Bonsoir en cette journée d'automne chaud !
D'où viennent les idées ? Pendant la nuit ?
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Bonsoir en cette journée d'automne chaud !
D'où viennent les idées ? Pendant la nuit ?
peut être en pissant dans la nuit s'il y a pleine lune et que t'as bu en un coup de trop alors que tu es gemeaux assendant balance, et que la température est exactement de 17,7 % celcius
j'ai du oublier plein de paramètres, excuses moi de ma reponse qui n'est pas scientifiquement complète ...
Bonsoir,
L'idée co-émerge avec le langage, la communication, la conscience, et les formes d'intelligence et de créativité qui en découlent.
Cordialement,
Amusant sans plus ...peut être en pissant dans la nuit s'il y a pleine lune et que t'as bu en un coup de trop alors que tu es gemeaux assendant balance, et que la température est exactement de 17,7 % celcius
j'ai du oublier plein de paramètres, excuses moi de ma reponse qui n'est pas scientifiquement complète ...
Oui c'est ça que je cherchais comment apparait une idée créative sans bagage culturelle et quel est le langage du rêve ?
j'ai repondu avec un humour de potache car la question me semble extrèmement mal posée, et pour moi aller dans toutes les directions avec des mots très généralistes.
ça par exemple :
quand je pense que sur d'autres sujets, on tire à boulet rouge sur un manque de précision, de définition et d'apport scientifique.
je reste un peu baba devant la puissance de ces reflexions !
Entièrement d'accord, si l'auteur ne précise pas mieux sa question pour qu'on puisse lui faire une réponse à peu près correcte, le fil court à sa fermeture qui ne dépend pas de moi.
Bonjour Lepapenoir,
Après ce tissus d'idées nauséabondes ci-dessus(dont le modérateur confirme cette règle d'accueil des nouveaux intervenants), je pense que les idées viennent de la volonté d'agir sur le monde qui nous entoure, soit par absence de satisfaction d'un besoin(qu'il soit vital, nécessaire ou futil), soit par volonté d'exister vis à vis des autres d'où découle la reconnaissance.
Cordialement.
Pour le scientifique n'étant pas spécialiste de neurologie je repasserai
Mais quand on dit que la nuit porte conseil que c'est un peu subit d'avoir une nouvelle idée ou bien solution alors ?
Pour rester dans le cadre de ce forum et pour ne pas passer pour une pov merde, que pensez-vous de ceci : comment sont créé les nouveaux mèmes ?
S'il s'agit d'un langage, il n'utilise pas vraiment une démarche scientifique, le rêve, avec des cognitions s'associant de manière incontrôlée, étant imagination et l'imagination étant éventuellement un ensemble d'axiomes non considérés, la démarche scientifique préférant se baser sur des faits.
Les interprétations de rêves n'ont donc pas leur place sur ce forum.
En plus, le substantif langage me paraît mal employé dans ce cas. Il s'agit plutôt de pensée, et de ne pas confondre la pensée et le langage, même si tous deux sont fortement entremêlés.
Les cognitions me semblent d'abord venir de nos expériences esthétiques (perception des environnements par les (cinq) sens). Ensuite, il y a le développement du cerveau et son activité. Mais je ne m'y connais pas en neurosciences.
Il semble que les mèmes ne soient pas tous les mêmes, même s'il vaut mieux qu'une discussion n'aille pas dans tous les sens.
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
On ne devrait avoir que celle-la:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Friedri...von_Stradonitzil rêve de l'ouroboros.
... qu'il recherche depuis des semaines! Cependant les historiens débattent encore la vérité de cette histoire; certains croient que Kekulé l’aurait inventée lorsqu’il l’a racontée en 1890.
Rêver de ce qui nous préoccupe depuis des semaines n'est pas tellement étonnant et l'idée, il faut bien l'avoir à un moment donné mais ça ne préjuge pas d’où elle vient (sauf peut être de la réflexion, si tant est que ça fasse avancer le schmilblick).
bonjour,
si on parle des "idées" dans le sens de la pensée, il y a bien nécéssairement une utilisation du langage pour en exprimer un aspect rationnel.
La question des mécanismes aboutissant à la pensée est à mon avis très complexe.
Néanmoins, on peut déja je pense définir les limites d'expression de la pensée (vue ici comme les mécanismes cérébraux bruts) de l'être humain qui sont la complexité et la simplicité.
