé mais je ne peux exprimer ceci qu'en mots car je ne suis que littéraire, cela n'empêche pas que cela reste logique.
    d'accord en cela que l'on peut rester dans une logique scientifique ddans son discours même si on n'est pas un expert en modélisations de la physique. Mais la logique scientifique, même exprimée avec des mots de tous les jours, suppose l'effort de raisonner juste sur des faits bien établis:
    - tes faits sont-ils bien établis?
    - ton raisonnement, tout exprimé soit-il avec un langage littéraire, est-il "juste" au sens qu'il applique le principe d'objectivité?

    cordialement

  12. #42
    inviteb276d5b4

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par deep_turtle
    Ben ça n'a aucun sens. Ce que les physiciens appellent une onde, c'est l'évolution e quelque chose au cours du temps.
    C'est donc bien une durée et non le temps lui-même.
    Citation Envoyé par deep_turtle
    « Injecter du temps dans l'espace »
    ça ne veut rien dire non plus, ton usage des guillemets montre que tu as toi-même des problèmes avec le concepts.
    Non, pas de problème du concept mais de l'expression de ce concept.
    Ici, "injection" du temps signifie qu'une "quantité" de temps va provoquer une mise en forme topologique de l'espace.
    La mesure qui sera faite, c'est celle de la forme de l'espace et "l'existence" de cette forme sur la durée mais ce n'est amha pas la mesure du temps.
    Citation Envoyé par deep_turtle
    Non, ça n'a aucun sens non plus. La notion de taille se rapporte à des dimensions spatiales.
    Bien sur, car l'analogie par le caillou n'est qu'une image.
    Ce qui est important, c'est la considération d'une quantité de temps exprimée autrement que par une durée.
    La durée n'étant qu'une conséquence, un écho, c'est à dire une dispersion d'une quantité primale de temps.
    Citation Envoyé par deep_turtle
    Citation:
    -la variable t mesure une durée et non le temps, es-tu d'accord ?
    En général oui, en effet.
    Alors, comment en physique, exprime t-on le temps qui n'est pas une durée ?
    Citation Envoyé par deep_turtle
    Citation:
    -l'état "intriqué" n'est rien de plus qu'une superposition d'ondes stationnaires, est ce possible ?
    Pas seulement, c'est une superposition d'états au sens quantique, lesquels ne sont que rarement assimilables à des ondes stationnaires.
    Ceci est important, trés important. Car même si ce n'est que rarement assimilable à des ondes stationnaires, n'est-ce pas simplement que dans les cas les plus "généraux" empiriques ou théoriques, ces ondes stationnaires ne sont pas "visibles", càd qu'elles n'apparaissent pas dans l'expérience ou dans le calcul ?

    Et de plus, comment peut-on le savoir puisqu'empiriquement, la mesure va "détruire" la superposition.
    Que se passe t-il, si par expérience de pensée, on postule qu'une intrication est toujours une superposition d'ondes stationnaires ?
    Citation Envoyé par deep_turtle
    ça n'a aucun sens. Comment un "changement" peut-il être "supérieur" à une vitesse ?
    Je voulais dire que le changement d'état se fait à une vitesse (V) supérieure à C; on parle bien de changement "instantané", je dis supérieur à C, cela reste raisonnable, non ?

    Ps: Deep tu as raison pour mon manque de rigueur, je vais essayer de corriger ça.

    @Frèle idée.
    Désolé je dois partir, disons demain ok ?

    Merci.

  13. #43
    Coincoin

    Re : La nature a horreur du vide

    Je prend le relai de Deep...
    C'est donc bien une durée et non le temps lui-même.
    Je vois pas le rapport avec ce que Deep dit.
    une "quantité" de temps va provoquer une mise en forme topologique de l'espace.
    C'est quoi une "quantité" de temps ? C'est quoi une "mise en forme topologique de l'espace" ?
    un écho, c'est à dire une dispersion d'une quantité primale de temps.
    Ah... pour moi, un écho, c'est quand tu cries "COIN" et que tu entends "coin" qui revient.
    Alors, comment en physique, exprime t-on le temps qui n'est pas une durée ?
    Quelle distinction fais-tu entre "temps" et "durée" ? Pour un physicien, une durée c'est une différence de temps : j'ai dormi de 1h à 8h, donc pendant une durée de 8-1=7h...
    ces ondes stationnaires ne sont pas "visibles"
    C'est quoi une "onde stationnaire" pour toi (juste pour vérifier que tu lui donnes le bon sens).
    le changement d'état se fait à une vitesse (V) supérieure à C
    Comment définis-tu la vitesse d'un changement d'état ? Parce que si tu considéres un état avec deux schtroumpfs puis 5 min plus tard un état avec 22 schtroumpfs, tu peux dire que la vitesse de changement d'état est de 4 schtroumpfs par minute, mais en aucun cas tu ne peux comparer ça avec c qui est en mètres par seconde (faut pas mélanger les choux et les carottes).

