Il me semble que ça a déjà du être donné ...
http://www.nextbio.com/b/search/author/Guo-li%20Ming
http://www.nextbio.com/b/search/arti...Ming&t0=author
...
http://news.biocompare.com/News/News...tal-Brain.html
http://www.jle.com/e-docs/00/04/37/3C/article.phtml
C'est intéressant, ca retrace l'expérience de Searles, mais je ne sais pas si ca pourrait vraiment t' "aider".Envoyé par Rhedae
Ca serait pas inutile, vu que je ne suis pas sûr d'avoir compris ce que tu veux dire.
Mais je ne développerais pas ...
J'aimerai également avoir ton avis octanitrocubane...
Amicalement,
ouais, le nom complet c'est "thérapie systémique brève", genre tu as une feuille ou tu notes toutes tes délires ou synchronicités en temps réel, puis tu dois te forcer à écrire l'explication rationnelle pour chaque occurrence...c'est un genre de reprogrammation mentale, ça peut pas faire de mal!!!
Ce mot ne me plait pas : "debilitating" c'est affolant d'être traité de débile !
On est pas débile, on est juste sous-déficient !
@ +
PS : Houuu lààà hoppp ! je n'ai pas trois bras attendez que je réponde !
Moi j'aime bien aussi ce mot self-debilitating.
Prends ton temps !
De toute façon, moi...
Bonne nuit à tous ! Amicalement,
Bon tout d'abord nerd9, si tu t'adresses à moi, fait moi signe que je ne sois pas dans la panade ... !ouais, le nom complet c'est "thérapie systémique brève", genre tu as une feuille ou tu notes toutes tes délires ou synchronicités en temps réel, puis tu dois te forcer à écrire l'explication rationnelle pour chaque occurrence...c'est un genre de reprogrammation mentale, ça peut pas faire de mal!!!
Merci !
Bonne nuit à toi aussi accroc à la Physique ...Prends ton temps !
De toute façon, moi...
PS : Remarque il vaut mieux être accroc à une discipline plutôt qu'à l'alcool ou à la clop !
@ +
Bon pour jreeman et physikaddict, je vais essayer d'expliquer : Je pense tout d'abord qu'on ne guérit pas de la schizophrénie, au mieux, on peut l'atténuer, il faut savoir qu'1/3 des schizophrènes régressent dans leurs maladies, un autre 1/3 se stabilisent tant bien que mal et un dernier 1/3 arrivent à supporter la maladie et réussissent à s'en sortir !
Personnellement je suis dans le 1/3 qui se stabilise donc au milieu de la liste, le truc c'est que je veux m'en sortir mais c'est pas gagné à cause de mes addictions ! Le vin par exemple :, et sinon la clop :
, ouais parce que je me détruis lentement mais sûrement, mais je n'évolue pas, il n'y a pas de changements dans ma vie pourtant j'aimerais bien, mais je m'accroche à la solitude ...
Bon je ne vais pas m'étendre, ou sinon je risquerais de parler de moi ... c'est déjà fait ... Ah bon je ne m'en étais pas rendu compte !
@ +
@jreeman,
http://www.jle.com/e-docs/00/04/37/3C/article.phtml
J'ai pas compris en quoi consistait l'expérience dans la figure 01 quand on déroule l'illustration du résumé .. Si tu pouvais m'expliquer ? Ce serait cool parce que ca l'air bien intéressant , l'histoire du bouclage .. Mais en quoi c'est une anomalie cognitive ..Le bouclage ne correspondrait pas à une sorte de calcul mental refait de nombreuse fois pour vérifier "quelque chose" ou le calcul en lui même induit cette sensation de constance et de synchronisation d' évènements qui à priori n'ont pas de rapports ? C'est en mode automatique dans ce cas , ce que je veux dire qu'on peut contrôler ce bouclage ou sa périodicité en utilisant des psychotropes ?
En fait ce qui est "drôle" c'est que les praticiens ceux sur le terrain qui suivent les patients (et se prennent tout notre dégueuli à longueur de journée) , utilisaient surement des substances en constatant leurs effets bénéfiques, mais sans comprendre pourquoi, en fait ...
Je suis déjà au delà ... !
Et un peu plus chaque fois que je me réveille !
@ +
C'est Myoper qui a posté le lien. D'ailleurs, c'est vrai que ca a l'air intéressant mais là, je n'ai pas eu le temps de le lire.
En fait, je crois avoir compris, l'expérience:
Il font apparaitre sur un écran un chiffre, précédé d'un autre chiffre subliminal, cad qu'il apparait durant quelque microsecondes, juste assez court pour que l'œil ne puisse le distinguer ..Mais apparemment ils ont mit en évidence que le chiffre subliminal était perçu par le cerveau.
MerciBonne nuit à toi aussi accroc à la Physique ...
PS : Remarque il vaut mieux être accroc à une discipline plutôt qu'à l'alcool ou à la clop !