Passé une certaine complexité, l'idée n'est plus exprimable et "passé" une certaine simplicité l'idée n'est pas exprimable (quelque-soit la forme de vie).
Le fait qu'il ne soit pas possible d'exprimer la pensée la plus simple ne suppose par ailleurs en rien de l'inexistence des processus physiques de la pensée à cette échelle.
Un insecte comme une abeille par exemple serait à ce titre mieux outillé que nous pour exprimer des idées (aspect rationnel de la pensée) simples sur la base de sa pensée simple.
Bon je tente la précision, une "idée", oui c'est trop général alors je vais rester dans le champ scientifique.
Il y a les théories et la technique : dans les théories je dirais qu'on peut avoir différente sorte d'idées, postulats, principes, lois, équations = théorie comment décortiquer cela ?
Dans la technique, c'est plus concret, alors comment certain arrive un jour à déposer un brevet ? C'est bien qu'ils ont eu un jour un prémisse d'idée ou alors je n'ai pas tout suivi
Bon, allez, je me jette à l'eau. La question candide de ce fil sera pour moi :
C'est quoi une idée ?
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
L'idée nait du chaos. C'est une forme de l'émergence.
J'ai archivé les messages qui ne traitaient pas la question initiale. Laissons les abeilles tranquilles.
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
La réponse de candide sera pour moi..
Ce qui permet de faire autrement que ce on aurait fais sans reflexion...
Cordialement
PS: bah oui, c'est bancal mais c'est une réponse de candide...
Mon premier message ayant été surinterprété, pour ce qui concerne l'exemple donné, je vais donc essayer d'être plus explicite et me limiter à la description du mécanisme aboutissant à l'idée chez l'être humain.
Le cerveau est une structure vivante qui pour ce qui concerne sa fonction cognitive peut être vue comme un assemblage de structures transformant des signaux ('l'information" est initialement peu "typée" (sinon par son origine et quelques caracteristiques d'intensité), et se présente sous forme d'influx nerveux sans grande signification en soi).
De plus, ces assemblages (toujours selon le point de vue de la fonction cognitive) sont organisés de manière hierarchique (mot pris dans le sens de regroupement), et ces regroupements successifs (à plusieurs "étages") donnent lieu à des "zones" dont on dit qu'ils sont le "siège" d'une fonction cognitve (transformation de signaux en "information") que l'on sait impliqué avec la fonction cognitive qui a lieu à ce niveau hierarchique.
La pensée est l'ensemble des processus bruts de type cognitifs (en rapport donc avec le traitement des signaux aboutissant à l'information) qui ont lieu au sein de cette structure.
Cette pensée là ne présente pas de logique particulière, c'est à dire qu'elle est capable de tout type de traitement, de tout type de "calcul", ce qui lui permet de traiter tout les signaux, simplement de manière adéquate.
La majorité des processus de cette pensée, particulièrement ceux qui s'effectuent à un niveau hierarchique bas ne sont pas accessibles à la conscience (ne rentrent pas dans le mécanisme de la conscience).
A un niveau hierarchique plus élevé, nous avons une structure particulière, très développée chez l'être humain contrairement à d'autres espèces animales, qui est le cortex cérébral.
Ce cortex communique avec les zones hierarchiquement plus basses et présente une caracteristique intéressante qui est celle de fonctionner selon certaines logiques.
C'est à ce niveau que s'établit " la pensée" (l'idée que nous nous faisons communément de ce qu'est la pensée) qui bénéficie de la logique baysienne, et le traitement "binaire" de l'information basée sur la notion de catégorie.
Ces types de logique sont adaptées à la compréhension de l'environnement et à l'interaction avec celui-ci, car lui-même fonctionne macroscopiquement (pour ce qui est de la materialité des choses) selon ces mêmes logiques.
On donc à ce niveau hierarchique, des mécanismes, typés du point de vue de la logique, que l'on retrouve par exemple dans la zone du langage.
Le langage est en premier lieu interne, et c'est à ce niveau de la "pensée" qu'apparaissent les idées.
Cette pensée est dite "rationelle" contrairement à la pensée au sens vrai qui est, elle, irrationelle (sans logique particulière).
Je vais m'arreter là pour le moment, histoire déjà de voir si on est bien d'accord sur ce qu'on appelle les "idées" et éventuellement corriger ou détailler les mécanismes et principes évoqués.
Sinon, une définition intéressante ici :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Id%C3%A9eEnvoyé par WikipediaChercher des Idées est la quête du philosophe.
Une idée est une représentation de l'esprit.
