dans l'article sur la polarisation circulaire
on a (a un coeff pres L> =
1
i
et R> =
1
-i
dans le plan complexe on passe continuement de l'un a l autre par une rotation de 0 a -pi/2
y a t il dans le commerce des polariseurs qui le font?
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dans l'article sur la polarisation circulaire
on a (a un coeff pres L> =
1
i
et R> =
1
-i
dans le plan complexe on passe continuement de l'un a l autre par une rotation de 0 a -pi/2
y a t il dans le commerce des polariseurs qui le font?
Ou sont les particules? On est la! On est la! (deux fentes de Young)
Donc vous voulez garder la composante verticale constante ? Pourquoi ?
Sans cette contrainte, ma méthode fonctionne et ce sont des composants classiques.
Non,
je voudrais (en pensée) faire avec des polarisations circulaire ce qu'on a fait avec des polarisations linéaires.
le polarisateur 1 etait de directin fixe et vertical je la voudrais maintenant fixe et ciculaire gauche.
le deuxieme etait inclinable je voudrais faire de meme avec un déphasage theta pour un polariseur circulaire a droite
je me demande si ainsi on aurait exactement pour un meme theta les memes franges. dans le cas linéaire qu'on a deja vu
et dans cette nouvelle expérience.
En sortie de fente 1 : on a une polarisation circulaire gauche : OK
En sortie de fente 2 : on a une polarisation circulaire droite déphasée de ?
Dans ce cas, c'est des fentes d'Young classiques : avec une visibilité de 1.
C'est différent de ce que vous proposiez avant : fente 2 passage continu de circulaire droite à gauche.
Pour être plus clair en représentation de Jones, j'ai compris votre dernier message
comme
alors que le premier était
et l'avant dernier comme
Merci pour l'élagage Deedee81.
le fil semble aller vers sa fin.
en fait ce que j'en retire c'est ceci
quelque soit le polariseur posé sur une des fentes (linéaire,circulaire gauche ou droit, voire elliptique) il existe un polariseur physique
"orthogonalt". s il est linéaire comme dans l'article ce sera le meme polariseur dans une direction a 90 degrés, s il est circulaire gauche l'autre sera circulaire droit etc.
Par un changement de base par rapport a H,V on prend les vecteurs de Jones dans cette nouvelle base et on a
deux vecteurs (1, 0) et (cos(theta), sin(theta)).En reprenant exactement les calculs de l'article on retrouve avec ces nouveaux polariseurs les memes courbes d'intensité.
Ou sont les particules? On est la! On est la! (deux fentes de Young)
Puisqu'on en a enfin fini avec les formules j'aimerais vous poser une question. Yen a t il parmi vous qui se sont dit un jour: Mais c'est bien sur! l'électron passe par les deux fentes puis interagit avec lui meme!
Avec l'interprétation par les boucles aller et retour pour chaque boucle possible la particule en allant de la source a l écran n'y va qu a travers une seule source. Ca n'a pas de valeur explicative mais on ne le demande pas a une interpretation.
@gts2
j'ai trouvé une définition alternative de la visibilité des franges donnée par Alain Miffre.
si l'intensité I en un point I0 (1 + V sin(ap+b)
alors ceci définit V comme la visibilité des franges.
tu avaid pris comme champ éléctrique E une formule stye f1(p) (1,0) + f2(p) (cos(theta),sin(theta)) et calculé l'intensité
EE^* calculé Imax et Imin et utlise V= (Imax - Imin)/(Imax + Imin)
En fait I peut en dévelommant la formule etre mis sous la forme
I0(1 + cos(theta) * terme oscillant)
la visibilité est donc égale a cos (theta) comme tu l'avais trouvé!
Ou sont les particules? On est la! On est la! (deux fentes de Young)
Je viens de comprendre enfin comment agissent les différentes facons d'éclairer les fentes et ce que ca donne au point de vue des franges, visibles ou moins.
on a deux fentes de Young tres fines G et D et on dit souvent que le photon a la meme probabilité de passer par les deux fentes.
en fait si on utilise les matrices de densité, on voit qu'on a deux cas opposés.