@ +
Merci des explications !Bon pour jreeman et physikaddict, je vais essayer d'expliquer : Je pense tout d'abord qu'on ne guérit pas de la schizophrénie, au mieux, on peut l'atténuer, il faut savoir qu'1/3 des schizophrènes régressent dans leurs maladies, un autre 1/3 se stabilisent tant bien que mal et un dernier 1/3 arrivent à supporter la maladie et réussissent à s'en sortir !
Personnellement je suis dans le 1/3 qui se stabilise donc au milieu de la liste, le truc c'est que je veux m'en sortir mais c'est pas gagné à cause de mes addictions ! Le vin par exemple, et sinon la clop : , ouais parce que je me détruis lentement mais sûrement, mais je n'évolue pas, il n'y a pas de changements dans ma vie pourtant j'aimerais bien, mais je m'accroche à la solitude ...
Bon je ne vais pas m'étendre, ou sinon je risquerais de parler de moi ... c'est déjà fait ... Ah bon je ne m'en étais pas rendu compte !
@ +
FS est déjà un premier pas...il n'y a pas de changements dans ma vie pourtant j'aimerais bien, mais je m'accroche à la solitude ...
Amicalement ! Bonne soirée.
j'avai compri je suis psychotique et je prend du risperdal . Mais ca , je trouve pas que ce soit une définition personnelle des symptomes d'ou le fait que j'ai l'impression que le fait de se "tourner" vers sa maladie entraine la dissociation ... Et puis non , pour moi , ce n'est pas "si simple" ... C 'est une maladie sacrée pour moi , pas un "simple" truc. Ca nous "bouffe la vie" ... mais c'est quoi la "vie" ? a chaque fois qu'on définit les symptomes , on sort de soi meme , on s'étudie comme des ingénieurs qui font des calculs sur quelquechose de concret ... mais bon sang ou est passé le spirituel , les bonnes vieilles théories sur cette "maladie" ? On dirait que les deux soit disants schyzos de ce sujet s'amuse à dire que c'est grave pour qu'on soit ébahi ... Mais ne peut on pas vivre avec la schyzophrènie ? Moi aussi j'ai l'impression que je me détruit , tout fait peur , n'est-ce pas octanitrocubane ? mais je comprends pas ce "1/3"...Ben c'est simple, c'est une maladie très handicapante : le repli sur soi, la fatigue extrême sans trouver le repos, etc ... bref tout les symptômes de la maladie empêchent d'avoir un boulot à responsabilité quand ce n'est pas un boulot tout court, une vie familiale sereine, etc ...
bref, pour tout les aspects de la vie de tout les jours il y a des difficultés c'est pour çà que c'est une maladie grave ...
Cordialement,
etant obliger de hair sa "maladie" , lorsque je le faisai au début , je me reniait , plus maintenant
C'est pas une question de se trouver malfaisant !
Cordialement,
comment peut-on avoir une vie sociale si on se tourne sans arrêt vers sa maladie , en la pointant du doigt ? Peut-on avoir une vie ?Oui c'est contradictoire, si tu ne te mets pas en situation d'hypersensibilité, si tu ne connais pas d'épisodes durant ta vie. Mais si tu commences à mettre des mots comme hallucinations sur tes perceptions et pas "visions sacrées", alors tu identifies facilement que tu es, ou étais, en phase maniaque par exemple. Moi j'appelle cette étape dans la guérison: la désacralisation.
Si tu as déjà eu de nombreux épisodes, alors tu es conscient que tu es en crise plus facilement, c'est une perception modifié déjà connu et identifiée... Cela dit tu délires, tu le sais mais tu es convaincu de tes perceptions sensibles (c'est pas forcement désagréable) .
C'est surtout les autres que cela dérange , en tout cas dans mon cas personnel.
C'est aussi ce que voulait dire Octi, je crois, tu ne peux pas rester dans cet état et avoir une vie sociale épanouie, ne serait-ce que parce que pour les gens normaux: tu sembles "bizarre". De plus dans cet état, tu interprètes tout à double aiguille, une phrase simple, tu peux l'interpréter, tout à fait à coté du sens commun (la plupart du temps), cela ne facilite pas la communication .
...et renforce pour les autres cette impression de bizarrerie .
si on essaye de changer , la maladie est plus forte , personnellement j'ai peur de "guérir" . Ne peut on pas vivre sans hair sa maldie ? je trouve qu'une grande partie de la maladie se calmerait si on rentrait cette "chose" dans notre pesonnalité
qu'en pense -t-u octi ?
C'est pas une question de se trouver malfaisant !
Cordialement,
j'ai l'impression d'apprendre des trucs sur moi même en regardant les derniers liens et oeuvres qui on été citées .
pour te répondre octani , je parler pas de se trouver malfaisant , mais plutot de ne pas se considérer justement ... Au début je me tournait vers ma maladie , et j'avais l'impression que je n'étais plus moi , d'ou la dissociation ... As-tu toujours cet impression de pointer du doigt ta maladie , ou la vit tu ?
Bonjour,
Je pense que cette question se pose avec beaucoup de maladies (voir d'autres problèmes d'acceptation).