C'est un élément de l'univers intérieur humain qui s'appuie et se construit à travers des images diffuses et oniriques.
L'idée n'existe que si elle est exprimée, autrement elle reste une partie d'une élaboration mentale (proche de la conscience).
bonjour,
il y a deux type de vision ou définition qui cohabite ici.
"lidée" en tant que process géneral ( par exemple ce que tente de décrire xoxo )
et "l'idée" présentée par le primo-posteur qui évoque "l'idée nouvelle", la découverte .. ( on parle de brevet , etc..)
sur le second point, il est fréquent d'y voir le fruit d'une personne , qui incarne cette sorte d'emergence.
une sorte d'adam de l'IDEE en question.
le boson de Higgs restera celui de Higgs seul dans les mémoires.
déjà aujourd'hui la pensée commune est relativité = einstein.
etc.
outre que cette défomation ne soit pas juste factuellement, elle est fausse dans les déductions qu'elle peut entraîner.
à savoir, la notion de génie spontané et l'apparition "ex nihilo" incarné par une forme d'expression quasi surhumaine.
le constat réel est que les grandes avancées se font au même moment ( ou presque ) partout au même moment dans le monde.
les uns allant juste un tout petit peu plus vite ( à peine ) que les autres.
s'en suit, un nom qui reste, ou à plus petite échelle un brevet déposé juste avant l'autre.
( guerre de vitesse souvent ).
on constate donc, il me semble, qu'avec les mêmes données ( observations et théories existantes ) on observe des raisonnements similaires.
même en l'absence de communication directe permanente.
En ce sens, seul le point 1) me semble potentiellement interessant à developper.
avec un gros point dur, c'est que d'un point de vue purement neurologique, on ne sait pas répondre .. aujourd'hui.
Ansset : "le constat réel est que les grandes avancées se font au même moment ( ou presque ) partout au même moment dans le monde."
Même résultat d'une expérience, avec les mêmes éléments, dans un même milieu. Dans notre cas, les éléments sont humains.
"Un homme pauvre, qui trouve une bonne idée, m'a toujours fait l'effet d'un morceau de pain dans un vivier : chaque poisson vient lui donner un coup de dent...Invente, et tu mourras persécuté comme un criminel; copie, et tu vivras heureux comme un sot." Honoré de Balzac, dans les Ressources de Quinola, 1842
Vous dites que le cerveau est un mécanisme hiérarchisé et modulaire de traitement de l'information.Mon premier message ayant été surinterprété, pour ce qui concerne l'exemple donné, je vais donc essayer d'être plus explicite et me limiter à la description du mécanisme aboutissant à l'idée chez l'être humain.
Le cerveau est une structure vivante qui pour ce qui concerne sa fonction cognitive peut être vue comme un assemblage de structures transformant des signaux ('l'information" est initialement peu "typée" (sinon par son origine et quelques caracteristiques d'intensité), et se présente sous forme d'influx nerveux sans grande signification en soi).
De plus, ces assemblages (toujours selon le point de vue de la fonction cognitive) sont organisés de manière hierarchique (mot pris dans le sens de regroupement), et ces regroupements successifs (à plusieurs "étages") donnent lieu à des "zones" dont on dit qu'ils sont le "siège" d'une fonction cognitve (transformation de signaux en "information") que l'on sait impliqué avec la fonction cognitive qui a lieu à ce niveau hierarchique.
La pensée est l'ensemble des processus bruts de type cognitifs (en rapport donc avec le traitement des signaux aboutissant à l'information) qui ont lieu au sein de cette structure.
Cette pensée là ne présente pas de logique particulière, c'est à dire qu'elle est capable de tout type de traitement, de tout type de "calcul", ce qui lui permet de traiter tout les signaux, simplement de manière adéquate.
La majorité des processus de cette pensée, particulièrement ceux qui s'effectuent à un niveau hierarchique bas ne sont pas accessibles à la conscience (ne rentrent pas dans le mécanisme de la conscience).
A un niveau hierarchique plus élevé, nous avons une structure particulière, très développée chez l'être humain contrairement à d'autres espèces animales, qui est le cortex cérébral.
Ce cortex communique avec les zones hierarchiquement plus basses et présente une caracteristique intéressante qui est celle de fonctionner selon certaines logiques.
C'est à ce niveau que s'établit " la pensée" (l'idée que nous nous faisons communément de ce qu'est la pensée) qui bénéficie de la logique baysienne, et le traitement "binaire" de l'information basée sur la notion de catégorie.