    Bref, tu as construit ta propre compréhension des termes physiques mais tu t'es éloigné du "vrai" sens. Donc même si ce sont les mêmes mots, c'est comme si tu ne parlais pas la même langue (et même pire car ça entraîne des confusions). Le mieux c'est donc de redéfinir tous tes termes...
    Encore une victoire de Canard !

  14. #44
    deep_turtle

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par FRELE IDEE
    Qui en sont les auteurs (j'ai ma petite idée sur la question --> théorie des tachyons)

    je crois que je viens de comprendre à mon tour...



    Je passe au vert : A la moindre allusion aux B-Brothers, on ferme le fil, je doute que beaucoup de gens ici veuillent se rerererereplonger là-dedans...
    « D'avoir rejeté le néant, j'ai découvert le vide» -- Yves Klein

  15. #45
    mtheory

    Re : La nature a horreur du vide

    Je crois que Bob essaye de formuler la physique moderne dans le cadre de la dialectique Hegelienne,notamment à partir des outils de son ouvrage 'la science de la logique'.
    Pas impossible non plus qu'il essaye d'utiliser des notions introduits par Whithehead dans 'Process and reality'.
    Malheureusement,et surtout dans le cas Hegel,il est facile/rapide de formuler des choses apparemment profondes mais qui en fait ne le sont pas et de loin.
    Il doit être dans l'idée de génerer/penser les lois de la physique à partir de trucs comme l'être et le néant,l'essence etc...et tout le jargon de la métaphysique/logique Hegelienne.
    Il essaye de le faire sincérement et sans dogmatisme malgré tout j'ai l'impression.
    “I'm smart enough to know that I'm dumb.” Richard Feynman

  16. #46
    invite441ba8b9

    Re : La nature a horreur du vide

    Enfin on n'a peut être pas besoin d'un clone de http://forums.futura-sciences.com/thread63225-7.html ...

  17. #47
    deep_turtle

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par mtheory
    Il essaye de le faire sincérement et sans dogmatisme malgré tout j'ai l'impression.
    Pour que les choses soient bien claires, à aucun moment je n'ai pas voulu sous-entendre que ce n'était pas le cas...
    « D'avoir rejeté le néant, j'ai découvert le vide» -- Yves Klein

  18. #48
    invite04fcd5a3

    Re : La nature a horreur du vide

    je n'ai rien compris a ce fil....

  19. #49
    mtheory

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par deep_turtle
    Pour que les choses soient bien claires, à aucun moment je n'ai pas voulu sous-entendre que ce n'était pas le cas...

    Je ne l'ai pas pensé non plus ,c'est juste qu'on c'est tous 'ligué' contre Bob,moi y compris.Or a la différence d'autre cas qu'on a vu sur Futura il 'joue' correctement le jeu,c'est pourquoi je me suis senti un peu mal à l'aise et que j'ai voulu lui signaler que j'appréciais ses réactions même si je n'étais pas d'accord avec lui .
    “I'm smart enough to know that I'm dumb.” Richard Feynman

  20. #50
    invite5d273677

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par champunitaire
    je n'ai rien compris a ce fil....
    ah, bon, ça va... je ne suis pas le seul dans ce cas !...

  21. #51
    invite441ba8b9

    Re : La nature a horreur du vide

    J'ai tendance à ne pas être vraiment d'accord avec mtheory... Si le fil sur le même sujet dans épistémo a été fermé, c'est bien pour une raison. Entre Métaphysique et Physique, il y a tout de même un grand pas.

    GFD.

  22. #52
    mtheory

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par GottferDamnt
    . Entre Métaphysique et Physique, il y a tout de même un grand pas.

    GFD.

    Oui,je suis bien d'accord,dans ce fil je n'ai pas dit le contraire je crois.

