Oui, en masse de proton.
Fatigué je suis...
Merci pour les remarques.
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Oui
Non
Ne sait pas
Oui, en masse de proton.
Fatigué je suis...
Merci pour les remarques.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
En masse de proton, adenine plus thymine est 135+126. C'est toujours pas 1836/3...
Bonjour,
La mesure du redshift cosmologique est une mesure de décalage spectral, donc de longueur d'onde.
Cette mesure donne une distance de 13.8 année lumière qui ne reçoit pas d’interprétation directe dans les modèles actuels.
En gros quand, ou z=1=100%
Encore ma faute, j'ai trop raccourci les expressions.
C'est cool d'avoir les ordres de grandeurs en tête pour détecter mes bêtises!
En masse d'hydrogène (proche du Dalton pour s'y retrouver un peu, je n'ai pas trop l'habitude de ces unités.)
A- anhydrid desoxyadenosine monophosphate (anhydrid dAMP) A ≈ 313.21
G- anhydrid desoxyguanosine monophosphate (anhydrid dGMP) G ≈ 329.21
C- anhydrid desoxycytidine monophosphate (anhydrid dCMP) C ≈ 289.18
T- anhydrid desoxythymidine monophosphate (anhydrid dTMP) T ≈ 304.20
mA + mT ≈ mG + mC + 1 ≈ mH²/(3me)
Chaque codon de l'adn est composé de 3 couples choisis parmi AT ou CG.
La masse d'un codon est à peu près un invariant mH²/me.
La masse moyenne d'un nucléotide mH²/(6me) est proche de la masse de Fermi.
Masse de Fermi : 292Gev, soit ≈ 312 en masse d'hydrogène.
Bon, avec les réserves habituelles : Ca colle mais je ne sais pas pourquoi.
(Et j'espère que je ne me suis pas encore vautré dans les calculs et reports.)
Cordialement
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Salut,
Je voulais voir pourquoi on a cette coïncidence. Même remarques que ci-dessus sur le pas coïncidence ... sauf la masse de Fermi. C'est bête mais je n'arrive pas à trouver un article sur la définition. Ca doit pourtant être connu. Tu n'aurais pas un lien (wikipedia ou autre) ?
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Il y a un lien Futura.Très bonne autoréférence!
https://forums.futura-sciences.com/p...tml#post378400
Sinon, c'est tout bête :
C'est la masse pour la constante de couplage fort
D'où la masse de Fermi à 292 GeV/c^2 à peu près 312 hydrogène ou Dalton.
https://inis.iaea.org/collection/NCL...0/29040370.pdf
En note de base de page 2
https://books.google.fr/books?id=aIO...292Gev&f=false
page 310
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Et que vient faire la constante de couplage fort dans cette histoire ?! C'est pas parce que tu en fait une masse en utilisant E= mc² que tu peux ensuite comparer ça à des masses moléculaires
C'est du même acabit que la mammal wavelength...
D'accord, merci, je n'avais pas pensé à la théorie de Fermi de l'interaction forte (y a toute sorte d'énergie de Fermi).
Et là pour le coup je vois mal pourquoi il y aurait un lien. Simple coïncidence AMHA, enfin a priori.
EDIT croisement avec coussin qui lui aussi voit mal pourquoi il y aurait un lien. Précisons qu'à l'échelle moléculaire les effets de l'interaction forte sont infinitésimaux (et c'est peu de le dire).
Dernière modification par Deedee81 ; 01/06/2022 à 08h28.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Je note que ce sujet n'a plus rien à voir avec Progress in Physics.
C'est devenu un n-ième blog de stefjm comme il en existe tant sur FS...
Ah bé oui, en fait ou blablate depuis un moment là. Y a encore quelque chose à dire sur la revue en question ?
Y a eut des remarques assez précises il me semble et perso je n'ai pas été la voir dont je n'ai rien de spécial à dire. Désolé.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
C'est comme d'hab. Çà colle dimensionnellement et numériquement avec des relations fondamentales élémentaires. Je n'ai pas plus d'explication que cela.
Ce que je trouve curieux, et c'est peut-être un artéfact de la façon de faire, est que cela met le vivant au "milieu géométrique" de trucs beaucoup plus petit et beaucoup plus grand.
On cause ici d'un des articles publiés par la revue en question.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Je vois cela un peu comme le principe de Mach.
Les effets sont pouillièmes, mais cela influe quand même.
Et quand ça colle, c'est légitime de se demander quel lien il peut y avoir, par exemple entre des grandes ondes et des gamma quand on n'a pas encore la théorie qui lie ces "bizarreries".
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Que l'on n'aie pas de théorie, passe encore. Mais pour les relations discutées, je ne vois même pas de piste (autres que celles, triviales, mentionnées) qui pourrait éventuellement fournir un lien. Pire: pour certaine d'entre elles, je ne vois même pas comment il y aurait même une possibilité de piste.Je vois cela un peu comme le principe de Mach.
Les effets sont pouillièmes, mais cela influe quand même.
Et quand ça colle, c'est légitime de se demander quel lien il peut y avoir, par exemple entre des grandes ondes et des gamma quand on n'a pas encore la théorie qui lie ces "bizarreries".
Donc faire "joujou" avec des relations numériques, c'est le droit de tout le monde. Par contre chercher si celles-ci cacheraient un phénomène plus profond sans avoir la plus petite idée du commencement de quel serait ce phénomène (ni même de la possibilité d'existence d'un tel phénomène) est pour moi un exercice intellectuel qui est vain.
Il n'y a pas que la contrainte numérique. Il y a aussi la contrainte dimensionnelle.
Il y a aussi l'aspect prédiction de ce qui n'a pas encore été mesuré.
Je trouve sympa d'avoir des relations simples entre masse de l'univers, masse de Chandrasekar, masse de Planck et masse de proton, par exemple, qui plus est en puissance de 2 ou de 3.
Cela donne des pistes.
Après, je comprends tout à fait que cela ne passionne pas tout le monde.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».