Ces types de logique sont adaptées à la compréhension de l'environnement et à l'interaction avec celui-ci, car lui-même fonctionne macroscopiquement (pour ce qui est de la materialité des choses) selon ces mêmes logiques.
On donc à ce niveau hierarchique, des mécanismes, typés du point de vue de la logique, que l'on retrouve par exemple dans la zone du langage.
Le langage est en premier lieu interne, et c'est à ce niveau de la "pensée" qu'apparaissent les idées.
Cette pensée est dite "rationelle" contrairement à la pensée au sens vrai qui est, elle, irrationelle (sans logique particulière).
Je vais m'arreter là pour le moment, histoire déjà de voir si on est bien d'accord sur ce qu'on appelle les "idées" et éventuellement corriger ou détailler les mécanismes et principes évoqués.
Sinon, une définition intéressante ici :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Id%C3%A9e
En quoi votre description diffère-t-elle de celle d'un ordinateur ?
En quoi les pensés diffèrent-elle d'un traitement de l'information par un ordinateur ?
Ce n'est pas le sens de ma remarque. Je dis que votre description ne diffère en rien de celle d'un ordinateur. Hors un ordinateur ne pense pas, bien qu'il traite de l'information.
Vu comme cela , on peut comparer certains humains en tant que robot biologique si ces humains pensent toujours suivant les memes schémas sans émettre une idée non conforme a leur systeme de pensée ?
Vous pouvez faire la même chose avec le climat, l'économie, l'atomistique etc. c'est à dire présenter des modèles avec des mécanismes selon un "point de vue".
Ca n'en fera pas des ordinateurs même si les modèles peuvent présenter des similarités avec le modèle de l'ordinateur.
Il ne faut pas confondre, je pense, la "chose" et son modèle.
Si deux modèles sont identiques pour deux choses, cela n'implique pas que tous les modèles qu'on peut produire à partir de ces deux choses soient identiques. ("l'identicité" dépend du point de vue et ne concernera que le modèle)
C'est la raison pour laquelle j'ai d'ailleurs bien précisé :
Le "point de vue" est ici celui de la fonction cognitive selon une approche informationelle (pour faire le lien avec la notion d'idée et c'est un choix parmi d'autres) et on sait par ailleurs même si on n'en tient pas compte selon ce point de vue, qu'il s'agit d'une structure vivante (qui possède bien plus de fonctions que la simple fonction cognitive... qui module aussi l'information mais on rentre ici trop dans le détail).Envoyé par XoxopixoLe cerveau est une structure vivante qui pour ce qui concerne sa fonction cognitive peut être vue comme un assemblage de structures transformant des signaux ('l'information" est initialement peu "typée" (sinon par son origine et quelques caracteristiques d'intensité), et se présente sous forme d'influx nerveux sans grande signification en soi).
Pour aboutir à une tentative de réponse à cette question, je propose d’emprunter ce chemin d’idées. Et c’est parti !
La psychologie, dans son ensemble, est essentiellement constituée de l’ego, de souvenirs et d’émotions. L’ego est régi par deux principes forts simples : « il doit s’exprimer afin de percevoir qu’il est là, par le résultat de son expression, et il doit sans cesse se nourrir afin de ne pas disparaître. » L’ego recherche continuellement de la nourriture pour stimuler ou pour exciter ses souvenirs afin de préserver sa « conscience » qu’il a de la vie. La conscience qu’a l’ego de lui-même vient du fait qu’il est capable d’induire des traces dans la psychologie, donc dans les souvenirs, et qu’expérimentant ses traces, il expérimente sa présence. Pouvant expérimenter qu’il a été, il en conclut qu’il est. Cette caractéristique de l’ego le met donc dans une recherche toujours soutenue d’expériences. Il peut expérimenter directement la vie par l’intermédiaire de son corps, mais il peut aussi l’expérimenter par le contact avec le monde actuel, l’instantanéité : par l’imagination et le rêve.