    De plus on s'éloigne maintenant pas mal du post initial
    “I'm smart enough to know that I'm dumb.” Richard Feynman

  23. #53
    invite441ba8b9

    Re : La nature a horreur du vide

    Ce n'était pas sur ca que portait mon désaccord... Bref je vous laisse à la discussion qui a effectivement un peu dérivé...

    GFD.

  24. #54
    inviteb276d5b4

    Re : La nature a horreur du vide

    Bonjour.
    Merci les Modos pour cet "élan" de compréhension et j'admet volontiers que je suis un personnage "difficile" mais sincère.

    Pour faire simple et ne pas créer de polémique inutile et ne pas polluer le forum avec mes non-sens, contre-sens etc du vocabulaire de la physique, voici le concept de base que j'utilise.

    L'espace primordiale est infini sans temps.
    Le temps primordiale est infini sans espace.

    C'est deux "entités" sont les causes qui précèdent tous les effets. Elles sont non-nées, non-créées et ne sont pas l'effet d'une cause.

    A partir de cela, j'imagine une intersection (le premier effet) de ces deux "entités" comme étant une superposition de temps et d'espace (onde stationnaire ?) se produisant en permanence.

    J'imagine que cette superposition s'accentue jusqu'à un moment où elle devient instable et ne peut plus se maintenir.

    Cela provoque donc une "injection" d'une quantité de temps dans la partie espace, c'est à dire que le temps donne une forme à l'espace, c'est la "création" de l'espace-temps dans la partie espace.

    Et réciproquement il y a une "injection" d'espace dans la partie temps et là, c'est l'espace qui donne une "forme" (?) au temps. C'est la "création" du temps-espace dans la partie temps.

    Cela signifie que dans l'espace-temps (relatif ?), la quantité de temps est inférieure à la quantité d'espace.
    Réciproquement dans le temps-espace (quantique ?), la quantité d'espace est inférieure à la quantité de temps.

    C'est donc à partir de ce concept que je cherche quelles sont les équivalences qui pourraient exister avec la physique.

    Voili, voilou.

    Et maintenant. Est-ce ridicule, illogique, intéressant ou simplement inutile ?

    Merci.

  25. #55
    invite04fcd5a3

    Re : La nature a horreur du vide

    bonjour

    pourquoi vouloir dissocier la notion de temps de celle d'espace, alors qu'on sait depuis einstein que les deux sont les deux faces de la même piece, le continuum espace-temps?

    on ne peut considerer l'un sans l'autre, le temps n'est plus un parametre au sens newtonnien, c'est une dimension a part entiere.

    quand a cette histoire "d'injection temporelle et d'onde stationnaire", je n'y comprends pas grand chose, je sais seulement qu'une onde stationnaire n'evolue pas dans le temps, elle reste pareille a elle même quel que soit le temps t auquel on la considère.


    de toute façon je crois qu'il y a une section philosophique dans ce forum ou des questions d'ordre "philosophiques" sont débattues.

    je sais que le debat philosophes-physiciens est tres enrichissant, voire necessaire parfois, mais il faut s'entendre un minimun sur les bases, il faut trouver un terrain commun pour discuter, celui justement des acquis scientifiques, en l'occurence ici la théorie de la relativité.

  26. #56
    inviteb276d5b4

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par Frèle idée
    en quoi la définition philosophique du temps est-elle plus opératoire que le concept de temps en physique?
    Et bien je dirais qu'en physique, je n'ai pas trouvé de concept qui parle du temps seul. On parle d'un espace vide qui peut être sans matière avec une variable t=0 (Minkowski, je crois) mais jamais de l'existence de temps sans espace (à moins que je n'ai simplement pas trouvé ou mal cherché). Ce concept de temps sans espace (que j'ai dans la tête depuis un moment), je l'ai trouvé (à peu prés similaire à mon idée) dans la philosophie d'un japonais du nom de Kitaro Nishida.
    Je lis d'ailleurs en ce moment "l'éveil à soi" traduit par Jacynthe Tremblay (édtion CNRS philo).
    Citation Envoyé par Frèle idée
    depuis quand sait-on que la célérité de la lumière peut être dépassée lors d'un processus de transmission d'énergie? Qui en sont les auteurs (j'ai ma petite idée sur la question --> théorie des tachyons)
    Rien à voir avec les frères B. l'idée, aussi saugrenue soit-elle est la mienne et je l'explique ainsi:

