Bonjour
Pourriez vous me dire comment il faut concevoir une particule svp ?
S'agit il d'un objets ayant une multitude de propriétés toutes dépendantes les unes des autres ?
Je pose cette question suite à la lecture de l'article sur l'indétermination sur wiki.
Seconde question on parle de ne pouvoir accéder qu'a la position ou à la vitesse, mais pas les deux en même temps.
Mais cela n'implique pas qu'une particule n'a pas à la fois une vitesse et une position définie ?
Merci
Bonsoir, la description précise est difficile, concevoir une particule comme un ensemble de propriétés de l'espace dans un zone donnée est une bonne approche.Envoyé par Tecla
Certains couples de propriétés ne peuvent pas être connues avec une grande précision en même temps, tels que position et vitesse dans une direction, énergie et durée, moment cinétique suivant deux axes différents.....
Il est cependant possible de connaitre ces couples de propriétés ensemble avec une précision limitée :une valeur minimale est imposée pour les produits des incertitudes.
Au revoir.
Comprendre c'est être capable de faire.
Je reprends juste la définition d'une particule. Les propriétés des objets décrivant une particule (les champs) ne dépendent pas les unes des autres. Par contre, elles peuvent être reliées à celles d'autres particules.
Les expériences d'interférences à plusieurs particules montrent que le comportement de particule s'observe en petit comité mais dès lors que vous conviez une myriade de particules à la fête, le comportement global peut davantage s'apparenter à celui d'une onde.
Merci pour vos réponses très instructives,
lorsque dans la partie description quantique, l'auteur écrit que "les grandeurs classiques ne sont donc en fait que des vues partielles de l'objet, potentiellement corrélées", cela concerne bien la vitesse et la position par exemple ?
Si oui, faut il utiliser d'autres propriétés non corrélés pour définir une particule ?
Merci
Bonjour.
C’est plus compliqué que ça, car des particules élémentaires une à une et non en comité, pressentent aussi un comportement ondulatoire.
Si vous réduisez l’intensité d’un faisceau de lumière ou d’électrons, vous pouvez arriver à une situation où la distance moyenne entre particules est plus grande que les dimensions de l’appareil. Mais même ainsi vous obtenez les mêmes diagrammes de diffraction que donne un comportement ondulatoire.
Au revoir.