Quoi qu’il en soit, en plus de cette recherche de nourriture, l’ego a besoin de vérifier s’il est toujours vivant, s’il est toujours là. Pour cela, il doit influencer l’extérieur, y laisser une trace mémorisable dans ses souvenirs, puis expérimenter ce souvenir. L’ego doit donc sans cesse s’exprimer, c’est ce mécanisme que nous appelons la recherche de la sécurité. La pensée n’est pas du domaine matériel puisque ce n’est pas le cerveau qui pense. Le cerveau humain ou n’importe quel organisme vivant (cellule, termite, etc.) est comme un récepteur radio : il capte, décode et exprime ce qu’il reçoit. La psychologie a besoin du corps physique, car sinon elle ne pourrait pas connaître ce qui se passe chez elle, si elle ne s’exprime pas. Elle ne peut connaître ce qui se passe en elle que si elle peut prendre connaissance du résultat de son expression. Par conséquence, je propose ceci : Une partie du cerveau sert donc à l’expression de la pensée et une autre partie sert à l’expérience, à l’expérimentation de cette pensée par l’ego.
La quasi-totalité des influx nerveux envoyés au cortex cérébral passent par le thalamus. L’hypothalamus, une autre partie du cerveau, influence la plupart des organes du corps. En dépit de sa petite taille, il est à double titre le timonier du système endocrinien et le centre supérieur du système neurovégétatif. À mon avis, le thalamus serait la région du cerveau qui est en résonance avec la psychologie dans le sens « du corps vers la psychologie ». Tandis que l’hypothalamus serait essentiellement la région du cerveau qui est en résonance avec la psychologie dans le sens « de la psychologie vers le corps ». Ce serait par cette voie que l’ego prend le contrôle presque total du corps. Il s’exprime par celui-ci afin d’engendrer une rétroaction par le biais du thalamus qui lui amène la preuve de son expression.
Bien que d’autres parties du cerveau servent à l’expression de la psychologie, les voies par le biais de l’hypothalamus sont les plus courantes. Chaque vibration créée par l’expérience de l’ego à l’intérieur de la psychologie tend à induire une correspondance au sein de certains neurones (peut-être via les interactions dans les atomes et dans les liaisons entre les atomes?). Ce mécanisme perturbe sensiblement l’agencement des atomes et des molécules de ceux-ci. Ces neurones, sous l’effet de ces vibrations, sont suffisamment stimulés pour induire une dépolarisation, c’est-à-dire d’enclencher la propagation d’un potentiel d’action. Cet influx se dirige vers un autre neurone, via son axone, et dépolarise ce dernier. De neurone en neurone, selon leur agencement, leur génétique, l’influx chemine dans le cerveau. Tout au long de son parcours, il engendre des champs électromagnétiques au niveau des axones, des dendrites et des neurones. Ce sont les ondes captées par les appareils de la science. Ainsi, l’effet de ces vibrations se conclut, soit par une expression endocrinienne ou exocrinienne, soit par une gestuelle inconsciente, soit par les deux. Le reste du cerveau, le cortex entre autres, reste soumis, dans une certaine mesure, à l’ego. Mais une grande partie de celui-ci devient le support de l’intellect, puis du mental.
Dans la psychologie, l’ensemble des souvenirs accumulés par un individu est continuellement en mouvement. Ces mouvements impriment sans cesse une expérience nouvelle pour l’ego. Les traces de cette expérience nourrissent autant l’ego que l’ensemble de la psychologie. Ces vibrations sont continuellement transmises par résonance à l’hypothalamus, puis au reste du cerveau. Une grande partie des expressions restent inconscientes par le fait qu’elles ne sont pas détectables par le thalamus, du moins pas immédiatement. L’ego s’exprime par le biais du corps et n’est pas nécessairement au courant de cette expression pour plusieurs raisons. Il se contente de ce que « ses sens » lui rapportent de l’onde de retour. Il expérimente les réactions causées par son expression, mais ignore la forme de son expression. Tout ce qui n’est pas capté par le thalamus ou qui n’est pas nerveusement assez puissant comme expérience, n’entraîne pas d’induction vibratoire et n’informe pas l’ego. C’est pourquoi l’humain a beaucoup de comportements ou d’expressions physiques inconscientes. Il reste conscient dans une certaine mesure des résultats de son expression, mais rarement de celle-ci.