    Si la longueur de planck (LP) est la plus petite quantité d'espace que l'on puisse mesurer dans l'espace-temps, qu'y a t-il en dessous ?
    Et bien, rien. Ici s'arrête le concept d'espace-temps pour passer au concept de temps-espace ou la quantité d'espace est inférieure à la quantité de temps.
    Et comme C est la vitesse maximale dans l'espace-temps elle devient la vitesse minimale dans le temps-espace.
    Citation Envoyé par Frèle idée
    que signifie "quantité... inférieure"? est-ce à dire:
    dx (intervalle d'espace) = vdt < cdt (intervalle de temps)
    ce qui implique que l'on s'intéresse aux événements situés à l'intérieur du cône de lumière d'un événement donné? Et si ce n'est pas le cas, ces événements ne peuvent pas être la cause de l'événement considéré.
    Là, je te suis pas.
    Citation Envoyé par Frèle idée
    Si on admet l'existence de v > c alors il existe des événements situés à l'infini dans l'espace et dans le temps pouvant agir sur un événement local
    Oui, puisque par mon concept l'espace primordiale qui est infini (donc sans forme) est le "milieu de propagation" de l'espace-temps avec Vmax=C.
    Inversement pour le temps primordiale infini qui est le "milieu de propagation" du temps-espace avec Vmin>C.

    C'est en fait une proportion de l'espace et du temps dans leur milieu de propagation respectif.
    Citation Envoyé par Frèle idée
    c'est ce que tu sembles appeler la non-localité.
    la non-localité serait une proprièté du temps-espace.
    Citation Envoyé par Frèle idée
    Mais là, désolé, chercher à expliquer l'intrication quantique par des processus v > c est selon moi voué à l'échec.
    Comment expliquer alors le changement d'état "instantané" de la deuxième "particule" lors de la mesure ?
    Citation Envoyé par Frèle idée
    L'intrication des états est une propriété fondamentale du monde quantique: deux systèmes arbitrairement éloignés dans l'espace constituent un système fondamentalement indissociable et ne saurait être compris comme l'association de deux systèmes initialement indépendants.
    Je ne le vois pas comme une association mais comme un changement de "référentiel", càd que le système référent est le temps-espace et non plus l'espace-temps.
    Citation Envoyé par Frèle idée
    C'est en niant cette propriété que l'on est amené, à tort, à chercher des solutions du type tachyons (v > c) qui mènent à une impasse épistémologique.
    Il n'y a aucune raison d'imaginer des transitions d'états (v>c) et (v<c) pour expliquer la propriété de non-séparabilité du réel.
    Le problème serait que la mesure est faite à partir de l'espace-temps qui n'est pas le bon référentiel.
    Citation Envoyé par Frèle idée
    la seconde (durée) est au temps ce que le mètre (longueur) est à l'espace.
    Je ne vois pas la disymétrie épistémologique entre l'espace et le temps ici...
    On peut aussi dire que la durée c'est la mesure de la forme de l'espace-temps sur la longueur.
    Si tu jettes un caillou dans l'eau, tu produis une onde que tu vas pouvoir mesurer en terme de déformation de l'espace-temps.
    La durée d'une onde, c'est donc la somme (l'addition) d'une suite de déformations de l'espace-temps. je peux donc considèrer une onde comme une quantité géométrique et non pas temporelle.

    Le temps serait alors "l'impulsion" primaire qui permet à l'espace d'exprimer une forme.
    Citation Envoyé par Frèle idée
    - tes faits sont-ils bien établis?
    Ben non, je n'ai jamais observer de temps-espace avec V>c mais est-ce possible dans l'espace-temps ?
    Citation Envoyé par Frèle idée
    - ton raisonnement, tout exprimé soit-il avec un langage littéraire, est-il "juste" au sens qu'il applique le principe d'objectivité?
    Je ne sais pas, j'essaie d'être objectif mais il n'est pas facile d'exprimer qu'il peut exister du temps seul, sans espace.
    Une représentation mentale de l'espace est simple mais pour le temps c'est assez contre-intuitif.
    Je ne suis pas à l'abri de dire complétement n'importe quoi et c'est justement pourquoi je poses mes questions ici.
    Là ou c'est difficile, c'est que la physique à une position qu'on sait correcte sur l'espace-temps car vérifier empiriquement mais comment puis-je compter sur elle si j'ajoute un concept (ici, le temps-espace) qui va à l'encontre des données théoriques et/ou expérimentales. Ce qui est en même temps normal puisque le concept temps-espace est un ajout non théorisé ni expérimenté. Et je n'ai pas les connaissances pour en faire une théorie ou même une simple hypothèse mathématique.