1er cas,
l'onde en entrée est une superposition
dans la base orthonormée G , D la matrice densité s'écrit
derriere les fentes on a assez lin un écran. soit P un point d'absice x sur l écran. on a une amplitude compmese g(x) associée au segment GP et d(x) pour l'autre segment.
pour calculer l intensité en P avec la matrice densité on doit calculer
ca donne (g(x) + d(x) multiplié par son conjugué. on retrouve la regle disant d'additionner les amplitudes puis de passer au carré du module.
2eme cas
l'onde en entrée est un mélange statistique 50 50 sans superposition.
dans la base orthonormée G , D la matrice densité s'écrit
si on calcule l'intensité au point x comme dans le primier cas on obtient |g(x)|^2 +|d(x)|^2 . pas d'interférnence. Comme si on avait des impacts de balles de fusil.
ca devient moins habituel quand on utilise une lumiere décrite par une matrice densité
calculons l'intensité en P
ca donne
on a vu ailleurs que si l'intensité est donnée par la moyenne classique + le terme oscillant multiplié par un nombre v ce nombre v est la visibilité des franges. elle est donc donnée par
ceci est écrit dans le langage de la MQ mais je suis persuadé que ca peut se traduire (par gts2?) en terme de lumiere entierement polarisée, non polarisée ou partiellement polarisée.
Ou sont les particules? On est la! On est la! (deux fentes de Young)
rectificatif
En fait l intensité = intensité classique +
Pour avoir une factorisation comme avec la formule de visibilité il faut prendre w réel (entre -1 et 1)
on a alors intensité = intensité classique + w multiplié par
et w est bien la visibilité qui multiplie le terme oscillant en x.
Dernière modification par ornithology ; 20/10/2020 à 14h36.
Ou sont les particules? On est la! On est la! (deux fentes de Young)
Je ne comprends pas trop vos calculs :
- où est passé le 0,5 de la matrice ?
- il n'y a pas nécessité de w réel
- g et d sont de norme 1 ?
- si g et d sont unitaires, la visibilité est d'après votre expression :
Sinon, pour la lumière partiellement polarisée, voir matrice de Mueller ou sphère de Poincaré.
g(x) est l amplude complexe du champ en P provenant de la fente gauche. Dans le cas général w est complexe mais je peine a obtenir 1 + v sin (ax +b)
g(x) complexe OK, mais ma question était : normes de g et de d égales à 1.
C'est peut-être évident : si on était en MQ classique g(x) serait la fonction d'onde normalisée, mais là c'est des photons, c'est pour cela que je demande à ce que cela soit précisé.
Une fois ceci éclairci, on pourra passer à "1 + v sin (ax +b)"
Je pense arriver au bout de mes peines (merci a gts2 pour nos échanges par mp).
Il ne faut pas s’accrocher a cette histoire de 0,5 en fait ca apparait dans des cas particuliers comme les paires de Bell. Une matrice densité générale s’écrit:
et elle vérifie les propriétés indique dans wikipédia
somme des éléments diagonaux = 1. w n est pas un nombre quelconque , il peut
etre nul mais pas trop grand. Ainsi si les éléments diagonaux sont égaux a 0,5
il ne peut etre égal a 10 i car en élévant rho au carré la somme des des éléments
diagonaux serait supérieure a 1.
Cette matrice décrit le champ au niveau des fentes. On considere ensuite la variation de phase pour aller d’une fente au point P d’impact. Il faut multiplier la valeur par g(x) pour un passage par la fente de gauche et par d(x) pour la fente de droite. ici l'écran est loin des fentes et l'onde arrivant sur l'écran est quasi plane. si on était pres des fentes g(x) et d(x) seraient plus compliqués.
On forme ainsi avec le vecteur ligne son transconjuqué et la matrice densité un produit matriciel qui donne l’intensité du champ en P.
on trouve le classique mais aussi le terme oscillant quand x varie
c’est une somme d’un nombre complexe et de son conjugué il est réel et peut etre positif ou négatif
c’est lui qui en changeant de signe quand x varie va s’ajouter ou se soustraire a la courbe en cloche pour donner les franges.
Écrivons et
wz + conjugué =
=
la valeur maximale est atteinte quand ce cosinus est égal a 1 cad quand dg* est
colinéaire avec w* alors 2r s'ajoute a l’intensité ou quand le cosinus = -1 on retire 2r.
la visibilité est
vérification avec un cas pur avec pour matrice
0,5 0,5
0,5 0,5
on a w = 0,5 = r et donc visibilité = 1.
Ou sont les particules? On est la! On est la! (deux fentes de Young)