Ces champs électromagnétiques créés lors de la propagation d’un influx sont perçus par la psychologie. L’ego devient ainsi informé du déroulement de la pensée. C’est ce que nous appelons une idée. Au fur et à mesure que l’ego prend connaissance de cette image, il réagit à son expérience et cette réaction ajuste sa correspondance dans certains neurones par l’effet de sa vibration qui est en résonance avec ceux-ci. La pensée poursuit son cheminement et l’image électromagnétique est changée. C’est ce qu’on appelle la réflexion. Plus il y a de neurones qui se dépolarisent par l’influence des champs magnétiques de neurones adjacents, plus la pensée claire est difficile, sinon impossible. La mutation d’un humain qui se conscientise lui donne un système de neurones plus efficace dans son organisation et plus isolé, plus myélinisé. Plus ce système, c’est-à-dire l’orchestration de ses neurones, est assemblé de façon à limiter les axones en périphérie, plus les perturbations de la pensée sont faibles. Plus les axones, les conducteurs de l’influx, sont isolés, moins ils perturbent les neurones et les axones adjacents et, en plus, ils sont moins influençables par ceux qui les entourent.
Tout cela engendre un mécanisme nouveau dans la structure de la pensée ainsi que dans l’efficacité de l’expression de l’intellect, puis du mental. Pour qu’une expression de la nouvelle conscience, la conscience individuelle, puisse se faire, il est primordial que le cerveau soit imperméable aux perturbations inhérentes à son travail, lors de la réflexion. Selon leur constitution, tous les neurones n’ont pas exactement la même capacité à se dépolariser. Certains s’expriment plus facilement à des degrés bas en vibrations, d’autres à des degrés plus hauts. Certains servent exclusivement à l’expression de la joie, d’autres de la peur.
Lentement, chez un individu qui se conscientise, la mutation cérébrale engendre la spécialisation d’une partie du cerveau. Cette région perd la faculté de se dépolariser sous les influx de la psychologie, de l’ego, du plan émotif, des souvenirs, et devient sensible à une autre forme de pensée. Cette « pensée » est très différente de la pensée qui, jusqu’alors, a habité l’être humain. Elle n’est pas inconsciente, elle est une « parole » plus qu’une pensée. Elle est sans émotion et permet d’amener dans la conscience de l’ego un savoir neuf ne provenant pas de l’expérience ni de la connaissance.
Cette approche décrite très sommairement n’est-elle pas une bonne idée ?
Crack
Celui qui ne meurt pas avant de mourir est perdu quand il meurt. (Jacob Boehme)
S'il te plait Crack_Master évite le terme de" vibration car ça fait chaotique !
Non, puisqu'elle a noyée le poisson.Envoyé par CrackMasterCette approche décrite très sommairement n’est-elle pas une bonne idée ?
Et puis l'égo etc, ça n'a rien à voir avec la description qui en est faite ici, à mon avis.
Pour en revenir aux idées, je vais continuer un peu plus loin puisque j'avais commencé avec la proposition d'une "zone" du langage impliquée (ce qui ne veut pas dire exclusivement ni que "la" zone soit unique/localisée) dans l'élaboration des idées.
http://lecerveau.mcgill.ca/flash/d/d...10_cr_lan.htmlEnvoyé par LeCerveauMcGillDix ans plus tard, Carl Wernicke, un neurologue allemand, met en évidence une autre région impliquée celle-là dans la compréhension du langage.
Elle est située dans la partie postérieure du lobe temporal gauche.
Les patients qui ont une lésion à cet endroit peuvent parler, mais leur discours est souvent incohérent et dénué de sens.
Ces observations ont été maintes fois confirmées et l’on s’entend aujourd’hui sur le fait qu’il y a, autour du sillon latéral de l’hémisphère gauche, une sorte de boucle neurale impliquée dans la compréhension orale du langage et sa production par la parole.
À l’extrémité frontale de cette boucle, on trouve l’aire de Broca, habituellement associée à la production du langage.
À l’autre extrémité, plus précisément dans la partie supérieure et postérieure du lobe temporal, se situe l’aire de Wernicke, associée au traitement des paroles entendues, autrement dit à l’input du langage.
L’aire de Broca et l’aire de Wernicke sont connectées par un important faisceau de fibres nerveuses appelé le faisceau arqué.
Ceci, selon l'hypothèse initiale que les idées devaient être exprimées pour pouvoir être qualifiées d'idées et la constatation (sommaire certes) qu'il existe une logique de "haut niveau" (bayesienne par exemple) lors de l'élaboration des idées nouvelles.
Le cerveau est "prédictif" (ce qui peut amener à des nouvelles idées donc) et ce fonctionnement se situe au niveau des aires corticales.
Stanislas Dehaene
http://www.college-de-france.fr//vid...e-20120221.mp4
Une nouvelle idée, quelque-part... c'est une "erreur" qui apparait dans un système cohérent, "à l'équilibre", et qui est ensuite conservée, intégrée au "nouveau" système.