    Je me demande simplement si ca peut avoir un sens pour un physicien ?

    Si ca n'en a pas, allez hop ! poubelle. Inutile de perdre du temps (justement) sur des incohérences...

    Ps: Je ne crois pas que V>C soit impossible, ce n'est peut-être simplement qu'un manque d'imagination ou l'utilisation d'un cadre trop strictement défini ou un manque "d'outils" théoriques et expérimentaux.
    "Impossible" n'existe pas...
    Citation Envoyé par champunitaire
    pourquoi vouloir dissocier la notion de temps de celle d'espace, alors qu'on sait depuis einstein que les deux sont les deux faces de la même piece, le continuum espace-temps?
    Car cela permet de les ré-associer sous deux formes: espace-temps et temps-espace qui n'ont pas les mêmes propriètés.
    Citation Envoyé par champunitaire
    on ne peut considerer l'un sans l'autre, le temps n'est plus un parametre au sens newtonnien, c'est une dimension a part entiere.
    Mais que représente alors cette dimension (le temps) et quelle est son unité de mesure ?
    Citation Envoyé par champunitaire
    quand a cette histoire "d'injection temporelle et d'onde stationnaire", je n'y comprends pas grand chose, je sais seulement qu'une onde stationnaire n'evolue pas dans le temps, elle reste pareille a elle même quel que soit le temps t auquel on la considère.
    Ben justement, on peut la considérer comme du temps et de l'espace immobile, mais elle n'est ni de l'espace-temps ni du temps-espace, elle serait une superposition de temps et d'espace mais "non-mélangés". Et c'est la "destruction" d'une superposition d'ondes stationnaires qui génererait l'espace-temps et le temps-espace (conservation de l'énergie).

  27. #57
    deep_turtle

    Re : La nature a horreur du vide

    on peut la considérer comme du temps et de l'espace immobile
    ça veut dire quoi du « temps immobile » ?
    « D'avoir rejeté le néant, j'ai découvert le vide» -- Yves Klein

  28. #58
    invite04fcd5a3

    Re : La nature a horreur du vide

    re

    en fait si je commence a comprendre ta "philosophie", c'est que tu considères qu'en deça de la distance de planck, le temps jouerai le role de celui que joue l'espace a notre echelle, n'est-ce pas, et vise versa pour l'espace?

    -voir solution de Schwarzchild, a ce sujet, les variables temps espace changent de signes a l'interieur du trou noir, mais justement cette solution ne concerne que le cas exterieur, on sait pas ce qui se passe a l'interieur du TN.


    ceci dit, selon ton "point de vue" les ondes stationnaires seraient l'expression "visible" (dans l'espace temps qu'on connait) d'un compromis entre la "dynamique" du temps injecté et l'espace qui ?? que?? quoi??

    et l'espace injecté dans du temps ca donnerait quoi?

    et la matière dans tout ça, qu'est-ce que c'est?

    je ne comprend même plus ce que je dis moi-même....

    personnellement je n'envisage pas d'espace-temps sans presence d'un champ de matiere, l'interaction justement d'engendrant une courbure.

    et la supergravité, et les mousses de spins? on en fait quoi? etc...


    modo

  29. #59
    invite04fcd5a3

    Re : La nature a horreur du vide

    please, qu'entends-tu par :
    "quantité d'espace est inférieure à la quantité de temps."

    les lagrangiens dans la relativité generale sont invariants par difféomorphisme...


    ps:

    ne serais-tu pas un espion envoyé par les oulipiens?

  30. #60
    inviteb276d5b4

    Re : La nature a horreur du vide

    Citation Envoyé par deep_turtle
    ça veut dire quoi du « temps immobile » ?
    En restant dans mon concept du post #54, dont j'aurai bien voulu ton avis ,
    je dirais que c'est un temps non lié à l'espace ou en superposition avec l'espace. C'est à dire qu'il ne donne pas de forme à l'espace et qu'il ne peut donc être décrit ou mesuré comme une durée.

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