Il faut trouver l'équilibre entre réflexion sur soi et regard vers l'extérieur, entre énergie allégée à gérer sa maladie et part d'acceptation pour ne pas s'épuiser, etc...
Cordialement,
K
Nomina si nescis, perit et cognito rerum.
Cette discussion est très intéressante .... Je me permet de vous recommander ce livre qui traite uniquement des applications médicales du cannabis. On y parle notamment de la schizophrénie, dont la relation avec le cannabis n'est pas encore completement comprise. A ma connaissance, cela est complexe : le CBD (cannabidiol) du cannabis ou du chanvre est anti-psychotique (il y a des ref dans le livre), alors que d'autres peuvent être psychotique.
ici le lien vers le livre du Dr Grotenhermen : www.editions-indica.com
Et que faites-vous de la supra-conscience ? Celle qui permet d'ouvrir les 90% de connexions neuronales du potentiel de notre cerveau et qui demeure encore profondément endormie dans les 96% des êtres humains de la planète ?
Lassolas.
Le jour où une quelconque "supra-conscience" et ces chiffres seront prouvés et démontrés (cf. le point 6 de la charte),travaux corroborés à l'appui, on en reparlera.
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
La schizophrénie est véritablement une maladie qui pourrit la vie au quotidien. Dans cet univers tout devient complexe et il devient même difficile de faire un pas en avant.
Cette difficulté à relativiser l'importance des choses est le plus gros problème rencontré par ces malades qui perdent rapidement toute crédibilité.
Cordialement
Est-ce pour autant qu'il ne faut pas s'interroger et se poser des questions jusqu'à obtenir réponse ? N'est-ce pas cela le fondement de la sciences ? N'est-ce pas à travers cette démarche que les grandes découvertes ont vu le jour ?
Un scientifique se doit de se demander pourquoi, tout au long de sa vie...
Lassolas.
Mais pas n'importe comment sur tout et n'importe quoi. Il existe une méthode: la démarche scientifique, qui entre autres, te permets aujourd'hui d'utiliser Internet, la voiture, les avions, de bénéficier de la médecine moderne, et j'en passe. Pour cela on se base sur des observations, des mesures, donnant des théories et/ou des modèles, avec travaux et publications, corroborés et vérifiés, retoqués ou ajustés au besoin, etc...
Il ne suffit pas de se poser des questions tout le temps pour s'imaginer "faire de la science".
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Soit, si tel est ton point de vue... Certains pyschiatres disent même que la folie est un autre niveau de conscience.
Pour ma part, lorsque je ne connais pas un domaine quel qu'il soit, je m'interroge, je me bouscule les méninges jusqu'à l'insomnie, et la réponse m'est donnée parfois la nuit, au réveil ou par un déclic en cours de journée quelque temps plustard. Mais je n'en reste pas sur une seule constatation, je corrobore ces états de fait à maintes reprises dans mes recherches sur le terrain et dans ma vie. Et à force de chercher, je trouve. J'en suis même arrivé à découvrir la présence de ce que je cherche même dissimulé sous la Terre. Je pose une question à mon cerveau, je lui fout la paix en pensant à autre chose et comme par magie, mes pas me guident vers le lieu que je recherchais au préalable.
Il ne t'est pas donné désir sans que te soit donné le pouvoir de le rendre réalité.
Il faut tout de même de méfier de ce que l'on pense...
En clair, où se place ton esprit, ton corps s'applique à le suivre.
Le cerveau est un ordinateur autoprogramable qui peut t'apporter les réponses les plus innattendues. La plus grande puissance du cerveau réside dans son pouvoir de croyance et d'imagination.
Ce que tu crois ou ce tu amagines est plus fort que ce tu vis.
Exemple: Si ton meilleur ami te dit que ta femme te trompe, tu vas avoir un doute et devant son insistance, tu vas finir par le croire même sans preuve, et ton imagination va faire le reste... Et même si au final tu as la preuve du contraire, tu l'as tout de même cru, imaginé et le doute ne te quitte plus jamais.
Pour ma part, j'utilise tout simplement mon imagination pour quelque chose de plus positif et constructif à mon équilibre personnel.
Dans cette force inconnue, cette supra-conscience, réside une grande puissance de l'esprit où sommeillent chez les grands savants, les connaissances de demain.
Ce qui ne veut pas dire que suis un grand savant, mais je me pose tout de même, tout le temps des questions.
Lassolas.
Ca n'est pas MON point de vue. Demande à la communauté scientifique, ici ou ailleurs...
C'est le minimum syndical. Personne n'est une équipe de recherche en soi.
Ce qui montre à nouveau la différence entre croyance (voire autosuggestion) et science, et le confort intellectuel apporté par la croyance, qui ne s'encombre pas de preuve.
D'où la prolifération de gourous et prophètes plus ou moins doués...
Mais quel rapport avec la schizophrénie?
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Oui c'est ce que je me demandais ... !
@ +
Puisque tu commences à me chercher des histoires, je te laisse dans ta Schizophrénie.
Je voulais tout de même te faire comprendre quelque chose d'essentiel à la nature humaine.
Lassolas.
